La Propagande en faveur de « Black Lives Matter » atteint un paroxysme impressionnant outre-Manche notamment (sans compter ce qui se passe aux USA dans certaines grandes villes comme Seattle).
La presse et les pouvoirs publics s’y adonnent quotidiennement à un déferlement de haine visant ceux qui osent émettre des protestations (comme les milliers de Britanniques qui ont cherché à protéger leurs statues ce week-end, certains d’entre eux étant tout simplement lynchés par des hordes de sauvages).
Ci-dessous une vidéo des rassemblements, à l’appel de Vétérans de l’armée britannique, mais aussi de nombreux supporteurs de football et de patriotes. Pour la presse britannique (et occidentale), tout ce beau monde se regroupe « objectivement » sous le qualificatif « d’extrême droite ».
Des supporteurs de football qui vont être déçus par la politique qui s’apprête à déferler dans les stades de football anglais à l’occasion de la reprise de la Premier League mercredi. En effet, à cette occasion, la Premier League a annoncé qu’elle autoriserait les joueurs à mettre un genou au sol « avant ou après les matchs » à la reprise du Championnat. Leurs noms seront par ailleurs remplacés par le slogan « Black Lives Matter » au dos de leurs maillots.
Alors que traditionnellement, tous les gestes à connotation politique sont exclus des stades et susceptibles d’entraîner des sanctions pour les supporteurs qui en font usage, ici, c’est l’institution Premier League directement qui officialise l’entrée de la politique dans les stades de football, prenant en otage les fans. Ces inscriptions seront portées lors des deux matchs en retard prévus mercredi 17 juin – Manchester City – Arsenal et Aston Villa – Sheffield United – puis des 10 rencontres de la 30ème journée qui seront jouées entre le vendredi 19 et le lundi 22.
La démarche est officiellement soutenue par la fédération anglaise et par les organisations syndicales représentants les entraîneurs, les joueurs et les arbitres. Officiellement, car il va sans dire qu’en ces heures de propagande politique et médiatique intensive visant à nous faire croire que les Noirs seraient opprimés dans nos pays, le moindre joueur qui s’élèverait contre cette décision serait dénoncé, lynché médiatiquement, et verrait sa carrière brisée.
Pourtant, il suffit de regarder la composition ethnique des championnats anglais, français, allemands, pour se rendre compte que, petit à petit, les autochtones y sont remplacés. En France notamment, il y a, comme nous l’avions déjà repéré, plusieurs journées durant lesquelles les joueurs noirs sont majoritaires au mépris de la représentativité de la population française.
Concernant le Royaume-Uni, un article de talkSPORT évoquait en 2017 déjà le doublement, depuis la saison 1992-1993, du nombre de joueurs extra-européens. « La proportion de joueurs de la Premier League britannique d’origine noire, asiatique et ethnique minoritaire a doublé depuis la création de la ligue en 1992. Une étude exclusive menée par talkSPORT révèle que le week-end d’ouverture de la première saison de la Premier League, on comptait 218 joueurs britanniques dans toutes les équipes de départ, dont 36 d’origine BAME(1), soit une proportion de 16,5 %. Au début de la saison 2017-18, la proportion était de 33 % ».
Les joueurs noirs et asiatiques sont donc surreprésentés dans le plus grand (et le plus cher) championnat du monde, ce qui constitue pour le coup une vraie discrimination vis-à-vis des Britanniques de souche, qui se voient écartés à la fois par ces minorités de moins en moins minoritaires mais aussi par les conséquences de la mondialisation du football qui permet à des clubs d’acheter des stars partout dans le monde pour fabriquer des équipes sans aucune identité (Manchester City en est d’ailleurs un bel exemple…).
Pour les fans de football, ne reste plus dès lors qu’à ne plus regarder la Premier League et sa propagande « prise d’otage » tout simplement. Ou à supporter des clubs comme Burnley, une des seules équipes composée à 80 % de joueurs britanniques, ou encore à se tourner vers des divisions inférieures, pour y voir ce qui constituait encore la règle dans le football anglais il y a quelques décennies.
Il y a comme des relents nauséabonds dans la société qu’ils sont en train de nous fabriquer…
(1) « Black, Asian and Minority Ethnic »
Illustration : DR
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