Propos liminaires
L’épidémie s’installe manifestement dans la durée. Son épicentre se déplace mais son intensité ne faiblit pas, loin s’en faut. On a pu penser qu’elle présentait un caractère saisonnier, mais son développement récent en Asie de l’Ouest en pleine saison estivale, dans des pays où les températures atteignent des sommets (Arabie Saoudite, Inde, Irak…), pose question.
Aucun des 213 pays ou territoires affectés n’a connu à ce jour une véritable deuxième vague épidémique, ce qui ne signifie pas qu’il n’y en aura pas…
Les chercheurs du monde entier travaillent aujourd’hui sur l’élaboration d’un vaccin. Les laboratoires chinois et russes participent évidemment à la course de vitesse engagée par les laboratoires occidentaux. Pour les uns, comme pour les autres, travailler dans la précipitation « pour gagner une course » ne constitue pas nécessairement un gage de qualité pour le produit qui devrait être élaboré… Il ne peut être exclu que d’autres études biaisées ou « bidon » du type de celle publiée dans le Lancet sur la chloroquine puissent, à nouveau, être concoctées pour promouvoir tel vaccin plutôt que tel autre… Les enjeux se chiffrent en milliards pour les laboratoires pharmaceutiques dont l’éthique s’est avérée plus que douteuse dans un passé récent…
Par ailleurs, le problème des traitements en situation d’urgence reste posé. Celui proposé par l’IHU de Marseille a été adopté par de très nombreux pays avec des résultats intéressants pour réduire la létalité. Appliqué au bon moment et avec le bon dosage, il est reconnu beaucoup plus efficace que le seul Doliprane par une très forte majorité de pays à l’exception notable de la France.
La France se retrouve donc isolée sur ce sujet : seule à avoir applaudi des deux mains l’étude reconnue frauduleuse du Lancet ; seule à avoir pris des mesures interdisant la prescription de la chloroquine et à les avoir maintenues malgré la révélation de « l’escroquerie Lancet », le retrait de cette étude « bidon » et le changement de position de l’OMS.
La collusion entre l’exécutif et certains responsables des institutions de santé d’une part, et les lobbies pharmaceutiques d’autre part, apparaît chaque jour davantage, avec son lot de corrupteurs et de corrompus jusqu’aux plus hauts niveaux. Pour ceux qui en douteraient encore, le procès du Médiator, entré dans sa phase finale, celle des réquisitions du procureur et des plaidoiries, vient à point nommé pour nous rappeler que cette corruption de certaines élites françaises parfaitement identifiées (politiques, experts auto-proclamés, personnels de médias spécialisés ou généralistes) n’est pas nouvelle… Il est curieux que les médias mainstream de notre pays nous parlent si peu du procès du Mediator qui a repris depuis trois semaines et dont les chefs d’accusation pourraient parfaitement s’appliquer aux événements dont nous sommes les témoins… Seul le quotidien France Soir a osé lever le voile sur certaines pratiques plus récentes.
Cette collusion, ces conflits d’intérêt, voire cette corruption, doivent être dénoncées avec force, et cesser dans notre pays qui semble, à certains égards, évoluer peu à peu vers un modèle élaboré de république bananière, voire de pays totalitaire.
La soviétisation, les conflits d’intérêt et la corruption existent bel et bien dans nos institutions de santé qu’il nous faut bien citer ici : Agences régionales de santé, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé qui a trop longtemps persisté à maintenir sur le marché français un médicament déclaré dangereux en Italie et en Espagne (le Mediator), mais qui interdit la prescription d’un médicament qui a sauvé des centaines de milliers de vie sur la planète et qui pourrait en sauver d’autres. Enfin, il ne faut pas les oublier, le Conseil de l’Ordre des Médecins, dont la direction actuelle, irresponsable, voire criminelle, poursuit les médecins qui ont osé combattre le coronavirus par autre chose que par du Doliprane, et/ou qui osent critiquer la gestion de cette épidémie et, bien sûr, le Conseil dit « scientifique », co-responsable du désastre humain, économique et social résultant de la gestion de l’épidémie dans notre pays.
