Covid-19. Face à la Ségrégation vaccinale, l’urgence de devenir réfractaire à leur monde de timbrés ! [L’Agora]

Nos mal élus se déchainement actuellement, dans toute la presse mainstream qui rampe à leurs pieds, pour mener une course à l’échalote de celui qui aura la déclaration la plus agressive, la plus culpabilisante aussi, vis-à-vis des millions de Français qui refusent la vaccination contre le Covid-19.

Si l’on comprend en effet qu’un Xavier Bertrand en obésité naissante, ou qu’un Emmanuel Lechypre à l’obésité plus que prononcée, s’inquiètent pour les conséquences possibles du Covid-19 sur leur santé (encore qu’ils feraient mieux de faire quelques footings, pour sortir de la comorbidité dans laquelle ils ont plongé), on n’en demeure pas moins circonspect devant cette déferlante, tyrannique, agressive, visant les réfractaires à la vaccination contre un virus qui, rappelons-le, n’est pas la Peste noire, ni la Grippe espagnole. Et qui n’a rien à voir non plus avec le Tétanos, la Diphtérie, la Polio…. ces autres maladies qui ont justifié des vaccins pour le coup légitime.

Ces déclarations se multiplient et inquiètent légitimement ceux qui essaient de garder la tête froide dans l’atmosphère ambiante devenue totalement folle : on a même vu le zombie de la politique, François Bayrou, appeler aux sanctions contre les soignants refusant la vaccination, ou l’ancien défenseur de la pédophilie et ami de Polanski, Bernard Kouchner, évoquer la « trahison » de ceux qui refusent ce vaccin (quand on monte au cocotier, encore faut-il avoir les fesses propres Monsieur UCK…).

Que les choses soient claires : ceux qui veulent imposer le vaccin à tous, mais en plus, mettre en place un véritable système de ségrégation sociale via le pass sanitaire, fabriquant de facto le statut de citoyens de seconde zone, auront des comptes à rendre un jour. Mais ils doivent être honnêtes avec eux même, eux qui s’auto-proclament bien souvent par ailleurs les chantres par ailleurs de l’antiracisme, de l’amitié entre les peuples, de la tolérance universelle, de la religion des droits de l’homme. Ils veulent faire des non-vaccinés des sous-hommes, des sous-citoyens.

Ainsi demain, avec le Pass sanitaire, un migrant clandestin, n’ayant rien à faire sur notre sol européen, aura le droit d’aller au restaurant, au cinéma, au musée (et bientôt dans les locaux administratifs ?) s’il porte un masque ou montre « patte blanche » concernant sa vaccination. Par contre, un Européen de souche, chez lui, sur son propre sol, sera mis au ban et aura moins de droits que ceux qui n’ont pourtant pas à être ici.

Et que les citoyens qui s’abreuvent de la morale actuelle, de cette fracture en règle créée par les autorités entre vaccinés et non vaccinés, devenus désormais d’horribles criminels qui empêchent d’aller en boîte de nuit et qui peuvent transmettre un virus… à des gens inquiets ou fragiles, mais censés être vaccinés contre ce dernier (cherchez l’erreur), que ces citoyens-là sachent bien que demain, c’est le crédit social qui se mettra en place en France, et dans tous les pays dont les dirigeants asservissent actuellement leurs peuples. Que la Chine ait été la première à montrer l’exemple du confinement devrait d’ailleurs nous interpeller.

Demain, une fois que ce système de pass sanitaire sera en place pour le Covid-19, qui vous dit qu’ils n’y ajouteront pas, via leur application magique, d’autres virus ? Puis votre comportement quotidien, de fumeur, de buveur, de gros mangeur, d’handicapé ? Mais aussi de délinquant, ou de réfractaire au système en place ? « Vous ne pouvez pas voyager, car vous n’avez pas payé votre loyer à temps depuis deux mois ». « Vous ne pouvez pas rentrer au restaurant, car vous avez été condamné à 5 mois de prison avec sursis en vertu de la Loi Pleven ». Et puis quoi ensuite ? « Vous ne pouvez pas être remboursé de la sécurité sociale, car vous avez consommé 3  verres de vin par jour au lieu de deux pendant des années… et que nous imputons votre maladie à cet excès d’alcool » ?

