Tommy Robinson, Stephen Yaxley-Lennon de son nom d’état civil, pourrit dans une geôle anglaise, claquemuré pour dix-huit mois, dont une bonne part en isolement, sous le fallacieux prétexte d’un « outrage au tribunal ». Son forfait ? Bien au dela de ce reportage, enquête locale sur du harcèlement, c’est d’avoir osé braquer les projecteurs, via son documentaire Silenced, sur les horreurs des viols collectifs infligés à des gamines britanniques, souvent des mômes des quartiers populaires, par des gangs majoritairement musulmans et venus du Pakistan.
Mais pendant que ce trublion croupit, des malfrats issus de minorités, y compris des brutes qui cognent sans vergogne, se pavanent en liberté, caressés par une justice qui pratique, en sous-main, ce que les langues bien pendues appellent le « Two-Tier Sentencing » – une justice à deux vitesses, mes amis ! Sur X, ça hurle, ça tempête : « On boucle Tommy pour un film qui dérange, mais des voyous qui tabassent une fliquette, libres comme l’air ! » Ou encore : « La justice pourrit les lanceurs d’alerte, mais les criminels, eux, s’en sortent à bon compte ! » Ce scandale, clamé haut et fort sur les réseaux, crache au visage d’un système qui bâillonne la parole libre et ferme les yeux sur des crimes odieux, tout ça pour ne pas froisser les susceptibilités politiques.
Une vérité travestie par une presse biaisée
Dans les colonnes du Télégramme, une journaliste, correspondante du quotidien conformiste à Londres, s’est fendue d’un papier à charge pour justifier le veto des mairies de Lannion, Lorient et Saint-Brieuc à la diffusion de Silenced. Cette apprentie procureur, dans un élan de zèle, peint Tommy Robinson en vilain facho, un agitateur d’extrême droite, et va jusqu’à jeter un voile trouble sur l’horreur des viols collectifs. Écoutez ça : « Les scandales de viols collectifs de jeunes filles de milieux populaires sont un de ses chevaux de bataille : il affirme que les autorités ont délibérément ignoré ces crimes pour ne pas être accusées de racisme, certains accusés étant d’origine pakistanaise. » Malin, non ? Cette phrase, glissée comme une anguille, insinue que Robinson fabule, que c’est juste son petit délire. Sauf que, mes amis, ce qu’il dénonce, c’est du béton, gravé dans des rapports officiels et hurlé par les médias britanniques !
Prenez les affaires de grooming gangs – ces gangs de prédateurs qui sévissaient à Telford, Rochdale, Rotherham, et j’en passe. Pendant des décennies, les flics et les officiels ont fermé les yeux. Un rapport tout frais de 2024, commandé par Andy Burnham, le maire du Grand Manchester, accable la police : alertes des travailleurs sociaux balayées, témoignages des victimes – souvent des gamines blanches des quartiers pauvres – jetés à la poubelle. Pourquoi ? Parce qu’on craignait de passer pour raciste en tapant sur des communautés surtout pakistanaises et musulmanes. Dès 2017, le think-tank Quilliam lâchait le chiffre : 85 % des condamnés dans ces gangs venaient du sous-continent indien. Pas des élucubrations de Robinson, mais des faits, durs comme le fer !
Et pourtant, des journalistes comme celle-ci, bien alignés dans le cortège de la gauche caviar, choisissent de regarder ailleurs. En France, au Royaume-Uni, une clique de pisse-copie de gauche a toujours minoré la délinquance de certaines populations non européennes, tremblant à l’idée de « stigmatiser ». Résultat ? Des milliers de victimes laissées pour compte, sans justice, pendant que des briseurs de silence comme Robinson sont traînés dans la boue et jetés en taule. Honte à cette presse qui préfère la langue de bois à la vérité !
Retour en 2013, quand Keir Starmer, aujourd’hui grand manitou du 10 Downing Street, tenait les rênes du Crown Prosecution Service. Oui, il a fini par lancer des poursuites contre le gang de Rochdale, mais trop tard, bien trop tard, après des années où les autorités ont laissé des gamines se faire massacrer sous leurs yeux. Sur X, on n’oublie pas : « Qui dirigeait le CPS quand les gangs de violeurs faisaient la fête sans rendre de comptes ? Starmer, pardi ! » Une pique un poil simpliste, mais qui cogne là où ça fait mal : le malaise est palpable, la gestion de ces horreurs sent le fiasco à plein nez.
Bâillon sur les rebelles et silence sur les flics en roue libre
On a collé Tommy Robinson au mitard, souvent en isolement, comme un vulgaire bandit, juste pour avoir osé ouvrir sa gueule. Une voix qui dérange, et hop, on la boucle ! Sur X, ça rugit : « La Grande-Bretagne, pays libre ? Mon œil ! Ils ont jeté Tommy en taule pour dix-huit mois à l’isolement, tout ça pour du journalisme ! » Cette chasse aux sorcières ne sort pas de nulle part. Les flics britanniques, devenus les cerbères d’un État Big Brother, traquent les citoyens pour un oui ou pour un non sur X ou Facebook. Un post jugé « offensant » ou qui pourrait « troubler l’ordre public » ? Menottes direct ! Cette manie d’arrêter pour des mots sur un écran, c’est une gifle à la liberté d’expression, et tout le monde s’en fout, ou presque.
Mais les scribouillards qui pleurnichent sur les « fake news », où sont-ils quand la police joue les tyrans ? Muets, planqués ! La gauche médiatique (il n y a que cela dans les quotidiens bretons) préfère cracher sur des gars comme Robinson plutôt que de s’attaquer aux dérives d’un État qui coffre pour délit d’opinion tout en laissant des criminels violents se pavaner. C’est l’hôpital qui se fout de la charité ! Surtout quand on sait que ces mêmes journaux, pendant des décennies, ont fermé les yeux sur les scandales des grooming gangs, trop occupés à caresser certaines communautés dans le sens du poil pour ne pas les « froisser ». Hypocrisie, vous avez dit hypocrisie ? C’est leur marque de fabrique !
Tommy Robinson, qu’on l’aime ou qu’on le déteste, a eu les tripes de hurler des vérités que les bien-pensants planquaient sous le tapis. Et pour ça, on l’a jeté au cachot, accusé d’un délit de presse bidon, pendant que des brutes sanguinaires dansent en liberté. Ce scandale, c’est la fièvre d’un Royaume-Uni en pleine dérive, où la morale et la justice ont pris la tangente. Les mairies bretonnes qui censurent Silenced et les plumitifs qui tordent la réalité sont les complices de cette grande mascarade. Il est grand temps que la presse, en Bretagne et ailleurs, arrête de jouer les autruches face à cette justice à deux vitesses et aux flics britanniques qui musellent à tour de bras. Sur X, le peuple gronde : « Libérez Tommy Robinson ! C’est pas un extrémiste, juste un gars qui met à nu les saloperies que l’establishment veut étouffer ! »
Breizh-info ne lâchera rien. On continuera à se battre pour que la parole reste libre et pour une justice qui cogne pareil, peu importe d’où tu viens ou ce que tu penses. La vérité, mes amis, n’a pas sa place derrière les barreaux !
Balbino Katz
Illustration : DR
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