Fatigue en hausse et moral en baisse : nombreux sont les Français confrontés à une dépression saisonnière à partir du mois de novembre. Si l’apparition de symptômes doit alerter, pas question pour autant de céder au fatalisme !
La dépression saisonnière, qu’est-ce que c’est ?
Tandis que l’entrée dans l’hiver se rapproche et que les jours, de plus en plus courts, ne laissent entrevoir qu’un ciel gris et froid, cette époque de l’année est parfois difficile à vivre pour certaines personnes. Dont une partie pourrait être en proie à la dépression saisonnière, également appelée « trouble affectif saisonnier » (TAF).
Résultant (en partie mais pas seulement) d’un manque de lumière naturelle, cette dépression ne pourra être médicalement qualifiée comme telle que lorsqu’elle survient au même moment chaque année, en automne ou en hiver, pendant au moins 2 années consécutives, et qu’elle dure jusqu’au printemps suivant.
Quant au manque de lumière invoquée, l’intensité passerait en effet de 100 000 lux (unité de mesure de la luminosité) les jours d’été ensoleillés à parfois à peine 2 000 lux les jours d’hiver.
Concernant le profil des publics touchés, les différentes études menées en Europe rapportent que, selon les modes de calcul, la dépression saisonnière affecterait entre 1,3 et 4,6 % de la population. Par ailleurs, on compterait entre 70 et 80 % de femmes parmi les personnes atteintes.
Trouble affectif saisonnier : des symptômes à prendre au sérieux
Ainsi, avec le temps qui se refroidit et les jours qui raccourcissent, certaines personnes remarquent qu’elles ont moins d’énergie et ne se sentent pas aussi positives que d’habitude. Bien que ces sentiments puissent être temporaires pour certains, il ne faut cependant pas prendre à la légère l’apparition de symptômes, lesquels peuvent varier de léger à graves, et peuvent se manifester sous les formes suivantes :
- Une mauvaise humeur
- Perte d’intérêt ou de plaisir pour les choses aimées auparavant
- Changement d’appétit (généralement, la personne mange plus que d’habitude)
- Changement dans le sommeil (généralement trop de sommeil)
- Sentiment de dévalorisation
Outre le facteur de la luminosité, les causes de cette dépression saisonnière, qui apparaît comme complexe et multiforme, n’ont pas été clairement déterminées par les chercheurs. Toutefois, certaines études suggèrent que le trouble affectif saisonnier pourrait être dû à un dysfonctionnement de l’hypothalamus (la zone du cerveau qui régule les processus biologiques tels que l’humeur, le sommeil et l’appétit) ou à une production excessive de mélatonine (une hormone qui contrôle notre cycle veille-sommeil et qui est produite par la glande pinéale du cerveau).
Certains chercheurs pensent que cela pourrait également être dû à une perturbation du rythme circadien, le processus interne naturel qui régule notre cycle veille-sommeil.
Comment surmonter une dépression saisonnière ?
Si l’on observe généralement une disparition progressive des symptômes lors de l’arrivée du printemps, nulle raison pour autant de céder au fatalisme en attendant le retour des beaux jours.
Dans un premier temps, il est recommandé de consulter un psychiatre (davantage qu’un médecin généraliste) qui va ainsi effectuer un diagnostic à partir de questions très simples. Ce diagnostic sera posé lorsque les symptômes durent depuis plus de deux semaines et qu’ils entravent considérablement la vie quotidienne.
Viendra ensuite le temps du traitement de cette dépression saisonnière qui s’articulera sur deux actions : une psychothérapie associée à des séances de luminothérapie visant à compenser le manque de luminosité sur la rétine. D’autre part, des études ont montré que la thérapie cognitivo-comportementale (qui se concentre sur la remise en question de nos pensées pénibles et sur la modification de notre comportement) est un traitement efficace du trouble affectif saisonnier.
Par ailleurs, lorsque la personne en proie à la dépression saisonnière en a la possibilité, il est aussi recommandé d’effectuer une marche matinale afin de prendre au maximum la lumière du jour et ainsi faire le plein de vitamine D. Une cure de cette dernière peut également être prescrite au début de l’hiver.
Enfin, dans les cas les plus sévères, des traitements médicamenteux sous forme d’antidépresseurs peuvent aussi être prescrits mais gageons que le patient ne soit pas contraint d’arriver à cette solution « extrême »…
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Une réponse à “Santé. Malgré l’arrivée de l’hiver, la dépression saisonnière n’est pas une fatalité”
La dépression saisonnière n’est pas une fatalité. 100 BLAGUES?! Une mauvaise humeur. Perte d’intérêt ou de plaisir pour les choses aimées auparavant. Changement d’appétit. Changement dans le sommeil. Sentiment de dévalorisation…, Et ce n’est que la surface. Et Oui ! Ce sont des symptômes à prendre au sérieux. Comment surmonter une dépression qui n’est pas que saisonnière loin de la ? Certainement pas avec des cachets de merde. Il faut SE DEBARASSER DE MACRON CES LECHES-CIRCONCIS ET DES SIONISTES QUI RENDENT LE PEUPLE FRANCAIS GAULOIS FOU DE RAGE DE HONTE ET DE DEGOUT PRET A PRENDRE LES ARMES. La voila la vraie raison de la dépression. Et ça ira de pire en pire. Temps que l’on ne se débarrassera pas,(façon ceausescu), du marais de sionistes qui se prennent pour le race élue de la planète et gouvernent notre pays et qui savent exactement ce qu’ils font, via lois, tribunaux, associations, tv, merdias, reportages de merde, films, lavage de cerveau, pubs anti-blancs 24/24h, 365 jours par an, bâtardisation forcée via invasion afro arabo musulmane /grand remplacement, renforcé par la brutalité physique, mentale, morale et psychologique constante, mal bouffe ,via fast food »huber & co », vaccination…, Si cela n’est pas suffisant pour péter les plombs, quoi d’autre ? Ceux qui devraient consulter sont les feuges mais cela ne changerait rien car pour cette manne parasitaire, ces »symptômes de grandeur » sont génétique