Une nouvelle affaire de violences conjugales impliquant un extra-européen, en l’occurrence un individu de nationalité marocaine, a été jugée à Brest il y a quelques jours. La suite d’une longue série…
Encore un migrant jugé pour violences conjugales à Brest
Ne doit-on y voir qu’une simple coïncidence ? En Bretagne, les affaires de violences conjugales ou d’agressions sexuelles impliquant des migrants d’origine extra-européenne ont une fâcheuse tendance à se répéter ces dernières semaines.
Et ce n’est pas le cas d’un individu âgé d’une vingtaine d’années et jugé le 8 juillet dernier par le tribunal judiciaire de Brest pour violences conjugales et rébellion et outrages contre les forces de l’ordre qui va venir s’inscrire en faux face à ce constat.
L’homme en question, de nationalité marocaine, serait arrivé en France en 2016. Manifestement bien renseigné sur l’intérêt de se présenter comme étant mineur dans le « pays des droits de l’Homme », il indiquera alors aux services de l’aide sociale à l’enfance être né en 2001 afin de bénéficier d’une prise en charge. Il s’avérera par la suite que l’individu était en réalité né en 1997… Entre-temps, il a obtenu un titre de séjour et s’est installé à Brest.
Quant aux violences conjugales en question, celles-ci auraient notamment eu lieu le 17 février dernier. Le Marocain, en couple avec une femme alors en formation d’aide-soignante, est également le père d’un enfant de deux ans qu’il a eu avec cette dernière. Enfant un peu trop bruyant aux yeux du prévenu, ce qui entraînera la dispute à l’origine des violences.
Le Marocain condamné à une peine avec sursis
À la barre, bien que l’homme nie avoir frappé sa compagne, le juge souligne que le dossier plaide peu en sa faveur puisque regorgeant de témoignages rapportant le contraire. Les voisins semblent par ailleurs habitués à ces scènes de violences qui auraient débuté en 2019 car la compagne du Marocain se réfugie ponctuellement chez eux.
Concernant la rébellion et les outrages contre les forces de l’ordre reprochés à l’extra-européen, celui-ci s’est en effet violemment débattu lors de son interpellation par quatre policiers brestois suite à un appel de sa compagne. S’étant présenté sans avocat mais ne se démontant devant le tribunal, le prévenu s’est dit « victime d’une erreur judiciaire ».
À l’issue de l’audience, le Marocain a été condamné à une peine de huit mois de prison avec sursis probatoire de vingt-quatre mois. En outre, il s’est vu retirer son autorité parentale et il doit verser 800 € aux policiers.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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4 réponses à “Brest. Un migrant marocain condamné pour violences conjugales”
Ces étrangers qui viennent chez-nous vivent à la manière du pays qu’ils ont quittés et se comportent tel-quel, chez eux l’homme à droit de vie et de mort sur son épouse et ils ont du mal à accepter que chez-nous il est interdit de frapper une femme.
Mais qu’attend-on pour le renvoyer au Maroc ? Que fout Darmanin ? On en a marre de payer les saloperies que trop d’étrangers commettent chez nous ! Mais marre…Un jour ça va craquer, Oh ! Oui !
Coran, sourate quatre verset :trente trois
Et quant à celles (vos femmes) dont vous craignez l’infidélité, exhortez-les, abandonnez-les dans leurs lites et battez-les. Si elles viennent à vous obéir, alors ne cherchez plus..
Pas étonnant que l’accusé ne se sente pas coupable
je ne parviens pas à comprendre pourquoi une jeune femme puisse s’accoquiner avec ce genre d’individu et persiste !