Ce lundi 28 avril 2025, le tribunal de Lorient a condamné à cinq ans de prison Vassindou Junior Méïté, un jeune homme de nationalité ivoirienne, reconnu coupable du viol d’une jeune Lorientaise en septembre 2023. Une affaire édifiante, marquée non seulement par la violence des faits, mais aussi par le traitement médiatique qui préfère gommer certaines réalités en présentant l’agresseur comme un simple « Briochin ».
Les faits remontent au 17 septembre 2023. La victime, âgée de 23 ans, avait accepté de passer la nuit dans une colocation après une sortie en boîte de nuit, n’ayant pas ses clés pour rentrer chez elle. C’est dans cet appartement de Lorient que l’agression a eu lieu. Malgré ses refus exprimés à plusieurs reprises, la jeune femme a été violée, plaquée au sol, étranglée et immobilisée, tandis que des témoins auditifs — colocataires et voisins — entendaient les cris sans intervenir. Après l’agression, la jeune femme, en état de choc, avait réussi à s’enfermer dans les toilettes pour appeler des amies à l’aide.
Lors de l’audience, la victime, profondément marquée, a assisté au procès en pleurs, soutenue par sa mère. De son côté, Vassindou Junior Méïté a nié toute violence, affirmant que les relations étaient consenties et que les marques sur le corps de la jeune femme s’expliquaient par une sexualité « un peu violente ». Un discours balayé par les éléments médicaux : multiples traces de strangulation, ecchymoses et marques de doigts constatées par les médecins de l’hôpital.
Cette affaire est d’autant plus grave que le prévenu était déjà sous contrôle judiciaire pour une autre procédure de viol, dans laquelle il bénéficiera toutefois d’un non-lieu. Ici, les faits ont été requalifiés d’agression sexuelle pour éviter à la victime, en état de grande détresse psychologique, de revivre l’épreuve d’un procès d’assises.
Le tribunal a finalement condamné l’Ivoirien à cinq ans d’emprisonnement ainsi qu’à une interdiction de territoire français pour une durée de dix ans. Il pourra donc revenir enrichir la Bretagne dans quelques années.
Il est à noter que, dans cette affaire comme dans tant d’autres, une partie de la presse s’est employée à désigner l’agresseur en priorité par son lien géographique présumé (« Briochin »), occultant hormis dans le dernier paragraphe sa nationalité ivoirienne, pourtant un élément factuel du dossier. « Les médias de grand chemin » comme les nomme Jean-Yves Le Gallou.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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6 réponses à “Viol d’une jeune femme à Lorient : cinq ans de prison pour un Ivoirien présenté comme un « Briochin »”
et on continue de faire venir ces déchets
et on continue de faire venir ces prix nobel
Tant qu’on laisse faire,
Tant qu’on ferme sa gueule,
Tant qu’on hausse des épaules,
Tant que l’on n’a pas le courage,
La France, et autant l’Europe, sombrent.
Le pire une certaine marlene chiappia avait proposé l’expulsion définitive des violeurs étrangers.
La au bout de 10 ans il pourra revenir .
On ne sait pas si cette ivoirien était en France de façon régulière
5 ans de prison qui vont se transformer en 2 ou 3 ans pour bonne conduite, hébergé aux frais des contribuables. Pour ce genre d’ordure, prison spécialisée en Terre Adélie (c’est là qu’il faut construire des prisons, pas à St Pierre et Miquelon. La ‘fraicheur du climat’ l’aiderait à réfléchir).
Travail obligatoire 8h par jour. Pas d’entrecôte, de tarte à la fraise et de jeux vidéo. A la fin de sa peine, retour définitif et sans condition au pays natal où il pourra se promener le sexe en l’air.
A force de tout voir, on finit par tout supporter…
A force de tout supporter, on finit par tout tolérer…
A force de tout tolérer, on finit par tout accepter…
A force de tout accepter, on finit par tout approuver…Saint-Augustin
Ceux qui ont réélu ce gouvernement sont coupables …..