Viva il Papa mobile !

Il absout les tueurs, stimule les migrants et fustige les patriotes…

Ex Oriente lux. Le voyage en Orient est, pour les chrétiens de l’Ouest, un devoir et un plaisir. Les croisades ont tenté seigneurs et petites gens en un héroïsme parfois dévié. La solidarité chrétienne a mû Louis XIV et Napoléon III plus que le superbe Macron. Un net romantisme a inspiré les œuvres de Lamartine et de Chateaubriand, ou plus en contact avec les populations, les œuvres de Gérard de Nerval et de Nicolas Bouvier. Comme tous les enfants confinés par la guerre, les bombardements, les restrictions et déconfinés par la résistance à l’envahisseur ou la migration, j’ai pu, dès 1945 et encore mineur, faire le tour des pays limitrophes de la France. Je suis ensuite parti pour l’Est (Danube, Grèce, Istanbul, Chypre), dès 1957 avec une 4 CV Renault pour l’Orient (Midyat et Mor Gabriel, Ormia, Téhéran), et dès 1960 avec une Ariane Simca pour le Danube, la Turquie, les pays arabes, l’Asie centrale, les Indes, l’Iran, la Transcaucasie, puis la Turquie, J’étais donc à Peć, Midyat, Antioche, Alep, Hasaké, Beyrouth, Saïda, Jerusalem, Amman, Damas, Mosul, Qaraqosh, Bagdad, Najjaf, Ur, Ormia, etc. avant les hérauts qui voyagent aux frais du contribuable ou du donateur sous les bannières très limpides de la recherche-publication, des droits humains, de l’Elysée, du Vatican, etc.  qui ont moins de terrains, de diplômes, de méthodes et de documents que moi. Désormais, les papes, chefs d’Etat, peuvent voyager à condition d’accepter de serrer la main que le chef d’Etat local doit leur tendre. Jean-Paul II, ayant mieux évité les pressions communistes de l’Est que les pressions capitalistes de l’Ouest ou d’Israël, a dû renoncer à son voyage en Iraq pour ne pas serrer la main de Saddam Husayn, qui dissimulait entre pouce et auriculaire des tonnes d’armes de destruction massive qu’on n’a jamais trouvées. En revanche, les papes suivants ont dû serrer les mains de Bashar al-Assad et de Recep Tayyıp Erdoğan pour accéder à l’ex Basilique Saint Pierre de Damas et à la Basilique Agya Sofya d’Istanbul qui vivait ses derniers soupirs de musée. Et voici notre pape migrant Francesco venu du Tango parti pour l’Iraq via Alitalia entouré de journalistes et de deux personnages qui, tout en me connaissant aussi bien qu’ils connaissent mal l’Orient, font partie de la suite papale, Philippine de Saint Pierre et Monseigneur Pascal Gollnisch, diplômé des Sciences politiques, de droit des affaires et de comptabilité, visitant l’Iraq depuis 2010, quand j’ai un demi-siècle d’antériorité (1960) sur lui et les diplômes culturels qu’il n’a pas.

Bagdad, Vendredi 5 mars 2021.

A sa descente d’avion, le pape est accueilli par le président de la République iraqienne et son épouse en robe longue et tête couverte, par le premier ministre entouré de ses ministres dont au moins deux femmes en cheveux (Harram!), et par les dignitaires de tous les rites chrétiens présents en Iraq. Tel est le protocole que j’avais observé à Bagdad en 1973 lors de l’arrivée du président Tombalbaye du Tchad. A Bagdad, le pape se rend à la cathédrale syriaque catholique Notre Dame du Salut dont j’ai bien connu tous les archevêques succcessifs depuis 1960. Cette cathédrale a été endeuillée par l’affreux massacre du 31 octobre 2010 perpétré par des islamistes Allah u akbar ! embaumés par le pardon papal.

