La dictature morale au Royaume-Uni est en marche. Le supporter de Burnley qui est à l’origine de la banderole « White Lives Matter » au-dessus du stade d’Etihad a été licencié de son travail. Sa compagne, Megan, a également été sanctionnée. Il a également été banni à vie du club de Burnley..alors même que ce club est le symbole d’une classe ouvrière blanche qui ne veut pas mourir.
Apportez-lui votre soutien avec le hashtag #IStandWithJakeHepple
La presse anglais, elle, vomit toutes les informations qu’elle possède sur le jeune homme et sa femme, au mépris de toute vie privée.
And his girlfriend, Megan Rambadt, was sacked by her employer Solace Foot Health and Reflexology, who issued a series of statements on Monday night as a result of her racist comments online. Respect to them and Hepple’s employer Paradigm Precision! https://t.co/zlDnl6rXdy pic.twitter.com/wUiENBjs1z
— Jack Nowicki (@JackNowicki1) June 24, 2020
Jake Hepple, 24 ans, a été licencié de son poste de soudeur chez Paradigm Precision, basé dans le Lancashire, cet après-midi, l’entreprise ayant déclaré qu’elle « ne tolérait ni n’approuvait le racisme sous aucune forme ».
M. Hepple a en effet profité d’une interview avec MailOnline pour annoncer qu’il ne regrettait pas son geste. (…)
Il a déclaré : « Cette bannière a été inspirée par le mouvement Black Lives Matter. (…) Je crois qu’il est également important de reconnaître que les vies blanches comptent aussi. C’est tout ce que nous voulions dire ».
(…) Sa petite amie Megan Rambadt, 21 ans, a également fait l’objet de critiques pour certains de ses messages sur les réseaux sociaux et a été suspendue de son emploi d’esthéticienne.
L’homme a déclaré que la police lui a rendu visite à son domicile mardi soir pour lui dire qu’il ne serait pas poursuivi au pénal. Il a ajouté qu’ils lui ont également offert une protection au cas où lui ou sa famille serait menacé à l’avenir à cause de la banderole.
Il a ajouté : « La police m’a dit que je n’avais commis aucun crime et que je n’avais rien fait de mal. En fait, ils m’ont demandé si j’allais bien et si je voulais une protection, juste au cas où des gens essaieraient de s’attaquer à moi. Je ne comprends pas pourquoi on me traite comme un criminel (…) ».
Illustration : DR
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