L’affaire était inévitable vu la trouille qu’ont les autorités des antifas : Yovan Delourme, dit « Le Jarl », figure emblématique du 1988 Live Club de Rennes, a été licencié. Membre de la direction d’un établissement aussi central que sous pression, cible de la gauche radicale depuis des semaines, l’homme au look de Viking n’a pas résisté à l’offensive politico-médiatique. L’extrême gauche jubile, le patron du club capitule, et la droite ? Elle détourne poliment le regard.
Un membre de la co-direction ciblé, un symbole exécuté
Depuis l’épisode de la nuit du 8 mars 2025, où agents de sécurité et participants d’une free party illégale se sont affrontés aux abords de la discothèque, Le Jarl est devenu l’homme à abattre pour une certaine frange de l’extrême gauche. Accusé d’avoir usé de la force pour empêcher l’installation sauvage d’une rave « antifasciste » que n’ont pas interrompu les policiers,, le membre de la co-direction a été exposé à la vindicte militante.
Des vidéos circulent, les plaintes fusent, et les élus insoumis se bousculent pour dénoncer, exiger, réclamer sa tête. Marie Mesmeur, députée LFI, a même saisi le procureur de la République, à la fois pour cette affaire mais aussi pour son livre, « ça va mal finir », qui cartonne niveau vente. L’affaire prend une tournure nationale : pas pour parler de l’anarchie ambiante à Rennes ou de la violence endémique des milieux ultra-gauchistes, mais pour liquider un homme jugé coupable d’incarner un ordre que l’on ne tolère plus.
Le 1988 se prosterne
La préfecture avait ordonné une fermeture administrative d’un mois pour « troubles à l’ordre public ». Plutôt que de défendre son équipe ou de dénoncer une tentative de prise de pouvoir idéologique, le 1988 Live Club a décidé de plier, de rompre et de se repentir.
Dans un communiqué publié le 28 mars, le dirigeant de l’établissement, Sébastien Bétin, se confesse : « J’ai trop tardé à mesurer l’impact de certaines dérives individuelles. » La personne visée ne fait « désormais plus partie de l’équipe ». Le message est limpide : pour rouvrir le 24 avril, le club sacrifie son leader charismatique. La sécurité sera réorganisée, une « gouvernance collégiale » instaurée, et l’on jure sur l’honneur de respecter « des valeurs de bienveillance, de neutralité politique et de vivre-ensemble ». La liturgie est complète.
Une droite absente, une victoire de la rue
Ce qui frappe dans cette affaire, c’est moins la violence de l’extrême gauche — elle est désormais banalisée et quasiment autorisée, jusqu’à ce que ces individus fassent une victime sérieuse sans doute — que le vide laissé par les autres. Aucun soutien public à Yovan Delourme, ni de la droite, ni de responsables locaux, ni même de ceux qui, en coulisses, se disent « inquiets » de la montée des groupuscules gauchistes violents. Pendant que les antifas fanfaronnent sur X (ex-Twitter), la droite regarde ses chaussures.
Il est plus facile, sans doute, de parader sur les plateaux TV ou en soutien à des causes étrangères que de défendre un agent de sécurité tombé pour avoir fait respecter un minimum d’ordre face à la violence urbaine. Il est plus facile pour M. Retailleau, ministre de l’Intérieur, de se prétendre leader de l’ordre à droite, que d’agir concrètement sur le terrain, le jour ou une arme à feu à été découverte lors d’un rassemblement antifa contre des étudiants de droite, à Paris.
🛑🛑🛑 Nos militants menacés par ARME À FEU à St-Denis ce matin par un militant d’ultra-gauche !
La police a récupéré l’arme. Nous avons l’identité de l’individu et nous déposons plainte.
M @BrunoRetailleau agissez vite contre les milices d’ultra-gauche avant un drame ! pic.twitter.com/63uxolvNNY
— La Cocarde Étudiante (@CocardeEtud) March 28, 2025
Au-delà du cas personnel du Jarl, c’est une séquence politique majeure qui se joue ici. Pour la première fois, à Rennes, des groupuscules radicaux obtiennent, par la pression et la menace, le licenciement d’un salarié, le remodelage complet d’un établissement privé, et l’instauration d’un code idéologique implicite : ne pas déplaire à l’extrême gauche. La prochaine cible est déjà probablement dans leur viseur. On notera par ailleurs que l’extrême gauche qui prétend défendre les travailleurs se félicite d’un licenciement, au même titre que Marie Mesmeur, député locale, se féliciterait presque si Le Jarl était condamné à de la prison ( « A bas les prisons, mais pas pour tout le monde » visiblement ).
BAM !
