Droguée et violée par des migrants africains dans un squat de Rome, une jeune italienne de 16 ans est décédée.
Viol collectif sur une jeune fille de 16 ans
Elle s’appelait Désirée Mariottini et elle n’avait que 16 ans. Son corps a été retrouvé dans la nuit du 18 au 19 octobre dernier dans un bâtiment abandonné et du quartier San Lorenzo à Rome.
La jeune fille, originaire de Cisterna di Latina, près de la capitale de l’Italie, a été droguée et violée dans des circonstances qui sont encore floues à ce stade de l’enquête. Toutefois, l’autopsie réalisée a bien confirmé la présence de drogues dans son organisme. Tout comme le fait qu’elle ait été violée collectivement.
Dans la soirée du 17 octobre, Désirée Mariottini a appelé sa famille pour lui dire qu’elle avait manqué l’autobus et qu’elle allait « rester chez un ami ». Ce sera le dernier signe de vie de la jeune fille. Elle sera portée disparue le lendemain.
Si le bâtiment dans lequel la victime a été retrouvée était abandonné, il était aussi devenu un squat pour migrants où se déroulait notamment du trafic de drogue.
Deux clandestins Africains arrêtés à Rome
La jeune fille a-t-elle été conduite de force dans ce lieu sordide ou s’y est-elle rendue pour y acheter de la drogue ? Les raisons de sa présence ne sont toujours pas déterminées. Le quartier San Lorenzo est aussi connu pour son campus universitaire et sa vie nocturne active.
Du côté des enquêteurs, les choses avancent avec l’arrestation de deux migrants sénégalais en situation irrégulière. Par ailleurs, un troisième suspect et deux autres complices sont aussi dans le viseur de la police. De plus, un autre Sénégalais témoin de la scène s’est présenté aux forces de l’ordre italiennes pour raconter ce qu’il avait pu observer :
« Je suis arrivé à minuit et une fille criait. J’ai regardé la femme crier et il y avait une autre fille au lit : ils avaient mis une couverture sur sa tête mais on pouvait quand même la voir. Je ne sais pas si elle respirait, elle semblait déjà morte, parce que l’autre fille criait et disait qu’elle était morte. Il y avait des Africains et des Arabes, six ou sept personnes. Une autre fille était là. Elle criait qu’ils l’avaient violée. »
Matteo Salvini : « revenir avec le bulldozer »
Pour sa part, le ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini ne s’est pas encombré de formules alambiquées pour évoquer ce nouvel acte abject causé par l’immigration extra-européenne et le trafic de drogues :
« En tant que ministre de l’Intérieur, je m’engage à tout nettoyer et à revenir avec le bulldozer. À Rome, il y a une centaine de bâtiments abandonnés qui sont occupés illégalement par des criminels », a-t-il déclaré lors de sa visite à San Lorenzo le 24 octobre. Matteo Salvini a aussi précisé qu’il s’était entretenu avec le procureur général de Rome à qui il a demandé « d’utiliser une main de fer ».
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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