Bellevue, Pontanezen, Keredern, Kerangoff… on s’y perdrait presque tant les quartiers classés comme « prioritaires » sont nombreux à Brest. Et qui dit « prioritaire », dit « importante dépense d’argent public ». Pour un résultat nul, comme l’ont démontré les plus de 40 années de « politique de la ville » menée en France, qui se sont soldées par un échec et une facture faramineuse.
Nonobstant ce constat, les pouvoirs publics s’entêtent dans leur folie. La Bretagne et ses métropoles tenues par la gauche ne font pas exception. À Brest, la mairie a indiqué le 28 mars qu’une « vaste opération d’amélioration du cadre de vie » débutait le jour-même dans le quartier de Keredern.
Sur place, « des équipes de nettoyage, des engins d’enlèvement de voitures ventouses et des effectifs de police » ont été déployés afin de procéder à « une opération de nettoyage » des espaces publics et des espaces communs.
Des moyens déployés dans le cadre d’une « opération globale pilotée par l’Etat, et qui mobilise plusieurs acteurs de la ville, dont la ville de Brest, Brest métropole ou Brest métropole habitat », selon le commissaire divisionnaire Hoarau, alors qu’une trentaine de fonctionnaires de police ont été déployés à Keredern, notamment pour rechercher des produits stupéfiants dans les cages d’escalier et les caves des immeubles.
Comme l’a précisé Sylvie Jestin, adjointe du grand quartier de Lambézellec, dont fait partie Keredern, « entre tirs de mortiers, rodéos, véhicules qui ventousent les espaces publics, incivilités, on a reçu beaucoup d’habitants qui nous ont fait remonter le fait que leur quartier devenait difficile à vivre ». La réponse des collectivités, similaire aux cas précédents, ne s’est pas faite attendre : redépenser de l’argent public dans le quartier afin de restaurer le « vivre ensemble » cher à l’élue.
Les contribuables de Brest et d’ailleurs doivent également savoir que l’action réalisée à Keredern est « amenée à se reproduire dans d’autres quartiers de la ville », comme l’a indiqué le maire socialiste de Brest François Cuillandre.
Crédit photo : capture site brest.fr (photo d’illustration)
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5 réponses à “Brest. Les contribuables mettent la main à la poche pour restaurer le « vivre ensemble » dans le quartier « prioritaire » de Keredern”
« Et qui dit « prioritaire », dit « importante dépense d’argent public ». Pour un résultat nul ».
Bien vu !
Les fameux » territoires perdus » ? Apparemment pas si perdus que ça puisque aujourd’hui ont les appelle plutôt les territoires « Tonneau de Danaïdes « . Sans aucun effet.
Le vivre ensemble est une fumisterie de gauchiste
Une tiers-mondisation de la France, des Provinces
organisée par
. une politique crapuleuse mondialo-immigrationniste
. et l’argent ponctionné aux contribuables
. pour un humanisme criminel ignoble
avec sa justice politiK et sa police politiK
avec ses coupe-gorges en extension via une invasion migratoire coranique barbare violente
conquérante _en multiforme indéniable_
dispatchée avec sa richesse via l’argent de la drogue.
Le TOUT avec un Théâtreux impubèral élu & réélu qui sourit en détruisant. Ou se la joue et nous la joue entre posture et imposture.
🖲️
Il serait si simple de confier à un bataillon de parachutistes le soin de nettoyer ces quartiers!