Hollywood vient de vivre un naufrage commercial mémorable. Le dernier remake en prises de vue réelles de Disney, une version remaniée et idéologiquement très orientée de « Blanche-Neige« , s’est effondré au box-office. Une claque monumentale, chiffrée en centaines de millions de dollars, qui confirme le divorce entre les studios progressistes et le grand public.
Le film, surnommé par ses détracteurs Snow Woke (« Blanche-Wokée »), affiche déjà les caractéristiques d’un fiasco industriel. Produit pour la modique somme de 370 millions de dollars (promotion incluse), le film a à peine récolté 96 millions de dollars à l’échelle mondiale après une semaine complète d’exploitation. Ce chiffre catastrophique comprend 52,6 millions sur le sol américain et seulement 43,9 millions à l’international. Une misère, compte tenu des attentes initiales.
Et la suite ne s’annonce pas plus glorieuse : pour son deuxième vendredi, Snow Woke a encaissé 3,7 millions, un effondrement de près de 70 % par rapport au week-end d’ouverture. À ce rythme, le film pourrait peiner à atteindre les 200 millions de recettes globales — bien loin du seuil de rentabilité estimé à environ 700 millions de dollars (puisque les salles de cinéma conservent la moitié des recettes).
Le plus gros échec de l’histoire du cinéma ?
Avec une perte potentielle dépassant les 270 millions de dollars, Blanche-Neige 2024 pourrait décrocher le triste record de plus grand désastre financier de l’histoire du cinéma. Même le peu mémorable Dumbo (2019), pourtant considéré à l’époque comme un échec, avait mieux fait.
Et tout cela pour quoi ? Pour un film qui prétend rééduquer le public sur la « toxicité des contes de fées patriarcaux », avec une héroïne moralisatrice et une absence totale de prince charmant. La blancheur de Blanche-Neige ? Jugée « problématique » par l’actrice principale, plus occupée à donner des leçons de société qu’à incarner un personnage emblématique du patrimoine culturel occidental.
Le wokisme au bord de l’implosion
Cette nouvelle débâcle confirme une tendance lourde : le public se détourne des productions obsédées par la diversité de façade, les réécritures idéologiques et le militantisme déguisé en divertissement familial. Pire encore pour Disney, le modèle économique des anciens échecs pouvait au moins compter sur les recettes secondaires (DVD, diffusion télé, produits dérivés). Aujourd’hui, avec le passage direct vers Disney+, les pertes sont directes et difficilement récupérables.
Et pourtant, la firme persiste à imposer sa vision d’un monde déconstruit, à grands renforts de diversité forcée, de féminisme militant et de sexualisation précoce des contenus enfants.
Le signal est désormais clair : les familles ne veulent plus de cette propagande progressiste déguisée en divertissement. Et les actionnaires de Disney, s’ils ont encore un peu de bon sens, devraient tirer la sonnette d’alarme.
En attendant, la nouvelle Blanche-Neige, censée réécrire le conte pour le rendre plus « inclusif », s’est transformée en symbole de ce qu’un empire culturel peut devenir lorsqu’il trahit son public au nom d’une idéologie. Un conte de fées devenu cauchemar financier.
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6 réponses à “Disney se prend un gadin historique avec son remake « woke » de Blanche-Neige”
Disney n’a pas eu de chance ! La conception du film a dû commencer voici au moins deux ou trois ans, à un moment où l’idéologie woke semblait en vogue. Elle s’est retournée depuis quelques mois seulement, de façon accélérée, comme un engouement éphémère. « Rien n’est plus puissant qu’une idée dont le temps est venu », dit-on parfois. L’inverse est vrai aussi : « rien n’est plus lamentable qu’une idée dont le temps est passé » !
Enfin une bonne nouvelle. Et morale : on ne touche pas à nos mythes, contes et légendes !
Et chez nous, ils veulent » revisiter » La Belle et la Bête de Jean Cocteau pour protéger soit -disant les enfants qui vont déjà pour certains sur des sites pornos !
ce n’est pas la premiere gamelle woke de dysney esperons que le studio est compris ça commence a etre lourd
Une démonstration que Disney croyait voir juste et être « dans le vent » en étant wokiste au delà du raisonnable. Il se trouve heureusement qu’il existe encre suffisamment d’abominables électeurs de Trump, ou de leurs équivalents dans le reste du monde, pour mettre à mal cette lubie des décideurs de Disney. Ils se foutent éperdument du contenu de leurs « oeuvres », pourvu que cela rapporte. Ils sont tombés sur un bec. Il reste donc un petit espoir que l’humanité ait dans son ensemble gardé un minimum de bon sens.
Déjà, le choix de Rachel Zegler pour incarner Blanche neige était en soi une provocation. Bien quelle soit indéniablement une jolie fille et pas dénué de talent, elle est d’origine latine avec une peau plutôt caramel léger à tel point que son visage a été blanchi sur les affiches officielles et dans le film. De plus, elle c’est illustrée avec ses prises de positions très woke chaque fois qu’on lui a tendu un micro, avec un style que ne renierait pas Sandrine Rousseau. Sans parler de ses prises de positions politiques pour la palestine qui lui ont value des relations glaciales avec la « vilaine sorcière » Gal Gadot qui comme chacun sait est Israélienne. C’était écrit d’avance que ça ne marcherait pas.