À l’exception notable de Sud Radio et de son animateur vedette Bercoff, et du quotidien France Soir, une majorité des médias a complaisamment relayé, jour après jour, les mensonges d’État et ceux dictés directement ou indirectement par la « mafia pharmaceutique ». Ils sont, eux aussi, co-responsables du désastre humain, économique et social de notre pays et y ont perdu en crédibilité.
Tout cela est une honte pour notre pays, pour sa gouvernance, pour ses instances administratives de santé, pour ses médias. De telles dérives peuvent-elles être corrigées ? Rien n’est moins sûr tant sont fortes les pressions de tous ordres exercées sur une classe politique de moins en moins apte à y résister…
Conseil du jour : à visionner, deux courtes vidéos et une longue pour ceux qui ont le temps.
1 – Une interview de 5 minutes du professeur Perronne sur BFMTV. Tout est dit clairement, simplement dans un langage accessible à tous.
2 – Une vidéo de 3 minutes à la fois amusante et terrifiante qui montre à quel point le citoyen d’aujourd’hui arrive à se soumettre volontairement à la pression du groupe et combien il devient alors sensible aux manipulations de tous ordres… y compris électorales…
3 – L’audition de 3 heures en commission de l’Assemblée nationale du professeur Didier Raoult. On peut se limiter aux 30 premières minutes.
DD
Point de situation du samedi 27 juin 0h00 GMT
Depuis le début de l’épidémie :
213 pays ou territoires ont été affectés par le virus, pour 9 898 083 cas déclarés (+ 555 495 en 72 h).
496 072 décès (+ 17 168 en 72 h) ; 5 350 254 guérisons (+ 313 517 en 72 h) ;
4 051 757 patients en cours de traitement (+ 224 610 en 72 h), dont 57 664 en état critique (– 247 en 72 h).
À noter que : 7 pays ou territoires ne seraient toujours pas affectés par l’épidémie à ce jour.
28 pays ou territoires qui ont été affectés ne le sont plus.
L’évolution des pertes déclarées des derniers jours se résume en un tableau : À sa lecture, on réalise à quel point la mortalité reste très faible en Océanie et en Afrique, à quel point elle recule en Europe et s’apaise en Amérique du Nord, à quel point elle se détériore en Amérique latine et en Asie de l’Ouest (Inde et pays voisins).
- 36 pays ont déclaré plus de 1 000 décès depuis le début de l’épidémie : dans l’ordre des pertes (USA, Brésil, Royaume Uni, Italie, France, Espagne, Mexique, Inde, Iran, Belgique, Allemagne, Pérou, Russie, Canada, Pays Bas, Suède, Chili, Turquie, Chine, Équateur, Pakistan, Indonésie, Colombie, Égypte, Afrique du Sud, Suisse, Irlande, Bangladesh, Roumanie, Irak, Portugal, Arabie Saoudite, Pologne, Philippines, Argentine, Ukraine).
- Sur les 496 072 décès enregistrés dans le monde depuis le début de l’épidémie, 477 370 (96,2%) l’ont été dans ces 36 pays.
À l’échelle de la planète, la pandémie se poursuit sans faiblir. Le nombre des décès quotidiens (15 136 en 3 jours) ne diminue toujours pas et celui des cas critiques (57 664) reste élevé. La forte augmentation des nouveaux cas déclarés, plus d’un million par semaine, ne signifie pas nécessairement que l’épidémie s’emballe. Elle constitue le signe que tous les États ont enfin compris l’intérêt de tester pour mieux connaître et maîtriser l’épidémie. En testant davantage, on détecte toujours davantage… L’épidémie continue son reflux en Europe mais le virus y circule encore beaucoup (plus de 45 000 nouveaux cas en 3 jours), plus d’un million de patients en cours de traitement (si l’on tient compte de ceux des 4 pays qui ne déclarent plus ce genre de détails : UK, Espagne, Suède et Pays-Bas), plus de 6 000 cas critiques (nombre qui ne diminue pas très vite…). Le virus se répand en Asie de l’Ouest (Inde, Bangladesh, Pakistan, Arabie saoudite, Irak, Iran). Les caps des 10 millions de cas et des 500 000 décès seront franchis aujourd’hui 27 juin. 28 pays ou territoires affectés par le virus sont totalement sortis d’affaire.
