L’horreur, une fois de plus, en Bretagne. Une jeune femme affirme avoir été violée, dans la nuit du 14 au 15 juillet 2019, à proximité du squat de migrants de Saint Herblain.
Selon la victime, il s’agirait d’un migrant. Une enquête est en cours. Sur la page Facebook des riverains du squat de migrants, la description du viol de la jeune femme est effroyable (mais sans doute nécessaire pour que les autorités se rendent compte de ce qu’ils autorisent au quotidien, en France comme en Europe, du fait d’un abandon total, question sécurité, des citoyens qui peuplent nos pays).
A noter que la presse mainstream est parfaitement silencieuse ou prudente sur cette affaire – nettement plus que lorsqu’il s’agit de relayer certaines campagnes (Meetoo and co).
Quelques jours seulement après qu’une femme ait retrouvé son appartement saccagé par des migrants « mineurs », cela commence à faire beaucoup.
A Calais, ce sont deux enfants qui ont été récemment agressés sexuellement par un migrant. A Lyon, c’est un migrant algérien qui a sévi.
En Allemagne, l’explosion des agressions sexuelles du fait des migrants n’est même plus cachée : à Berlin, la réponse se veut « pédagogique » avec des cours sur les « moeurs sexuelles » enseignés aux réfugiés.
Les autorités jouent toutefois avec le feu. Que se passera-t-il le jour où des citoyens décideront de se faire justice eux-mêmes voyant que les autorités laissent entrer et agir sur le territoire des prédateurs sexuels potentiels ?
La situation semble s’aggrave de jour en jour, et les autorités font la politique de l’autruche, tandis que des associations poursuivent le travail d’implantation de migrants, dans les villes comme dans les campagnes. Jusqu’au jour où…
Photo d’illustration : DR
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