Vous rigolez ? Mais rappelez-vous alors votre société telle qu’elle était il y a encore 24 mois. Et observez ce que vous avez laissé faire, sans moufter. Sans réagir, en acceptant, tels des moutons que l’on envoie à l’abattoir au nom de la « bienveillance » et de l’altruisme qui consisterait à prendre « soin des autres » (Cette majorité aime tellement « prendre soin des autres » que les pompiers peinent à recruter dans toute la France ou que les masses ne se bousculent pas au portillon des métiers de soignants…)

Il faut être aveugle, ou idiot, ou trop lâche, pour ne pas comprendre que ceux qui décident ces mesures folles n’ont ni altruisme, ni bienveillance dans leur vocabulaire. Ils laissent chaque jour rentrer sur ce continent des masses entières d’individus dont une partie commet proportionnellement plus d’exactions visant la population autochtone que les autochtones eux-mêmes. Ils ont œuvré depuis des décennies à une société d’une violence et d’une barbarie inouïes, et vous croyez encore qu’ils veulent votre bien ? Ils ont voté toutes les lois restreignant votre liberté d’expression, détruisant petit à petit la famille traditionnelle, empêchant toute critique des grandes manœuvres de peuplement qu’ils organisent sur votre dos, et vous pensez sérieusement qu’ils l’ont fait par amour de leur peuple ?

Allons allons, prenez du recul, élevez-vous. Réfléchissiez. Et arrêtez de vouloir donner des leçons de morale, et de vouloir culpabiliser ou pire encore, criminaliser, ceux qui refusent de rentrer dans leur jeu morbide, répugnant, et totalement faux.

Heureusement, il semblerait qu’il reste encore des millions de gens déterminés à ne rien lâcher. Quoiqu’il en coûte. Ils ne pourront pas envoyer des policiers dans chaque maison pour vacciner de force. Ils ne veulent plus de nous au restaurant ou au cinéma ? Nous nous retrouverons entre réfractaires. Nous inventerons des lieux. Ils ne veulent plus que nos enfants aillent à l’école sans porter un masque sur la tête ? Nous les instruirons sans eux, clandestinement s’il le faut, pour en faire des hommes et des femmes libres. Ils comptent s’en prendre à nos enfants ? Nous montrerons les crocs.

Certains voudraient que le système social ne rembourse plus les malades du Covid non vaccinés ? Nous fabriquerons des réseaux de médecins et de soignants réfractaires. Des réseaux d’entraide que seules l’entraide et la tyrannie peuvent engendrer.

Nous rappellerons par ailleurs à ceux qui se dressent contre une partie de leur propre peuple qu’ils ne se posent nullement la question des frais médicaux lorsqu’il s’agit, avec nos impôts, de soigner la terre entière venant dans nos hôpitaux, tout comme ils ne se posent pas la question du fait que plus de la moitié de la population française est en surpoids parce que nos autorités ont encouragé, y compris financièrement, des usines à malbouffe et à sédentarité dans tout le pays.

Et comment pourront-ils encore exiger de nous que nous versions aux États qui nous oppressent les moindres impôts, les moindres charges pour des services auxquels, de facto, les institutions nous interdiront l’accès. Vous croyez réellement que les millions de victimes de la ségrégation sanitaire qui se profile vont rester là, à continuer à être les dindons de la farce, alors qu’on veut les dresser, les étouffer, les bâillonner, les asphyxier, les déposséder dans leur propre pays ?

Nous ferons sécession d’avec leur monde. Et nous ne nous rendrons pas. Parce que nous avons raison, y compris contre une majorité qui, quelle que soit la période de l’Histoire d’ailleurs, a toujours accepté son triste sort, et les profonds changements impulsés par de petites minorités déterminées. L’histoire récente en regorge d’exemple d’ailleurs.

Ils peuvent nous tuer socialement. Nous asphyxier économiquement. Nous mettre en prison pour des écrits, et même pour des actes de rébellion. Ils n’enlèveront jamais capacité à garder la foi dans nos idéaux, la détermination à protéger nos familles, et celle de transmettre à ceux qui viennent toutes les armes pour que demain, leur société mortifère s’effondre et retourne dans les oubliettes de l’Histoire.

« Ils pourront nous ôter la vie, mais ils ne nous ôteront jamais, notre liberté ». William Wallace.

Julien Dir.

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