Sur les trois derniers jours, le Brésil l’emporte encore largement sur les USA en nombre de décès. L’Amérique latine reste toujours l’épicentre de l’épidémie et enregistre quatre fois plus de pertes que l’Amérique septentrionale (USA+Canada). Sur les 15 136 décès des quatre derniers jours, 7 870 sont latino-américains, 2 169 sont US ou canadiens et 1 539 sont européens. Mais la situation redevient préoccupante en Asie de l’Ouest avec un nouveau foyer important en Inde (+ Pakistan + Bangladesh + Arabie saoudite + Irak). Si l’on y ajoute l’Iran et la Turquie, les pays de la région comptent désormais près de 20 % des nouveaux cas de la planète : près de 30 000 nouveaux cas/jour.
Les bilans les plus lourds de la journée d’hier restent ceux du Brésil, des USA et du Mexique. Ces trois pays ont déclaré hier, à eux seuls : 51,7 % des nouveaux cas, 50,1 % des nouveaux décès et 42,5 % des cas critiques de la planète.
Un tableau du bilan actuel du nombre de cas et de décès par grande région du monde permet de voir, en un coup d’œil, celles qui s’en sortent bien, pour l’instant. Les continents ou sous-continents sont classés par taux de mortalité Covid par million d’habitants.
L’Océanie, l’Afrique et l’Asie enregistrent des taux de mortalité encore très faibles, et, à elles trois, une part des pertes mondiales de l’ordre de 13 % alors qu’elles regroupent 77 % de la population. L’Europe et le continent américain (Nord et Sud) enregistrent près de 87 % des pertes pour moins de 23 % de la population mondiale. La part de l’Europe et de l’Amérique septentrionale baisse, peu à peu. Les parts de l’Amérique latine, de l’Afrique et de l’Asie (de l’Ouest) s’accroissent.
Les taux de mortalité Covid des pays en développement, les plus pauvres, restent très inférieurs à ceux des pays riches qui ont pourtant les moyens de mieux se soigner.
Pour relativiser encore et toujours les bilans humains de cette pandémie, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) nous apprend que, chaque année, la grippe saisonnière est responsable de 5 millions de cas « graves » qui entraînent entre 280 000 et 600 000 décès. Le Covid-19 n’a affecté, à ce jour, que 9,90 millions de personnes (testées) dont près de 1,2 million de cas graves qui se sont traduits par près de 500 000 décès.
Situation par pays
La Chine continue d’aller bien. Avec 44 nouveaux cas déclarés en 3 jours, 389 patients encore sous traitement dont 8 cas sérieux, et 0 nouveau décès, elle reste en bien meilleure situation qu’un continent européen, pourtant deux fois moins peuplé, qui a largement déconfiné mais qui déclare encore plus de 45 000 nouveaux cas en 3 jours, 1 million de patients sous traitement dont plus de 6 000 cas critiques et qui enregistre encore plus de 1 500 décès en 3 jours. La Chine va mieux que la Belgique, pays avec lequel nous avons ré-ouvert nos frontières sans la moindre inquiétude, et qui compte pourtant 7 fois plus de nouveaux cas, 5 fois plus de cas critique et beaucoup plus de nouveaux décès que la Chine (qui n’en a pas) au cours des trois derniers jours.
Pour que chacun comprenne bien où en est la Chine aujourd’hui, voici le tableau du jour présentant la situation et les pertes des dix pays d’Asie les plus affectés par l’épidémie.