Le pape se rend ensuite à la cathédrale chaldéenne (nestoriens ralliés catholiques en 1340-1553) Saint Joseph (où j’ai capté une consécration ainsi que l’épouse de Tareq Aziz communiant en 1996. Son mari était plus politique que religieux). L’usage veut que prélats et notables de tous les rites assistent aux liturgies officielles. On peut voir des Arméniens apostoliques (date de différenciation 301), ou catholiques (1742), des Assyriens Eglise d’Orient (410), des Chaldéens (1340), des Syriaques orthodoxes (451) ou catholiques (1662), des Roums-Grecs Byzantins orthodoxes (451) ou catholiques (1724), des Latins (Croisades), tous autres chrétiens, des Mandéens-Sabéens, des Yézidis, des Zoroastriens, des Kurdes, tous autres musulmans, etc. Le pape se rend ensuite à Najjaf, où il doit rencontrer l’Ayatollah (iranien) Ali Sistani, qui est le plus haut dignitaire de l’islam chiite en Iraq après l’Ayatollah azerbaidjanais iranien Kamenei (ne pas confondre par trumpisme avec le regretté Khomeni), qui est le plus haut dignitaire de l’islam chiite en Iran. Nous n’avons pas tous les détails de cette entrevue, mais le pape en fait grand cas. Sistani aurait dit que « les chrétiens doivent vivre en paix en Iraq », où, de un million quatre cents mille dont neuf cents mille chaldéens qu’ils étaient à l’époque de Saddam Husayn, il ne reste que quatre cent mille ressortissants chrétiens, soit un pour cent Iraqiens. Le pape ne tarit pas d’éloges sur Ali Sistani qu’il qualifie d’« Homme de Dieu » (son homologue?). L’étape suivante a lieu à Ur en Chaldée, la patrie d’Abraham, et le pape va déclarer « J’ai l’impression de revenir à la maison » (la Maison du Père ?). On montre des photos du célèbre Ziggourat (que je connais bien et depuis 1972 et dont j’ai évidemment les photos). Cette réunion se fait en plein air et sous abri car le soleil de mars est déjà redoutable. Les Iraqiens rivalisent avec le pape en ce qui concerne le sens médiatique. Comme l’arbre dit arbre d’Abraham se trouve un peu plus au sud-est à Qurna, l’ombre de la présence d’Abraham relève ici de l’esprit . Sur le podium, un Kurde en costume régional d’Arbil nous rappelle qu’il ny a pas de Kurdes à Ur (ou peut-être pas encore, car les Kurdes sont très prolifiques et envahissants). Les journalistes du Figaro, dont les faiblesses pour le judaïsme datent, non de 1941, mais de la guerre des six jours en 1967, ont remarqué que, sur le podium iraqien de la cité d’Abraham en 2021, on n’avait pas fait monter un rabbin, comme si Abraham n’était plus le père que du christianisme et de l’islam. Il est vrai que, lors d’un précédent voyage au Moyen-Orient, le Saint Père avait su s’entourer d’un cheikh et d’un rabbin. Mais nous nous enlisons dans des symboles dont l’imperfection atténue l’impact que devrait induire cette étape de Ur près des marais de l’Euphrate chers à Thessiger. L’étape suivante se fait à Mossoul. J’aimais flâner dans le dédale des vieilles rues de Mossoul. Le jour, sous un soleil de plomb, une porte s’ouvrait tout d’un coup et une main anonyme vous tendait un verre bienvenu d’eau glacée. La nuit, dans le noir accentué par les coupures d’électricité, je marchais sans bruit, croyant être incognito.Et cependant, j’entendais chuchoter derrière les portes : « Ejnebi / C’est un étranger ». Comment ces Mossouliotes pouvaient-ils deviner dans le noir que j’étais un étranger ?

