La population du Finistère réside pour moitié dans l’espace rural. C’est un peu moins que dans l’ensemble de la région, comme le rapport une nouvelle étude de l’Insee (à consulter en intégralité ici)
Par rapport à l’espace urbain, le rural se caractérise par une présence plus importante des couples et des familles, particulièrement dans le rural proche des grands pôles. Si la croissance de population est plus forte dans le rural que dans l’urbain, celle-ci reste modérée par rapport au reste de la région.
Elle est principalement soutenue par les installations dans les territoires ruraux. Près de la moitié des habitants de l’espace rural finistérien habitent dans une commune littorale.
La population du Finistère réside pour moitié dans le rural
L’espace rural est composé de l’ensemble des communes peu denses ou très peu denses.
En 2018, 51 % de la population du Finistère habite dans une commune rurale. En Bretagne, c’est un peu plus (54 %).
Près de la moitié des habitants du rural vivent sur le littoral
Dans le Finistère, près de la moitié (48 %) des habitants du rural résident dans une commune littorale. Ces communes rurales littorales se distinguent par leur densité de population supérieure aux communes rurales à l’intérieur des terres (110 hab./km en moyenne contre 61 hab./km ).
Près d’un résident sur trois (29 %) du rural autonome peut accéder en moins de 4 minutes aux services de la vie courante. Cette proportion est deux fois plus forte que dans les Côtes-d’Armor ou le Morbihan.
Comme dans le reste de la région, la croissance démographique dans le Finistère est plus forte dans l’espace rural que dans l’urbain, notamment dans le rural sous influence d’un pôle. La tendance est cependant à un ralentissement de la croissance de la population.
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2 réponses à “Finistère. Un habitant sur deux réside en zone rurale”
Evidemment, les brestois préfèrent maintenant vivre dans les communes littorales du Pays de Brest comme à Portsall ou au Conquet où ils peuvent encore se sentir chez eux en Bretagne, dans un environnement exceptionnel de bord de mer et en sécurité plutôt qu’à Pontanezen où ils sont désormais étrangers et rejetés comme tels par des immigrés arabo-musulmans qui, en définitive, les ont chassés de leur ville d’origine. Mais les prix immobiliers commencent à être dissuasifs même sur le littoral au nord-ouest de Brest.
Evidemment, les brestois préfèrent maintenant vivre dans les communes littorales du pays de Brest comme à Portsall ou au Conquet où ils peuvent encore se sentir en Bretagne, dans un environnement exceptionnel du bord de mer et en sécurité plutôt qu’à Pontanezen où ils sont désormais étrangers et rejetés comme tels par les immigrés qui, en définitive, les ont chassés de leur ville d’origine.