Il est surprenant que nos médias mainstream restent aussi discrets sur la situation préoccupante de l’Asie de l’Ouest (Inde, Pakistan, Bangladesh, Arabie saoudite, Iran, Irak).
Comparé aux 44 nouveaux cas/jours de la Chine ou aux 109 cas de l’Océanie (en 3 jours), continent et sous-continent objets de longs et inquiétants reportages sur le 13 heures de TF1, les 31 263 nouveaux cas des 6 pays cités ci-dessus semblent beaucoup plus préoccupants… Nos médias zooment sur le détail et oublient de traiter l’essentiel… Ce n’est pas de la bonne information.
Les USA ont enregistré encore hier, à eux seuls, 24,3 % des cas Covid de la planète. Ils ont déclaré 25,7% des pertes de l’épidémie (Chine : 0,94%). Le nombre des décès quotidiens reste encore supérieur à 650. Le nombre de patients en cours de traitement approche les 1,36 million et continue d’augmenter. Celui des cas critiques reste très élevé à près de 16 000. Il ne baisse toujours pas non plus. Les USA ne sont donc toujours pas au bout de leurs pertes.
La situation réelle du Royaume-Uni « devrait » être tout de même en amélioration. Ainsi, le nombre des cas critiques ne « serait » plus que de 311 (deux fois moins que celui de la France). Le niveau des pertes est et restera, de loin, le plus élevé d’Europe. Le déconfinement progressif se poursuit.
La situation du Brésil continue d’être très préoccupante. Tous les indicateurs restent au rouge. Les nombres des nouveaux cas (2ème au monde derrière les USA avec le quart des nouveaux cas de la planète) et le nombre des cas critiques (3ème derrière les USA et l’Inde à 8 318) restent très élevés. Le nombre de décès quotidiens a très largement dépassé celui des USA depuis trois semaines. Le Brésil est toujours dans le dur de l’épidémie. Des nombres de décès supérieur à 1 000/jour devraient être la norme dans les jours qui viennent (hors pause dominicale).
Au Mexique, le nombre de décès quotidiens reste compris entre 750 et 1000. Ce pays est, à son tour, dans le dur de l’épidémie. Avec le Brésil et les USA, il devrait enregistrer plus de 50 % des décès de la planète dans les jours qui viennent.
En Amérique latine, les pertes humaines se concentrent, en fait, dans huit États qui déclarent 97% des décès « latinos ». Les autres pays ou territoires des Caraïbes et d’Amérique du Sud restent largement épargnés par l’épidémie.
La situation de la France ne s’améliore plus vraiment. Son nombre de nouveaux cas augmente très fortement (triplement par rapport à la moyenne des jours précédents). Son nombre de cas critiques ne baisse plus. Son taux de mortalité Covid est, à ce jour, de 456 décès par million d’habitants (hors décès à domicile), pour une moyenne mondiale de 63,6. Pour le nombre des décès la France est, et restera à la troisième place des pays européens derrière le Royaume-Uni et l’Italie et devant l’Espagne.
Pour la « létalité » Covid confirmée (Nb de décès/Nb de cas confirmés), la France est « championne du monde » avec un taux 18,5 %. Il est vrai que, mis à part quelques exceptions locales, elle a trop peu testé, pris en charge trop tard de trop nombreux patients et trop compté sur le Doliprane et la « guérison spontanée » pour pouvoir espérer sauver un maximum de vies.
Les résultats des recherches annoncées en début d’épidémie sont toujours attendus alors que celle-ci touche à sa fin. Parce qu’elle teste enfin plus qu’avant, la France découvre toujours plus de nouveaux cas (1 598 hier). Cela lui permet d’acquérir une meilleure connaissance de la circulation du virus, d’appliquer des mesures d’isolement ciblée des cas et des foyers détectés, et de les traiter au plus tôt.
