Ce mois de juillet qui vient de se terminer fut marqué par plusieurs crimes révoltants. Il y a eu d’abord le gendarme Mélanie Lemée, tué dans l’exercice de ses fonctions, à 25 ans, par le délinquant multirécidiviste Yassine E. Puis le chauffeur de bus à Bayonne Philippe Monguillot, qui laisse une veuve et trois filles derrière lui, tué par Mohamed C., Mohamed A., Moussa B. et Sélim Z. Et enfin Axelle Dorier 23 ans, tuée le soir de son anniversaire, par Youssef et Mohamed. Nous avons aussi appris la mort de Thomas (mais qui était survenue plus tôt), 23 ans tué par Rachid, qui venait de sortir de prison.
Deux points communs
Vous l’avez remarqué, le premier point commun de tous ces crimes : des Français tués par des maghrébins. Rien d’étonnant, pour les lecteurs attentifs de Breizh-info, qui savent qu’une importante part des crimes et délits commis en France sont le fait d’extra-européens ou d’étrangers. Cependant, ce qui peut encore nous surprendre, c’est la sauvagerie à laquelle ces criminels se livrent. Yassine E. n’a pas freiné et roulait à plus de 130km/h quand il a percuté Mélanie. Mohamed C., Mohamed A., Moussa B. et Sélim Z. ont massacré à coups de poings et de pieds Philippe. Youssef et Mohamed ont eux, trainé sous leur voiture, le corps de la jeune Axelle sur 800 mètres. Et enfin Rachid, après avoir asséné plusieurs coups de couteau à Thomas est revenu en arrière le poignarder encore car le pauvre garçon appelait à l’aide.
Le second point commun de ces affaires est la réaction des parents des jeunes Français tués. C’est ce que l’écrivain Renaud Camus appelle « l’hébétude organisée ». Je ne voudrais pas accabler ici des parents qui traversent un moment horrible. Quel drame de perdre son enfant, qui vient seulement d’entrer dans l’âge adulte. Cependant, les réactions de ces derniers sont consternantes. La propagande antiraciste du système politico-médiatique a montré son efficacité. Ces trois familles, après avoir perdu un enfant tué par un (ou des) maghrébin(s) disent en cœur « non à l’extrême droite ».
Des déclarations consternantes
Le père de Mélanie Lemée explique dans un entretien qu’il porte les valeurs de « vivre ensemble ». Et il a même une pensée pour le meurtrier de sa fille : « sa vie est fichue ».
La famille d’Axelle Dorier a elle choisi d’annuler la marche blanche qui devait se tenir en hommage à leur fille. Par peur de la « récupération politique ».
Les parents de Thomas trouvent que « Sarcelles a changé » en 35 ans et que la sécurité n’y est plus assurée. Sans comprendre le lien avec le Grand Remplacement de la ville. Mais ce qui est certain pour le père de Thomas c’est qu’il ne faut pas de récupération politique par « les réseaux nationalistes qui viennent polluer » cette affaire qui « prend de trop grandes proportions ».
Nous apprenions aussi, il y a seulement quelques jours, que Yanis El-Habib allait peut-être être libéré. Rappelez-vous, c’était en 2018. Avec son frère Younes, il avait tué à coups de couteau, près de Grenoble, Adrien ce Français de 26 ans qui fêtait son anniversaire. Les parents de ce dernier s’étaient dit « extrêmement choqués » de l’action de Génération Identitaire qui avait dénoncé ce crime avec une banderole. Et ils ne voulaient pas « que le visage d’Adrien devienne l’étendard de la haine ». Ces mêmes parents qui dénoncent l’insécurité à Grenoble mais sans se rendre compte qu’elle est due en grande partie à des membres de la communauté maghrébine.
Victoire de l’antiracisme
L’antiracisme, cette arme de sidération des foules, s’est montré efficace. Leurs enfants meurent (comme tant d’autres) sous les coups d’extra-européens, mais ce qui compte c’est le #Pasd’Almalgame et le danger de « l’extrême droite ». La même « extrême droite » qui, si on avait appliqué ses propositions depuis 40 ans, aurait évité ces crimes. Pour citer encore Renaud Camus, qui a souvent le bon mot, « Entre vivre ensemble, il faut choisir ». Visiblement ces gens ont choisi ensemble, même au prix de la vie de leurs enfants… Je le dis avec d’autant plus de tristesse que j’ai le même âge que ces jeunes Français tués, et il est probable que ma famille, s’il m’arrivait le même sort, soit aussi de celle qui crie au #Pasd’Amalgame.
Une veuve courageuse
Je souligne le courage de Véronique Monguillot, la femme de Philippe, le chauffeur de bus de Bayonne, qui dénonce avec force ce que son mari a subi, en nous épargnant la logorrhée antiraciste et la peur de « l’extrême droite ».
Bientôt la norme
Au-delà des réactions décevantes de ces parents, soyons certains d’une chose, ces crimes abjectes vont se multiplier. Aujourd’hui, ce que Le Gallou appelle les leucocides (les Français tués par des extra-européens), nous interpellent. Demain ils seront la norme, notamment à cause de la justice qui refuse d’enfermer les délinquants, l’immigration massive qui se poursuit et l’augmentation du nombre d’extra-européens sur notre sol.
Que faire ?
Chaque jour la réalité nous donne raison, l’immigration est loin d’être une chance pour la France. Il faut dénoncer les leucocides, et nous devons le faire nous-mêmes. Les médias les cachent ou les minimisent, et refusent de citer les noms des mis en cause. Si nous parlons aujourd’hui de Thomas, d’Axelle, de Mélanie, d’Adrien, ou de Philippe c’est grâce aux réseaux patriotes et identitaires qui ont fait connaître ces crimes, obligeant les médias du système à en parler. N’ayons pas peur « de la récupération politique » et de la propagande « antiraciste ». Décrire ce qu’il se passe en France, n’est pas de la récupération politique ou du racisme.
Aussi, mais c’est plus illusoire, les journalistes doivent citer les noms des suspects et les parlementaires doivent autoriser les statistiques ethniques sur tous les sujets.
Maxime JACOB, diplômé de science-politique, co-auteur avec Fiorina Lignier du Livre Tir à vue.
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