Baraka City dissoute par Gérald Darmanin : Son fondateur Idriss Sihamedi conteste et se défend

Accusée par le gouvernement de « relations au sein de la mouvance islamiste radicale » et de « se complaire à justifier des actes terroristes », l’association BarakaCity a été dissoute mercredi 28 octobre en conseil des ministres, a annoncé Gérald Darmanin dans un Tweet.

Son fondateur Idriss Sihamedi conteste et se défend

Illustration : DR
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5 réponses à “Baraka City dissoute par Gérald Darmanin : Son fondateur Idriss Sihamedi conteste et se défend”

  1. Patrick Yves GIRARD dit :

    Mon pauvre Mouloud, pardon, Idriss, tu ne te rends même pas compte de l’impunité dont bénéficie les allégations du francmac dépositaire de l’arbitraires ripouxblicain…

  2. Pellerm dit :

    Rien d’autre que de la poudre aux yeux et faire semblant d’agir pour « rassurer » le peuple qui s’inquiète à juste titre de l’insécurité croissante … ça finira par déclencher une guerre civile …en fait , exactement ce qu’ils veulent pour répondre aux demandes des « chefs » du Nouvel Ordre Mondial … = diminution drastique de la population mondiale .
    Il suffit tout simplement de fermer nos frontières et de renvoyer tous les clandestins .

  3. Marquet dit :

    Ce sombre abruti pense que tout doit être réglé par les juges. Ignare il ne peut savoir qu’un décret de dissolution pris en conseil des ministres suffit pour dissoudre une association anti française! Pauvre type!

  4. Fabienne Menager dit :

    Je me permets de répondre car c’est tout à fait choquant. Même si vous ne publiez pas. Le ministre de l’Intérieur sait donc parfaitement ce qu’il doit faire. C’est simple, il suffit de remonter le temps pour comprendre. Le fondateur de cette association barakacity, n’a tout simplement pas été clair quand l’Obs lui posait la question « condamnez-vous l’Etat islamique ? » (publié le 26 janvier 2016). Puisque ce fondateur a répondu, je cite : « « S’ils tuent des gens, s’ils brûlent des gens dans des cages. Je vais pas vous dire oui. S’ils tirent sur des femmes enceintes. Je vais pas vous dire ‘non je condamne pas’. Donc je pense que oui. Mais je suis gêné de la question. » … C’est confus et c’est sûrement à dessein. Mais on peut facilement éclaircir car à la question, très claire, posée : « condamnez-vous l’EI? » la réponse est non moins claire : « S’ils tuent des gens, s’ils brûlent des gens dans des cages, Je vais pas vous dire oui. » … ça veut dire « non je ne condamne pas l’EI dans ce cas. » Il est dubitatif sur la deuxième option : « s’ils tirent sur des femmes enceintes. Je vais pas vous dire « non je condamne pas ». Donc, je pense que oui. » … ça veut dire « dans ce second cas, tirer sur des femmes enceintes, j’hésite. En principe, je vais pas dire que je condamne pas. Et ça vaudra un : à peu près oui » Et ça reste un à peu près car il ajoute qu’il est gêné par la question. Je suis désolée, il faut être clair sur ces questions et nos renseignements font donc un bon boulot et notre ministre aussi. Quand une personne, qui joue de son influence sur les réseaux sociaux, n’est pas plus claire que ça sur des questions aussi graves qui appellent des réponses tranchées, je ne vois aucun mal à la dissolution de son association. Au moins, c’est clair. Il insulte la République, la République, en le Conseil Constitutionnel dissout son association. « Dieu donne, Dieu reprend. » Il n’y a aucun mal à faire des exemples, en guise d’avertissements. Et il y a un principe majeur qui est de restaurer les vraies valeurs. Après tout, notre rôle en tant que citoyens est de veiller et de demander à nos représentants de veiller à être regardant pour chaque vie, que nos lois républicaines soient respectées et appliquées à travers tout le territoire. Enfin, nous sommes aussi bien regardants des vies des citoyens français que de celles des citoyens du monde qui nous visitent sur notre territoire. Le gouvernement est donc libre de faire respecter les lois de la République, et s’il juge suivant renseignements pris et suivant les propres dires d’un président d’association ayant de l’influence et en jouant, qu’il doit y mettre un terme, dire en deux mots : « ça suffit! », ce n’est pas seulement qu’il a le droit de le faire, mais c’est qu’il en a le devoir.

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