Le Jarl ne sera plus agent du 1988 et ne pourra plus y nuire ✅
Maintenant, au tour de la condamnation par la justice.https://t.co/qzNpoP2RnP
— Marie Mesmeur (@MarieMesmeur) March 28, 2025
Et pendant ce temps, l’ordre vacille. Une femme de 70 ans a été lynché à mort à Rennes. Le deal s’étend dans toute l’Ille et Vilaine. Les autorités ne font pas fermer un établissement à Dinan, suspecté de travail dissimulée et d’emploi de main d’oeuvre illégale, ni la faculté de Rennes 2, prise en otage par les gauchistes. Il ne s’écroule pas sous les coups de butoir d’une insurrection armée, mais sous les applaudissements feutrés des petits capitulards du quotidien.
Le 1988 Live Club rouvrira le 24 avril. Mais ce ne sera plus jamais le même club. L’extrême gauche a gagné. Par abandon de poste de ceux qui prétendent pourtant rétablir l’ordre dans le pays.
YV
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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15 réponses à “Rennes. Le 1988 Live Club capitule, LFI se félicite du licenciement du Jarl, la droite regarde ses chaussures”
La pourriture reste maîtresse de la rue et des lieux publics
Avec la bénédiction des media « mainstream » (soit le courant arrosé par le fric tout-venant, notamment celui de la drogue… un commerce qui fut autrefois casher et maintenant Maghrébin + Afrique Noire), enfin et surtout avec la bénédiction de la racaille politicienne de tous les partis « sérieux » (variante : « de gouvernement ») : de la droite molle à la gauche démagogique en passant par le centre macronien
Mais c’est l’électorat mou et stupide qui est le grand responsable…
à notre nation d’andouilles, il faudra bien apprendre un jour que la SEULE VRAIE extrême-droite est celle du fric – soit les soutiens de Macron et ce patronat esclavagiste, importateur d’immigrés-envahisseurs
L’Extrême-gauche n’est qu’une mafia de mercenaires ou de lobotomisés du gaucho-trotskisme manipulés par les politiciens qui ne cherchent qu’à durer et à mramasser du fric pour la survie de leurs partis (Valls en son temps fut le grand spécialiste de cette manipulation)
C’est sûr, il faut revoir le vocabulaire et l’adapter aux réalités de l’économie globalisée où le fric a de moins en moins d’odeur !
Dans les vents contraires comme dans les grandes marées, c’est dans l’épreuve que l’on reconnaît la force d’un chef.
Sache que tu n’es pas seul à tenir la barre. Ton équipage est là, solidaire, prêt à ramer à tes côtés, fier de suivre ta direction, peu importe la tempête. Nous avançons ensemble, unis par l’esprit du clan.
Force, honneur et loyauté.
Je plaint ceux qui vont retourner au 1988 avec la prise des alentours par les dealers protégé comme d’habitude par une certaine gauche !. Tous n’était pas parfais mais la sécurité craignait.
J’ai voulu dire la sécurité régnait
Le trottoir de droite n’a pas encore parlé.
Le trottoir de gauche gagne une bataille.
La guerre n’est pas finie.
Bien fait pour sa gueule à cet attardé
J’ai rarement vu un article qui racontait autant de conneries c’est fabuleux !!
je le suivais mais il ne laisse pas tout le monde s’exprimer sur facebook… j’ai des choses à dire et je ne peux pas. il filtre… dommage, je l’aurais bien soutenu
Quoi? Comment? La lâcheté des Drouatasses est encore plus abjecte que les conneries des ordures de gôchiasses sans avoir recours à l’huile de ricin pour les purger. Au moins nos ancêtres savaient reconnaître la fidélité et l’efficacité, bien loin de tous ces crevures de ripouxblicains de droite ou centre biroutin mou. Il trouvera un point de chute le Jarl.
Une droite courageuse comme d habitude
Bonjour,
Ils sont forts, nous sommes faibles.
Cdt.
M.D
A cette allure,un jour, le peuple reprendra le droit à la violence légitime qu’il a délégué à l’état défaillant et la on entrera dans l’inconnu.
« Le 1988 Live Club rouvrira le 24 avril. Mais ce ne sera plus jamais le même club. » Personne n’en doute , surtout que les racailles gauchiasses vont vouloir marquer leur nouveau territoire , ça va devenir un vrai coupe gorge et c’est bien fait pour eux . Vu sa notoriété je pense que le Jarl va pouvoir rebondir pour un poste plus digne de sa valeur . La guerre civile approche à grands pas .
Oui, bonne question : à quoi sert le RN ? A l’évidence, ce parti préfère se faire adouber au Proche-Orient, y recevoir le Saint Chrême pour les prochaines élections et faire allégeance à Benyamin Netanyahou plutôt qu’apporter son soutien aux Français qui osent se défendre contre des subversifs. Ce parti n’a vraiment plus rien de national. La priorité de celui-ci n’est plus la défense des autochtones. C’est celle des nouvelles couches de populations qui accompagnent la submersion migratoire. On n’est pas naïfs, on a bien compris !
Heu… C’est censé être un site d’informations ? Et les gens sont censés soutenir quelqu’un qui fait quelque chose d’illégal (y compris détenir des armes non autorisées sur son lieu de travail) et qui sera probablement condamné pour cela ? Vraiment n’importe quoi…