L’Autriche franchit une nouvelle étape dans la protection de son identité nationale en suspendant temporairement le regroupement familial pour les « réfugiés », une première au sein de l’Union européenne. Cette décision, annoncée le 26 mars dernier par la ministre de l’Intégration Claudia Plakolm, vise à préserver les systèmes de santé, d’emploi et d’éducation du pays face à un afflux migratoire qui se poursuit.
Une mesure d’urgence face à la pression
Depuis la crise migratoire de 2015, l’Autriche, pays de 9,2 millions d’habitants, a accueilli des milliers de « réfugiés », principalement en provenance de Syrie. En 2023, près de 9 300 personnes ont bénéficié du regroupement familial, et 7 800 en 2024. Cette augmentation constante met à rude épreuve les capacités d’intégration du pays. Claudia Plakolm a souligné que « la probabilité d’une intégration réussie diminue à chaque nouvelle arrivée », pointant du doigt les difficultés rencontrées par les nouveaux arrivants pour apprendre l’allemand, trouver un emploi et s’insérer dans le système éducatif.
Le gouvernement prévoit de publier un décret rendant cette mesure effective dès le mois de mai, pour une durée initiale de six mois, avec une possible prolongation jusqu’en mai 2027. Cette initiative reflète la volonté du chancelier conservateur Christian Stocker de répondre aux attentes d’une population de plus en plus préoccupée par les questions migratoires, notamment après la montée en puissance du parti nationaliste FPÖ lors des élections législatives de septembre 2024.
Une politique migratoire affirmée
Toutefois, cette décision suscite des critiques de la part d’associations pro-migrants. L’ONG « Asylkoordination Österreich » (soit la « Coordination de l’asile en Autriche ») envisage de déposer un recours en justice, arguant qu’une situation d’urgence doit être démontrée pour justifier une telle suspension, ce qui, selon elle, n’est pas le cas en Autriche.
En suspendant le regroupement familial, l’Autriche envoie un signal fort quant à sa détermination à contrôler les flux migratoires et à préserver son identité nationale. Cette mesure, bien que controversée, illustre la nécessité pour les nations européennes de reprendre le contrôle de leurs frontières et de leurs politiques migratoires face à des défis d’intégration de plus en plus complexes. Enfin, comme nous l’avions indiqué il y a quelques jours, cette suspension du regroupement familial a reçu un large soutien au sein de la coalition gouvernementale autrichienne.
Crédit photo : capture YouTube Kronen Zeitung (photo d’illustration)
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5 réponses à “Immigration. L’Autriche suspend le regroupement familial des « réfugiés » : une décision inédite en Europe”
Si ça continue, il n’y aura plus qu’en France qu’on maintiendra le regoupement familial.
Eux ils ont compris ce que sont ceux qui débarquent chez nous ; mais malheureusement nous on a choupinet le plus grand fossoyeur de la France et c’est pas gagné .
Vivement qu’il dégage ce type car il n’a jamais aimé la France et encore moins les français !
Choupinet le psychopathe n’aura jamais d’enfant donc l’avenir des nôtres s’annonce incertain .
mesure logique et pleine de bon sens, a quand la meme chose en France, a la St Glinglin ?
Vite Vite Vite ! Qu’est-ce qu’on attend en France depuis que ces profiteurs économiques arrivent en masse pour sucer l’argent des contribuables ? J’en ai marre de travailler du lundi au samedi et parfois le dimanche pour entretenir des parasites.
Mais c’est Bernard Blier! Un de nos tontons flingueurs, du temps où nos films avaient un sens sans préoccupations du monde bobo.