Cette semaine dans « I-Média », Jean-Yves Le Gallou et Floriane Jeannin reviennent sur la cérémonie des Bobards d’Or 2025, avec l’AFP salissant la mémoire des victimes de francocide qui décroche l’or, France Télévisions et Le Monde entre outrage et ridicule avec leur « Cène » revisité par des drag queens pour le bobard d’argent, et enfin pour le bronze, Élisabeth Borne dépassant les bornes du crédible en annonçant l’effondrement de la France si le budget n’était pas voté… Sans oublier le bâillon d’or décerné à l’ARCOM et le bobard d’ARTE Junior désinformant les enfants avec des bobards anti-Trump sauvé par le jury !
Et puis dans le dossier du jour, alors qu’Emmanuel Macron agite la menace de la guerre pour regagner en popularité, les médias glorifient le réarmement et la mobilisation générale en parlant nuit et jour d’économie de guerre et de service militaire. Une escalade de propagande guerrière qui semble sans fin…
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5 réponses à “Menace Russe ? Vite, Macron s’en va-t-en-guerre ! – I-Média”
macron s’en va-t-en guerre ? Bien, mais qu’il y aille tout seul et devant et avec les membres de l’assemble nationale puisque ces gens là veulent se battre ; (enfin, surtout envoyer le pôôôvre peuple à la boucherie)! Qu’ils donnent l’exemple ces donneurs de leçon.
macronescu le fossoyeur veut la guerre pour sauver sa peau .
Ce type est un grand malade dangereux qui veut mener les FRANCAIS à l’abattoir !!!
Qu’il envoie les « chances pour la FRANNCE » ,qu’il fait venir par millions, au front …..
Pauvres d’esprit que nos dirigeants européens en retard de 3 générations qui prônent les échanges économiques entre nation et nullement une guerre larvée d’avance qui a coûté tout de même 350 milliards. La Russie et Mr Poutine l’ont bien dit redit, en voulant faire partie de la CEE ou UE demandé 3 fois et parlant en citant l’occident à Mr Carlson : » Vous n’avez donc rien de mieux à faire que les guerres au lieu de commencer à rembourser vos dettes ». Et là vous avez tout compris. Mr Trump veut la paix et ne fera jamais de guerre à l’Europe insignifiante dans le contexte mondial avec les alliés de la Russie. Celle-ci a d’autres préoccupations essentielles à avec les BRICS dont la Chine. Mr Trump l’a dit à Mr Poutine. Avant lui le fou furieux démocrate avec son fils aux pouvoir dans les multinationales, spoliant l’Ukraine la family business Biden et fils qui se sont rempli les poches de milliards sur le dos des 1 millions de morts ukrainiens. Mr Trump veut fâcher les pays acquéreurs d’armes de missiles de F35 US pour diminuer la fortune et le pouvoir du militaro business aux USA. Réduire de 2000 milliards les dépenses des USA passe aussi par les 900 milliards d’armement acheté par le congrès commissionné. Donc Mr Trump en homme de paix, nous devrions le remercier. Mr Macron, Van der Layen avec l’anglais et l’allemand sont en retard de 2 décennies. On en a marre de cette mascarade perpétuelle de guerre et surtout de notre faillite bien cachée de 8400 milliards. Mr Trump à mis l’Europe sur les pattes de derrière et c’est un excellent service qu’il nous rend. Mr Poutine dirige la partie de cartes avec Mr Trump et l’UE se retrouve en faillite n’ayant pas les moyens de ses ambitions guerrières. Cela va nous couter très très cher surtout avec tous les alliés de la Russie, les marchés financiers qui vont s’apercevoir de la débâcle et l’opinion publique qui va prendre connaissance des magouilles européennes avec plusieurs pays qui vont sans doute partir.
A la guerre. (1)
A la campagne, il n’y a pas si longtemps une sonnerie était redoutée : le tocsin. Quand il annonçait le début de la guerre il était annonciateur de grands malheurs, de mort, de larmes et de ruines. Chacun en avait clairement conscience.
Aujourd’hui les monuments aux morts sont toujours là, le tocsin ne sonne plus, la guerre semble lointaine et le peuple a baissé la garde. Se serait-il trompé ?
En ces temps incertains rappeler à nos contemporains quelques souvenirs des dernières confrontations guerrières sur notre territoire ne semble pas inutile.
Les guerres napoléoniennes.
Lire Erckmann-Chatrian : l’histoire d’un conscrit de 1813
puis Waterloo. (romans)
La guerre de 1870/1871.
La scène se passe dans un camp militaire de l’Ouest de la France.
A la harangue d’un officier qui se finit par « A la guerre ! » répond une clameur enthousiaste qui le laisse perplexe. A la fin de l’exercice une rapide enquête auprès du sergent instructeur lui permet d’éclaircir le mystère. Il est francophone et les hommes sont brittophones. Quand il dit « A la guerre » les hommes comprennent « D’ar guer » ce qui traduit en français signifie « Tout le monde à la maison. » Nombre de ces soldats ne rentrèrent jamais chez eux parce qu’ils servirent de chair à canon en première ligne du front.
Et sous les bombardements toujours cette boule au ventre qui vous donne la sensation d’avoir un oursin dans l’estomac.
Pour les curieux :
Les Hardis / Rats, chiens et éléphants : comment Paris assiégé mangea l’interdit par Morgan Malka / sur internet.
A la guerre (2)
Guerre 1914/1918.
La scène se passe dans une mairie de Lorraine sur la ligne de front. Le major de l’armée occupante donne ses instructions pour les réquisitions alimentaires. Au maire qui objecte qu’il ne reste que les vaches laitières indispensables pour le lait des biberons des enfants le major rétorque : « Oh, les petits Franzosen, ce n’est rien ! » Plusieurs de ces bouches inutiles devinrent orphelines et connurent un exode pendant lequel certaines léchaient la graisse des gonds des portes des granges pour essayer de ne pas mourir de faim.
Et sous les bombardements toujours cette boule au ventre qui vous donne la sensation d’avoir un oursin dans l’estomac.
Pour vous détendre :
Lire les poèmes de Guillaume Appolinaire.
Eventuellement écouter : Léo Ferré Le pont Mirabeau / youTube 2 :57 /
Guerre 1939/1945.
La scène se passe pendant l’occupation au vestiaire d’un théâtre parisien.
Les spectateurs se métamorphosent physiquement après la remise de leur manteau : ils deviennent filiformes.
Lors de la guerre 39/45 en zone occupée et plus particulièrement dans les grandes villes Français et occupants ont d’abord vécu côte à côte puis face à face. A cause des réquisitions de l’occupant les Français ne trouvaient plus rien à mettre dans leurs assiettes et c’est alors que tout a changé. Les Parisiens qui mangeaient à leur faim étaient ou fortunés ou à Vichy ou aux Etats-Unis.
Et sous les bombardements toujours cette boule au ventre qui vous donne la sensation d’avoir un oursin dans l’estomac.
Otto von Bismarck déclara à Versailles en 1871 : « Sans Iéna pas de Sedan. » On connaît la suite :
Sans Sedan pas de wagon de l’armistice à Rethondes
Sans traité de Versailles pas de Yalta
Et sans Yalta pas de …
Pour vous détendre : l’interview d’André Pousse par Raphaël Mezrahi / version facebook 5 :22 / sur internet.