Mossoul était un monde à part

Mossoul, comme Alep, était un monde à part qui ne revivra plus comme auparavant. Philippine de Saint Pierre et Pascal Gollnisch m’ont euthanasié pour faire croire qu’ils connaissent l’Iraq. Mais ils ne connaîtront jamais l’Iraq de Qâsim ou de Saddam ; Mossoul avec l’église Shmoun as Safa disparue (collabée. J’ai les photos), l’église Mar Ishaïa où a eu lieu l’enterrement de Mgr Mosès, les 6.000 familles chrétiennes de Mossoul qui ne sont plus que 70. et la petite place Hosh al Beaia des quatre églises disparues (que j’avais photographiées sous toutes les coutures). C’est ici que se déroule la cérémonie papale d’aujourd’hui. Monseigneur Najeeb Mikhaeel, que j’ai connu séminariste, qui m’ignore désormais et qui a été accueilli à Saint Nicolas du Chardonnet chez les traditionnalistes, tonne aujourd’ui contre l’intégrisme. Le pape dit que le Dieu de la vie de la paix et de l’amour, ne peut favoriser leurs contraires ; la mort, la guerre et la haine. Il ajoute qu’on ne peut pas tuer au nom de Dieu. Nous voici à Qaraqosh/l’Oiseau noir (en turc )/Baghdîda (en araméen dialectal local). J’ai connu cette bourgade alors exclusivement syriaque catholique et orthodoxe il y a cinquante ans, arrivant de Paris au volant de mon Ariane Simca. Une nuée d’enfants turbulents avait failli me faire rebrousser chemin. En effet, chaque femme jeune avait un enfant à la main, un enfant dans le bras et un enfant dans le ventre ; les autres enfants étaient dans la rue ? Il y avait une douzaine d’églises, dont la Tahira, visitée et gratifiée par Saddam et considérée comme la plus grande du moyen Orient. J’y ai capté la totalité de la Nuit de la Résurrection 1973 au milieu d’un millier de fidèles, avec les cymbales pour chasser les mauvais esprits et les chantres accompagnant la belle voix de l’abbé Louis Kassab, aujourd’hui décédé. Pas de petit orgue japonais ni de cantiques libanais, mais des chœurs façon maqâm-al-°irâqî. (tout est enregistré). J’étais hébergé chez l’abbé Gaggi depuis l’Assomption 1972 et j’ai connu cinq générations de la famille Gaggi. J’ai capté de nombreux mariages, de l’église au salon-jardin de réception avec les dabkés mixtes en lignes (en 1972, seuls le marié et les hommes dansaient la dabké ; la mariée, les femmes et les enfants regardaient.). J’ai même capté une ordination avec Monseigneur Cassmoussa. A la fin de l’ère de Saddam, l’opulence et les chèques présidentiels ont engendré une manne de clochers, d’orgues, de marbres et des statues de la vierge dans le style de Lourdes. J’ai alors bien connu le courageux père Charbel Issou, créateur du Centre Saint Paul, chassé par la rivalité, que j’ai revu avec émotion sur le film de KTO. Puis est venu l’orage islamiste en août 2014 ; les habitants, dévalisés, y compris de leurs alliances, ont dû fuir vers Arbil-Ankawa. Les islamistes ont saccagé les maisons et les églises. A la libération, SOS-Chrétiens d’Orient a organisé des camps de reconstruction avec de jeunes chrétiens venus d’Occident. L’affaire a été utile et très florissante ; mais la pandémie a mis fin à cette expérience. Ainsi Monseigneur Gollnisch peut-il faire dire par Philippine de Saint Pierre que des jeunes musulmans ont reconstruit les maisons des chrétiens tandis que le monastère de Mar Behnam a été restauré en coordination avec les jeunes chrétiens de Fraternité en Iraq, une filiale de l’Oeuvre d’Orient. Monseigneur Gollnisch, qui a aussi voyagé avec le système qui nous gouverne et m’a euthanasié alors que je suis membre de l’Oeuvre d’Orient, passera à la postérité.

Le voyage papal se termine dimanche 7 mars 2021 en fin d’après-midi au stade d’Arbil-Ankawa, où dix mille personnes attendent le pape en agitant des drapeaux kurdes. Une papamobile permet à la vedette de faire le tour du stade comme un champion sportif sous les acclamations de la population enthousiaste avant de célébrer la messe devant une statue décapitée de la vierge rapatriée de Karamless, un petit bourg chaldéen situé au nord de Qaraqosh. Tous les dignitaires de la région autonome kurde et les Barzanis sont présents. On remarque Sa Sainteté Giwargis III, patriarche de l’Eglise d’Orient héritière de la mission de Saint Thomas, différenciée en 410, appelée syrienne orientale, nestorienne puis assyrienne (ashurî-orthodox) et :

Ittâ Qaddishtâ Shlikhâïtâ Qattoliqî d-Mandnêkhâ d-Atârâyê (araméen translittéré)

One Holy Apostolic Catholic Assyrian Church of the East (english).

