Ah, les joies des « apports » culturels venus d’ailleurs. Le 19 mai à Saint-Herblain, une jeune femme se fait pousser dans une voiture de façon musclée. Des témoins appellent la police, comme le rapporte Ouest-France, et identifient les personnes, via la plaque d’immatriculation de la voiture.
La police retrouve le logement du propriétaire de celle-ci et intervient. Ils trouvent une jeune femme enfermée dans une pièce par des membres de sa famille, une famille tunisienne. Elle affirme depuis de nombreux jours déjà (elle a voulu porter plainte) qu’elle va être livrée à un mariage forcé.
Pour le moment, pas d’interpellation, ni de tweet de Marlène Schiappa. La police cherche à savoir si il y a mariage forcé ou pas. Quid de la mise en sécurité de la jeune femme en attendant ? Impossible d’en savoir plus.
Une lettre de l’Observatoire des violences faites aux femmes datant de 2014 rapportait que 4% des femmes immigrées vivant en France et 2% des filles d’immigrés nées en France âgées de 26 à 50 ans avaient subi un mariage non consenti. Les mariages forcés s’accompagnent de violences multiples avant le mariage (violences physiques, psychologiques, sexuelles, économiques…) et après (violences conjugales, viol conjugal…).
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