MAJ du 30 juillet 2019 : Nous venons de recevoir, suite à cette tribune libre de Julien Dir, une mise en demeure de la part de l’association SOS Homophobie. L’association nous demande de retirer certains passages et menace de poursuites, de tribunaux, évoquant des risques de prison, donnant ainsi raison au final à l’auteur de l’article qui expliquait avant tout que le lobby LGBT ne représente pas l’immense majorité des homosexuels qui considèrent que leur sexualité relève de l’intime et de la vie privée.
Nous vous laissons découvrir cette mise en demeure et avons donc supprimé les passages incriminés.
Je suis un homme hétérosexuel. Un homme normal, oserais-je dire, si je n’étais désormais menacé de procès, d’amende, de prison, de mort sociale et professionnelle, pour avoir énoncé ce qui apparait pour une évidence aux yeux de 90% des êtres humains sur terre.
Les homosexuels ne m’ont jamais dérangé. Je ne les ai jamais dérangé non plus, ça ne me serait jamais venu à l’esprit. Chacun fait ce qu’il veut avec son c… ai-je envie de dire. Ces pratiques sexuelles ont existé de tout temps. Elles ne regardent que ceux qui les pratiquent.
Mais tout cela, c’était avant. Car à partir du moment où cette homosexualité a été revendiquée à tout bout de champ, à la télévision, à la radio, dans la rue, à l’école, dans les institutions, j’ai commencé à être de plus en plus mal à l’aise. Pédale douce, ce n’est pas gênant, c’est même éventuellement drôle. Ce qui est gênant, dérangeant, dangereux, c’est quand Pédale douce est érigé en quasi modèle de société par des lobbys qui semblent avoir une détestation de l’espèce humaine telle qu’elle a pourtant vécu depuis des millénaires.
D’une pratique sexuelle – jugée déviante et même condamnée dans d’innombrables pays sur notre planète – on est passé à un quasi projet de société en Occident. De quelques couples ici ou là, parfois injustement moqués d’ailleurs ou vivant dans le secret – PASSAGE CENSURÉ. Ne pas cautionner la « marche des fiertés » ((la Gay pride), et le fait de voir des hommes ou des femmes en cuir montrant leurs fesses sur un char, fait désormais de vous un homophobe qui mérite le lynchage.
Au final, ce ne sont plus des droits que défend ce lobby LGBT. C’est un modèle de société. C’est presque une tentative de subvertir une partie de la jeunesse en lui disant « Toi aussi, tu peux être homosexuel si tu le veux, ou transexuel, ou ce que tu veux ». Un raisonnement par ailleurs étrange. ̶ PASSAGE CENSURÉ. #WTF comme on dit.
Je n’ai pas envie qu’on explique à mes enfants qu’ils peuvent, si ils veulent, devenir des homosexuels. Si ils venaient à l’être, je ne les renierai pas pour autant, loin de là. Mais ils doivent savoir que si le monde n’avait compté que des homosexuels lorsque la vie est apparue sur terre, alors nous ne serions pas là pour écrire, pour commenter, et ce lobby n’existerait d’ailleurs pas. L’homosexualité généralisée est une impasse à la vie naturelle sur terre. C’est un fait. Il est d’ailleurs paradoxal de voir des écologistes prétendus soutenir le lobby LGBT.
̶L̶e̶ ̶L̶o̶b̶b̶y̶ ̶L̶G̶B̶T̶ ̶ PARAGRAPHE CENSURÉ
En réalité, comme d’autres « minorités » qui cherchent quotidiennement à avoir de plus en plus d’influence, le lobby LGBT est en train de susciter chez une partie croissante de la population de la colère (de la haine ?). Le type qui gueulait « enculé » dans un stade de football sans y voir la moindre connotation homophobe, comme le gamin qui traite de « PD » un autre gamin au lycée – n’en peuvent plus, qu’une poignée d’apprentis sorciers veuille dicter leur loi par esprit revanchard et presque par héterophobie.
Il serait tout de même temps que le lobby LGBT – peut être s’en moque-t-il eu égard de son influence croissante et de l’économie qui est générée autour de ce lobby – se rende compte que par ses actions et son comportement, condamné par ailleurs par de nombreux homosexuels, est le plus grand vecteur d’homophobie, aujourd’hui, dans nos sociétés occidentales.
Julien Dir
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