Rencontre avec le père du petit Alan

A la fin de la messe, le pape rencontre Abdallah Kurdî, le père du petit Alan retrouvé noyé sur une plage de Grèce. Cette découverte, savamment mise en scène par les médias, a favorisé un mouvement d’attendrissement en faveur des migrants orchestré par le pape. Et, dans l’avion du retour, le pape martèlera son enthousiasme en faveur de la migration qui crée de l’emploi (sic) et mentionne le cas de la Suède, où il a rencontré une femme ministre issue de la migration qu’il considère comme une réussite de la souhaitable intégration. Sarkozy peut lui rappeler qu’il a nommé trois femmes ministres issues de l’immigration : Rachida, Rama et Fadîla. Macron apprécie que les mamans aient fait des ménages. Bergoglio  est lui même un migrant italo-argentin et il précise qu’il ne quittera plus son diocèse de Roma pour retourner au pays du Nueve de julio et du Tango peroniste qui l’avait recueilli. Et à son retour en Europe, Bergoglio se déclare opposé au populisme et au souverainisme. De même que les chrétiens minoritaires d’Iraq (un pour cent) doivent être soumis au gouvernement majoritairement musulman de l’Iraq, les catholiques du monde entier seraient soumis à un gouvernement mondial. Le pape ne serait plus alors que le représentant des catholiques qui continueraient à le croire infaillible. Bergoglio ne manque pas d’audace car il mélange la foi des fidèles qui l’a indirectement porté au pouvoir, et la politique de ses fantasmes qui pourrait bien le conduire à nous quitter. A la fin de son voyage, le pape a déclaré : « L’Iraq restera toujours avec moi dans mon cœur ». Et si nous considérons le cœur comme un élément privé, nous pouvons affirmer que ce voyage qui, publiquement, pardonne aux voleurs et aux assassins, et impose repentance de leur rancœur aux victimes déshonorées ou dépecées, est une réussite médiatique à la hauteur d’un Mondial sportif. Et nous dirons, comme les femmes chrétiennes de Mossoul au milieu des ruines islamistes de leur culture chrétienne : « Viva il papa Francesco » en appuyant nos vivas de zagharit/Youyous à l’adresse du campionissimo, Habemus Papam ad majorem Dei gloriam. Deo gratias! Et pour finir en musique. Mon disque consacré au luthiste iraqien syriaque orthodoxe Jamîl Bashîr a disparu à cause de la haine des pseudomusicologues. Suivons donc le regretté Mor Ignatios Zakka Iwas, patriarche syriaque orthodoxe né à Mossoul, qui choisissait le Allelujah composé par le Silésien luthérien Georg Frederich Haendel !

Jean Claude Chabrier

Photo : Claude TRUONG-NGOC/Wikimedia (cc)
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3 réponses à “Viva il Papa mobile !”

  1. Thib Mortier dit :

    Remarquable article, cultivé, documenté, un brin désabusé…

    Ce matin, le fil twitter du SB affichait côte à côte deux twittos : un de François, Pape, https://twitter.com/Pontifex_fr/status/1373560011176087558 , et un autre du Cardinal Sarah : https://twitter.com/Card_R_Sarah/status/1373538902787645442 Dans l’un, du vide (au mieux), dans l’autre, de la sagesse spirituelle.

    Il en va de même pour cet article, dans lequel se trouve une dense matière spirituelle et culturelle, versus la comédie des personnages officiels spirituels ou politiques, tartuffes vides et vains.

    Est-il permis d’espérer un dessillement des yeux de nos contemporains, ou doit-on se résigner à « vivre » dans cette insupportable légèreté contemoraine ?

  2. Albert-Jean ANTONELLI dit :

    Excellent article, un peu long et trop personnel pour le diffuser tel quel.
    Attention une erreur de date « Puis est venu l’orage islamiste en août 1914  » , nous l’avons corrigé, 2014 évidemment.

  3. Guelfucci dit :

    . Bien à l’abri dans sa Papamobile, François peut continuer à marmonner toujours la même chose aux innocents qui l’écoutent, laver et embrasser les pieds de nos ennemis dans une posture ridicule .. Octobre 2014 à Marseille 34 douilles dont 22 de pistolet mitrailleur kalachnikov réveillaient les voisins près de la gare Saint Charles, le 18 août un jeune homme de 18 ans était poignardé pas très loin de là …. et deux très jeunes filles nous ont quittés sans comprendre pourquoi, sur les marches de la gare Saint Charles baignant dans leur sang …Cette horreur a certainement pris naissance grâce à l’odieux Giscard qui nous a couvé un nœud de serpent (l’ayatollah) et c’est de pire en pire, tous les jours. Nos cimetières sont profanés, nos églises vandalisées, nos curés assassinés . Sur la stèle commémorant les hommes morts pour la France, en Corse au village de mon grand père, mon patronyme figure quatorze fois. Quatorze aujourd’hui frappent au couvercle de leur cercueil et me réveillent la nuit.
    A force de tendre l’autre joue, l’église a tendu le cou à la décapitation, à croire que les encensoirs projettent des produits hallucinogènes. La liberté c’est aujourd’hui avec le couvre feu, les masques , les autorisations écrites de sorties incompréhensibles, avec ou sans le chien, les commerces fermés, la peur de mourir dans la rue un couteau dans le dos, ou égorgé !. Pape François , l’enfer est sur terre avec vos protégés, désormais je prie sous un arbre .
    La logique du révolté est de s’efforcer au langage clair pour ne pas épaissir le mensonge universel (Albert Camus dans L’homme révolté).

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