28/05/2015 – 09h00 Quimper (Breizh-info.com) – Ancien vice-président du Conseil régional de Bretagne jusqu’en 2004, Jean-Yves Cozan, connu également des Bretons comme « l’homme à l’écharpe blanche », nous a accueilli chez lui, à Quimper, afin de faire un tour de l’actualité bretonne, et notamment de revenir sur les élections régionales de décembre prochain.
Récemment hospitalisé car terrassé par une maladie rare, mais convaincu que « le diable n’a pas voulu de moi pour le moment », l’homme garde des convictions bien tranchées et son franc-parler ainsi qu’un amour indéfectible pour la Bretagne. Se définissant comme un « bonnet rouge, mais aussi un mouton noir » , celui qui possède également une propriété et des attaches à Ouessant a analysé en notre compagnie les prochaines échéances électorales – et notamment une défaite possible de la gauche en Bretagne, mais aussi l’actualité régionale, comme la réunification bretonne, le combat culturel, l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes ou encore la crise de l’agro-alimentaire en Bretagne et du modèle agricole breton.
Au niveau local, Jean-Yves Cozan, qui est également le père d’Isabelle Le Bal, 1ère adjointe de Ludovic Jolivet, maire de Quimper, est revenu sur la fin de l’ère Poignant, sur les polémiques concernant les décisions de Ludovic Jolivet ou encore sur le projet de mosquée turque .
Entretien avec un homme qui aura par son activisme politique et culturel, marqué ces dernières décennies en Bretagne.
Photo : breizh-info.com
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3 réponses à “Jean-Yves Cozan : « Ça n’est pas sûr que Le Drian l’emporte ». [interview vidéo]”
quand nous cesserons de voter a gauche parcequ’on connaît, on sera sauvé
Pourquoi personne ne dit que la première visite qu’a fait Jean-Paul II en France après son élection au pontificat est Notre-Dame d’Auray, donc en passant par Ploërmel.
Jean Paul II est venu se recueillir et prier à Auray pour les Bretons, martyrs et victimes des persécutions républicaines. Il est aussi venu se recueillir en Bretagne, par dévotion particulière pour saint Louis-Marie Grignon de Montfort (de Montfort-sur-Meu (35) mort en Vendée.
Avec Soljénitzine qui est aussi venu à Auray, Jean-Paul II a déclaré que la Terreur révolutionnaire française de 1791 et les génocides vendéens ont été la matrice du totalitarisme communiste en Russie.
Il n’est donc pas étonnant qu’une statue qui rappelle que Jean-Paul II est venu à Auray prier pour les millions de victimes des régimes de terreur, d’oppression, des massacres et des génocides perpétrés au nom de l’athéisme et du socialisme, ne plaise pas aux militants de la Libre-pensée et du Parti communiste.