02/06/2015 – 14h15 Rennes (Breizh-info.com) – « Je veux qu’ils payent ». Le fils de Maryvonne Thamin est en colère et le fait savoir, après avoir retrouvé la maison de sa mère, située au 94 rue de châtillon, à Rennes, totalement saccagé par les squatteurs – qui ont révélé par leurs tags et leurs agissements leur nature de militants d’extrême-gauche.
Faucille et marteau, insultes, revendications politiques (« ici on a résolu la crise du logement », « Ouest-France Collabo », « Emeutes, Pillage, Sabotage ») ornaient les murs d’une maison à reconstruire presque entièrement, tant les dégâts laissés par les squatteurs semblent nombreux. Des individus qui, depuis quelques semaines, tentaient de passer pour de pauvres précaires, cherchant un logement à tout prix à Rennes, dénonçant « le complot fasciste » contre leur groupe de squatteurs.
Des individus qui – sommés de quitter les lieux – ont vandalisé la maison – qu’ils disaient pourtant avoir retapée – pour se venger de la décision de justice qui redonnait à l’octogénaire sa propriété et ordonnait leur expulsion immédiate.
Cerise sur le gâteau, ce mardi matin, alors que policiers, avocat et huissier entraient dans les lieux, ils ont découvert 4 mineurs sans papiers qui avaient été déposés dans les lieux et qui y avaient passé la nuit, signe d’une passerelle clairement établie entre les réseaux de soutien aux clandestins, l’extrême gauche et les défenseurs du droit au Logement.
Pour l’instant, difficile de savoir si des poursuites judiciaires vont être engagées, tant les services de police ne semblent pas pour le moment en mesure de retrouver la moindre trace des délinquants qui ont agi en toute impunité dans la maison de Maryvonne Thamin. Deux identités sont pourtant entre les mains de l’avocate des squatteurs, identités que possèdent également Maître Billaud , et qui pourraient servir, pour des poursuites pénales notamment.
Après avoir tenté de salir pendant plusieurs semaines les opposants qui contestaient aux squatteurs le droit d’occuper une propriété privée, après avoir établi – en collaboration totale et complice avec le collectif Antifa Rennais – des dossiers diffamatoires dignes d’un mauvais travail de police en utilisant les mêmes méthodes que pour l’affaire du fichage de ces derniers, les squatteurs ont révélé au grand public leurs vrais visages : les visages de militants politiques, squatteurs par idéologie et non par nécessité, se comportant de façon haineuse, et n’hésitant pas à basculer dans la délinquance et dans la radicalité.
De la Maison de la grève aux associations de soutien en passant par les ligues de vertus, gageons que ces individus retrouveront très rapidement hébergement, réseaux et nouveaux moyens de nuire.
Photo : DR
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3 réponses à “Rennes. La maison de Maryvonne Thamin saccagée par l’extrême gauche – des clandestins relogés dedans”
Et si ont reloge les squatter chez nos très cher élus incapable pendant leurs vacances ?
vraiment des débiles mentaux ces squateurs .
avis a la population de la région Rénnaise. les squatteurs ont trouvé un autre lieu de saccage (pardon de squat) .. merci de les dénoncer auprès de maître billaud pour suite à donner…. ils peuvent faire chez vous ce qu’ils ont fait chez Maryvonne et leur avocate pourra ainsi encore les défendre… Ils ne doivent plus nuire, et pour cela doivent payer les dégâts. aidez Maryvonne au nom de la plus simple solidarité. Etre précaire (selon eux, mais comment ont ils payer les bombes a taguer ??) ne signifie pas être vandales !!!!