95% des pickpockets dans les transports publics à Bruxelles sont des étrangers . Selon des chiffres obtenus par un membre du Parlement, environ 95% des pickpockets opérant dans les transports en commun bruxellois ou à proximité de ceux-ci sont des étrangers.
Le député belge Brecht Vermeulen (N-VA) aurait demandé des informations sur les nationalités des petits voleurs au ministère de l’Intérieur et aurait partagé ses conclusions avec un journal local.
Entre 2008 et le premier trimestre de 2018, seuls 5% des pickpockets capturés par les autorités avaient la nationalité belge. Les données sur les 95% restants sont divisées en trois sous-catégories. 46% de ces 95% proviennent de pays extra-européens, 43% de résidents de l’Union Européenne, et 5,9% de pays européens non membres de l’UE (ex : Albanie).
Le député Vermeulen estime inacceptable de ne pas savoir combien de délinquants étrangers se trouvent en Belgique. « Nous ne pouvons pas nous mettre la tête dans le sable » a déclaré Vermeulen. « Mesurer, c’est savoir. Seules des informations détaillées peuvent permettre aux autorités politiques et aux services de sécurité concernés d’élaborer une politique de sécurité adéquate. Les problèmes des migrants à la gare de Bruxelles-Nord, l’un des principaux centres de transport public à Bruxelles, sont connus.»
Sam van Rooy, représentant local du Vlaams Belang, a récemment tweeté une vidéo de lui-même marchant dans la gare de Bruxelles-Nord.
#Marrakesh-debat: van de ivoren toren die het parlement is naar de weerbarstige realiteit.
Heel de benedenverdieping van #Brussel-Noord is een vies, vuil en onveilig open illegalenkamp. Onbekommerd spelen ze er voetbal. Het is van hun geworden. En niemand die er iets aan doet. pic.twitter.com/sPnne1z2KK
— Sam van Rooy ? (@SamvanRooy1) 7 décembre 2018
« Tout le rez-de-chaussée de Bruxelles-Nord est un camp illégal ouvert, sale, sale et dangereux » écrit-t-il. « Des milliers d’immigrés clandestins restent au cœur de Bruxelles, capitale de la Belgique et de l’Europe, et le gouvernement ne fait rien à ce sujet » a déclaré le journaliste belge Tom Lallemand à Infowars Europe. « Dans la station, ils harcèlent les femmes et laissent leurs déchets et même leurs excréments partout.»
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