Le Jarl de Rennes, victime d’une cabale politique et médiatique inouïe orchestrée par l’extrême gauche et relayée par la presse mainstream

Une fois de plus, Rennes est le théâtre d’une offensive politico-médiatique d’une rare violence, orchestrée par l’extrême gauche locale et ses relais complaisants dans des dizaines de médias (une recherche « Le Jarl Rennes » sur Google suffit à comprendre). Cette fois, la cible est Yovan Delourme, alias « Le Jarl« , figure bien connue des réseaux sociaux et responsable de la sécurité du 1988 Club. Que lui reproche-t-on exactement ? D’avoir assuré la sécurité d’un établissement qui reçoit 150 000 clients par an, face à une bande d’activistes qui se croient tout permis ?

Une réaction face à l’impuissance de la police

Le scénario est pourtant simple : une free-party sauvage et illégale s’est tenue dans un ancien cinéma du centre-ville de Rennes. Musique à fond, alcool, drogue, dégradations : le cocktail habituel d’une émeute nocturne organisée par les milieux « festifs » antifascistes sans compter le risque d’incendie énorme (les gauchistes auraient alors hurlé à l’indifférence étatique ou des autorités en cas d’incendie grave sur le site). Malgré les signalements, la police nationale s’est d’abord montrée incapable d’anticiper cette soirée en amont (à quoi servent les renseignements ?). Puis montrée incapable d’intervenir efficacement pour disperser la foule, prévenir les infractions et protéger le quartier. Trop occupée à sécurisée un match de football (PSG-Rennes).

Mais il semblerait que le maintien réel de l’ordre ne soit pas dans les priorités de la Préfecture. Le Jarl et son équipe de sécurité ont donc pris leurs responsabilités en protégeant les clients du club contre les violences et débordements. Mais voilà : il est aujourd’hui plus dangereux de faire respecter l’ordre que de semer le chaos. Les mêmes qui jettente des bouteilles, cassent en manifestation, agressent des militants parce que de droite, appellent à la censure, au lynchage, à l’interdiction, pleurent aujourd’hui pour quelques jets de lacrymogènes, notamment visant des jeunes femmes qui provoquaient (où est passée l’égalité entre sexes ?)

La stratégie de l’extrême gauche est bien rodée. Ces militants ont d’abord provoqué la confrontation, envahissant la zone autour du 1988 Club et agressant verbalement puis physiquement les agents de sécurité. Quand la riposte est venue, les caméras ont tourné, captant seulement ce qui servait leur récit victimaire. Il suffit de voir l’attitude quotidienne des députés LFI à l’Assemblée pour comprendre cette logique : insulter, menacer, provoquer, puis se poser en victimes indignées dès que la réaction se fait sentir.

Pourquoi la police ne fait-elle rien ?

L’élément le plus troublant de cette affaire est l’incompétence flagrante des forces de l’ordre face aux violences d’extrême gauche. Pourquoi sont-elles capables de déployer des moyens considérables pour empêcher un affrontement entre hooligans – souvent codifiés et limités à des individus consentants – mais délaissent-elles totalement la gestion des groupuscules gauchistes, qui sévissent chaque semaine dans les rues de Rennes ? La question mérite d’être posée.

Les médias locaux ont pris fait et cause pour les organisateurs de cette rave illégale, ne se posant à aucun moment la question de leur responsabilité. Pire, certains artistes de la scène électronique rennaise, bien connus pour leur engagement politique – ce que ne s’empresse pas de rappeler la presse locale – ont appelé au boycott du 1988 Club. Un « mouvement » relayé en boucle, comme si l’on parlait d’une véritable mobilisation populaire. Mais la réalité est toute autre : la fréquentation du 1988 Club, malgré les attaques que l’établissement avait déjà subi dans le passé, reste au plus haut, preuve que les Rennais ne sont pas dupes de cette mascarade. Et les prochaines semaines pourraient bel et bien confirmer cette tendance.

Il serait peut-être temps de dénoncer le rôle des activistes gauchistes qui, sous couvert de « culture » et de « tolérance », imposent leur loi par la violence. Partout en France, ces méthodes se répètent : menaces, agressions, destruction de lieux associés à la droite ou à l’identité française. Mais dès que quelqu’un leur tient tête, ils pleurnichent sur les réseaux sociaux, réclamant des sanctions et des fermetures administratives. Le Jarl – quels que soient par ailleurs les ennuis administratifs ou professionnels qu’il puisse avoir à côté pour des affaires remontant à des années et en tenant compte de la bureaucratie soviétique française –  n’est que la dernière victime de cette stratégie bien huilée. S’il a pu se défendre sur quelques médias, les soutiens politiques de premier plan se font toujours attendre alors que TOUTE l’extrême gauche y compris parlementaire fait du cinéma depuis deux jours.

