Le 10 février 1977, il y a 45 ans, Alain Escoffier, militant solidariste et anti communiste s’immolait par le feu sur l’avenue des Champs-Elysées devant le siège de l’Aéroflot.
Il voulait dénoncer le régime communiste qui ravageait alors l’URSS, sous les applaudissements d’une certaine presse française et d’un bon nombre de politiciens communistes ou communistophiles.
Voici ce qu’en dit le journal Métapédia :
Le vendredi 10 février, une énième manifestation devant l’agence de l’Aéroflot à Paris sur les Champs-Élysées, lieu symbolique de la respectabilité du soviétisme en France, fut annoncée. En présence d’un important service d’ordre de la Préfecture de police, quelques centaines de militants se rassemblèrent dans le calme, peu avant 15 heures. Tout à coup, au milieu des slogans hostiles à l’URSS et au communisme en général, un homme jeune, en veste et cravate, se détacha de la foule. Il portait à la main deux jerricans en plastique. Profitant de l’inattention de la police, il entra dans le hall de l’agence soviétique, eut juste le temps de s’asperger de l’essence contenue dans les jerricans, lança un dernier « communistes assassins », puis s’enflamma. Aussitôt, quelques employés russes de l’Aéroflot tentèrent de le secourir en utilisant un extincteur à poudre, en vain. Gravement brûlé, il fut transporté d’urgence à l’hôpital Foch de Suresnes, où il décéda de ses blessures (…)
Le sacrifice du jeune homme est à classer au nombre des victimes des « torches vivantes », ces jeunes gens qui s’immolèrent publiquement pour protester contre la politique américaine au Viêt-Nam, ou contre l’intervention soviétique au printemps 1968 en Tchécoslovaquie. A Prague, le premier à avoir choisi ce destin de victime-symbole, fut Jan Palach, étudiant tchèque de 20 ans qui s’immola le 16 janvier 1969 ; sa mort provoquant de vastes manifestations en Europe occidentale. En février de la même année, Jan Zajic, un autre étudiant, l’imita ; puis ce fut au tour d’Evzen Plocek, début avril, de se suicider par le feu à Jihlava en Moravie. Mais pour Alain Escoffier, obscur petit militant de la cause nationaliste, il n’y eut aucune manifestation spontanée d’un demi-million de personnes comme en mars 1969 en Tchécoslovaquie, manifestation rapidement réprimée au demeurant. Juste quelques articles dans la presse nationale et d’émouvantes obsèques.
Plusieurs groupes ou artistes lui ont ensuite rendu hommage, comme le groupe italien La Compagnia d’ell annello ou le groupe français Hôtel Stella.
Crédit photo : DR
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3 réponses à “Il y a 46 ans, Alain Escoffier s’immolait à Paris pour dénoncer le communisme”
quel bouffon vraiment pire raison de crever après tant mieux ça fait un parasite de moins
à la limite les anti-communistes si vous pouviez tous faire comme lui ça nous ferait gagner du temps
après on arrive en tractopelle ramasser les cendres pour les foutre à la décharge municipale
tiens on va voir si la droite soi-disant « anti-bienpensante » « pro-liberté d’expression » (alors que la bienpensance c’est historiquement un truc de droite certes repris récemment par la gauche mais la droite l’est toujours suffit de voir les chialeries sur nick conrad, dès qu’on brule un bout de tissu appellé drapeau, même la marseillaise de ginzbour ils ont chialé) va laisser passer mon com ou le censurer..vu que la liberté d’expression pour eux c’est juste la liberté d’appeller au meurtre des musulmans (par contre ça suce la teub des juifs h24)
ah bah tiens xptdr dans votre daube sur marcel cachin : vous demandez à débaptiser la rue (comme la droite le fait par dizaine) et après ça chiale sur les « wokes » qui veulent à juste titre dégager les statues des criminels colonialistes français
alala les faux indépendantistes bretons
vive staline vive marcel cachin vive gael roblin en espérant qu’il vous mette au goulag
comme nous en prouvènço on va mettre les occupants colonialistes et fascistes au goulag