La France reste encore à la traîne en matière de guérison (46,2% des cas confirmés), elle fait moins bien que la Russie qui a guéri 62% de ses patients, que le Maroc qui en a guéri 75% (avec la chloroquine toujours interdite de prescription pour le Covid dans un seul pays au monde : la France…), que l’Italie qui en a guéri 78%, que l’Iran qui en a guéri 81,7%, que la Turquie qui en a guéri 85,6%. Elle a beaucoup moins guéri que l’Allemagne qui a déjà renvoyé 91,1% de ses patients chez eux, que la Suisse qui en a guéri 92,1%, que l’Autriche qui en a guéri 93,3%, etc.
La situation de l’Italie s’améliore lentement : stabilisation des cas critiques, une hausse très sensible des guérisons dont le nombre est toujours beaucoup plus important que les nouveaux cas. Le nombre des décès reste faible (30 hier).
L’Espagne a retrouvé le cours normal des déclarations quotidiennes après avoir modifié son système de suivi. Si le nombre des décès quotidien reste inférieur à 10, ceux des nouveaux cas et des cas critiques ne baissent pas.
La situation de l’Allemagne est stabilisée : les guérisons équilibrent les nouveaux cas. Le nombre des cas critiques ne baisse plus. Le nombre des décès reste très faible.
Avec un taux de mortalité de 840 décès par million d’habitant, la Belgique est et restera le leader incontesté de cet indicateur (hors micro-États). Le nombre de nouveaux cas est encore élevé (près de 300 en 3 jours) pour un pays de 11 millions d’habitants. Le nombre de patients sous traitement continue d’augmenter. Il est, lui aussi, très élevé au regard de la population. Le taux de guérison réalisé à ce jour est faible (27,7% seulement des cas déclarés à ce jour). La Belgique reste encore un des foyers les plus actifs de l’épidémie en Europe de l’Ouest. C’est sans doute la raison pour laquelle la France a ré-ouvert la frontière avec ce pays, « véritable cluster européen », sans la moindre inquiétude… La gestion de l’épidémie en Belgique se sera incontestablement distinguée par les résultats les plus calamiteux de la planète… Mais les Belges déclarent les décès Covid à domicile, ce que ne font pas certains des ses voisins…
Les situations du Canada et de l’Iran sont stables, celles de la Turquie, du Portugal, de la Suisse, de la Suède, de l’Irlande et de la Russie s’améliorent, celles des pays d’Amérique latine et des pays de l’Asie de l’Ouest se détériorent.
En Russie, près d’un habitant sur huit a déjà été testé, ce qui représente un des taux de détection les plus élevés au monde (hors micro-États) d’où un nombre très élevé de nouveaux cas détectés (4ème derrière les USA, le Brésil et l’Inde avec encore 6 800 nouveaux cas hier). Le compteur des cas sérieux ou critiques est bloqué à 2 300 depuis plus de trois semaines. Avec 227 861 patients sous traitement, la Russie est en 3ème position derrière les USA et le Brésil. Mais ce nombre diminue rapidement, car le nombre de guérisons excède largement celui des nouveaux cas. Le nombre des décès quotidiens est en baisse. Le taux de mortalité russe par million d’habitants a atteint 60. Il reste inférieur à la moyenne mondiale (de 63,6 aujourd’hui). Il est plus de sept fois inférieur à celui de la France. Parce qu’elle détecte vite, isole et traite sans attendre, et parce qu’elle applique une stratégie et un protocole inspirés de ceux de l’IHU de Marseille, la Russie a déjà guéri 62% des cas confirmés.
Les taux de mortalité par million d’habitants des 36 pays ayant dépassé les 1 000 décès, dans le tableau ci-dessous, donnent une petite idée des zones géographiques les plus touchées et/ou de la qualité de la gestion de l’épidémie par les gouvernances de chacun des États.
Pour mémoire, le taux de mortalité Covid-19 est de 63,6 décès par million d’h. au niveau mondial.
Un tableau présente ci-après les bilans des 36 pays ayant déclaré plus de 1000 décès (96,2% des pertes).
Ci-après, voici le tableau de données concernant l’Europe et l’UE face à l’épidémie.
Général (2s) Dominique Delawarde
Illustration : DR
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