Il est impératif de soutenir ceux qui, sur le terrain, assurent la sécurité et font respecter l’ordre face à la passivité étatique. Le Jarl de Rennes est aujourd’hui la cible d’une cabale indigne, qui vise à faire plier tous ceux qui refusent de se soumettre aux diktats de l’extrême gauche. Cette affaire est bien plus qu’un simple conflit autour d’une boîte de nuit : elle illustre le délitement de l’autorité de l’État et l’impunité croissante des milices gauchistes mais aussi le fait que si l’Etat abandonne les citoyens, les citoyens finiront par s’occuper eux mêmes de ceux qui tentent de leur nuire.

Faut-il en effet attendre que la Police ou la Gendarmerie interviennent, parfois des heures après le début de violences (voir ici), et se laisser massacrer sans réagir, ou encore laisser son établissement se faire détruire, ou rester passif devant une agression caractérisée ? Ou bien faut-il réagir, comme la loi l’autorise d’ailleurs face à n’importe quel acte de délinquance ?

Aux termes de l’article 73 du code de procédure pénale : Dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d’une peine d’emprisonnement, toute personne a qualité pour en appréhender l’auteur et le conduire devant l’officier de police judiciaire le plus proche .

Ce qui différencie les soutiens du Jarl de ceux qui le condamnent et veulent aujourd’hui l’abattre, c’est sans doute d’un côté la volonté d’être des hommes et des femmes libres, de l’autre celui de vouloir instaurer une société totalitaire. Loin d’être des libertaires (Liberté de quoi ? D’occuper un lieu qui ne nous appartient pas, de le saccager, de se droguer, de mettre en danger autrui ?), ceux qui veulent sa chute doivent être appelés simplement par les qualificatifs qu’ils portent mieux : celui de kapos et des commissaires politiques.

YV

Crédit photo : DR
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4 réponses à “Le Jarl de Rennes, victime d’une cabale politique et médiatique inouïe orchestrée par l’extrême gauche et relayée par la presse mainstream”

  1. LucBern1 dit :

    Comment pouvez-vous affirmer que, depuis l’incident, je cite « la fréquentation du 1988 Club reste au plus haut, preuve que les Rennais ne sont pas dupes de cette mascarade », sachant que l’affaire a eu lieu dans la nuit de samedi à dimanche, que dimanche soir, l’affaire n’avait pas encore éclaté au grand jour (minorité underground), et qu’à ce jour (mercredi 12 mars) ou vous écrivez votre article, la boite de nuit était fermée (cf page Google de la discothèque) lundi soir et mardi soir? aaaaah, s’arranger avec la vérité, en effet, tout l’apanage de l’extreme-gauche! En effet, comme vous le dites : les rennais (et les bretons) ne sont pas dupes de votre mascarade. :D

  2. Pschitt dit :

    Il est consternant de voir les pouvoirs publics sacrifier aussi régulièrement au principe du « pas de vagues », mais encourageant de voir des réactions courageuses.

  3. Briz dit :

    Encore une nouvelle fois c’est l’utilisation de la violence qui prime et leurs auteurs qui veulent passer pour les victimes.

    Une fête illégale qui se déroule dans un lieu désaffecté dont on peut penser qu’il n’était pas en mode « portes ouvertes » et donc, on peut se demander s’il n’y a pas eu effraction pour y pénétrer.
    Ensuite, lorsque les forces de l’ordre reçoivent des projectiles divers et variés de la part de ces « fêtards », il est logique que ces dernières puissent répliquer. Si l’évacuation du lieu occupé s’était déroulée à 100 % dans le calme, rien de tout cela ne serait arrivé.

    Pourquoi cette situation ?
    Les auteurs des violences sont visiblement des activistes d’extrême-gauche. Il est possible que ces gens violents étaient minoritaires dans la masse des « fêtards » sauf que cela n’enlève rien aux actes commis.

    La violence extrême de certains de ces activistes est voulue avec la même volonté à chaque fois : semer le chaos.

    Quoi de plus logique en définitive de la part de personnes que l’on peut qualifier d’anarchistes.

    Ils changeraient peut-être d’attitude s’il leur fallait se lever chaque matin pour aller travailler afin de pouvoir subvenir aux besoins du quotidien plutôt que pour certains d’entre eux de rentrer bien tranquillement chez papa, maman après avoir eu l’impression de vivre des sensations fortes.

    Si c’est le cas (pour les sensations fortes), ils pourraient s’engager dans des bataillons de volontaires étrangers et aller combattre en Ukraine ou ailleurs car là, ils seraient en prise directe avec une certaine réalité et côté « sensations fortes », ils seraient servis avec une montée d’adrénaline à son maximum très probablement.

    Mais bon, ne rêvons pas !

  4. LDN dit :

    Il faut une fois pour toutes utiliser les mêmes armes que l’extrême gauche afin de lutter avec efficacité et de façon équilibrée.
    La police ne peut rien faire (faute d’effectifs et de moyens) et la justice penche toujours du même bord (la balance est déréglée).
    Donc laissez faire ceux qui ne veulent pas se laisser faire justement.

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