Pour le syndicaliste policier Bruno Attal (Touche pas à mon flic) : « Si mon collègue avait tué cette ordure, il serait où, là, Eric Masson ? En garde à vue, mis en examen et les cités brûleraient ».
Il évoquait le meurtre de son collègue, pour lequel deux extra-européens ont été arrêtés, et écroués.
▶ #Avignon : “Le suspect ne souhaite pas s’expliquer”.
? @attal_bruno (@TPMF_asso) : “Si mon collègue avait tué, il serait où, là, #EricMasson ? Il serait en garde à vue, les cités brûleraient”.
? #BrunetDirect. pic.twitter.com/IpLwA3UTzi
— Eric Brunet (@ericbrunet) May 12, 2021
Politiquement, le gouvernement préfère que ça soit un policier qui soit tué, plutôt qu’un “jeune”. @attal_bruno pic.twitter.com/fJai0YLjG8
— Jeanne (@D4rc_) May 12, 2021
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2 réponses à “Bruno Attal : « Si mon collègue avait tué cette ordure, il serait où, là, Eric Masson ? En garde à vue, mis en examen et les cités brûleraient »”
Que les banlieues brûlent, où est le problème?
Que Paris brûle, où est le problème?
Tout le monde sait où est “le problème “.
Petit rappel.
Le 27 septembre 1938, Charles de Gaulle publie « la France et son armée » aux Éditions Berger-Levrault.
Il y trace le portrait des Français :
« D’ailleurs, ce peuple doctrinal court à l’épreuve nouvelle tout bardé de principes. LE BANDEAU LUI COUVRANT LES YEUX, IL FRAPPE A FAUX DE GRANDS COUPS, SE PRODIGUE A CONTRE-SENS, CHARGE HEROÏQUEMENT LES MURS. Puis, déconfit mais redressé par l’amour-propre, il se trouve face à face avec la réalité et lui arrache ses voiles. Alors il l’étreint, la domine, la pénètre, en tire toutes les délices de la gloire. »
En gros, il faut arrêter de faire l’intello.
Il faut juste mettre la réalité TOTALEMENT à poil.
:) Bravo. Merci. ça fait du bien. Un peu de fraîcheur pour mon coeur :)