Nantes : nouvelle violente agression contre des militants de droite sur le campus du Tertre

Le campus universitaire du Tertre à Nantes est de nouveau secoué par la violence de groupuscules d’extrême gauche. Deux étudiants ont été violemment agressés dans la soirée du lundi 10 mars 2025, une agression condamnée officiellement par la présidente de l’université, Carine Bernault, mais qui révèle surtout la passivité chronique de l’institution face aux militants d’extrême gauche (la présidente de l’université avait enfreint son devoir de neutralité il y a quelques années en appelant à voter contre Marine Le Pen, ce qui en dit long).

Des violences répétées et prévisibles

Selon un communiqué officiel diffusé par Foulques Chombart de Lauwe, élu nantais, ces violences ne sont pas des cas isolés, mais s’inscrivent dans une longue série d’incidents impliquant systématiquement des groupuscules antifascistes, qui semblent avoir trouvé sur le campus un terrain favorable à leurs exactions. Hier soir, deux étudiants ont été agressés violemment après être sortis d’une conférence. L’un d’eux, membre de l’UNI (syndicat étudiant de droite), a été blessé et conduit à l’hôpital.

Quelques semaines auparavant déjà, quatre étudiants avaient subi insultes, coups et menaces de mort, orchestrés par une quinzaine d’individus cagoulés se revendiquant « antifas ». Pire, lors d’une précédente intrusion nocturne, les murs avaient été recouverts de tags haineux, avec des menaces explicites contre plusieurs étudiants clairement identifiés.

La présidence de l’université accusée de laxisme

La présidente de Nantes Université, Carine Bernault, a condamné les violences dans un communiqué officiel, affirmant que « l’université est le lieu des savoirs et du dialogue ». Une position qui paraît dérisoire au regard des accusations de complaisance voire de complicité passive envers ces groupes radicaux qui pullulent depuis des années à la faculté de Nantes comme de Rennes sans que les autorités universitaires ne prennent la moindre mesure contre eux.

En effet, selon de nombreux témoignages, les assemblées générales sauvages organisées par ces groupuscules d’extrême gauche perturbent régulièrement les cours sans que la présidence de l’université n’agisse fermement pour rétablir l’ordre. L’institution se contente souvent de fermer préventivement certains bâtiments, une mesure perçue comme une démission face à la menace.

Ce climat dangereux entretenu par des militants ultra-violents, semble prospérer grâce à l’inaction répétée de la direction de l’Université de Nantes. Une passivité devenue coupable, qui laisse les étudiants ordinaires livrés à eux-mêmes face à la brutalité de l’extrême gauche.

L’épisode récent des tags menaçants sur les murs du campus—mentionnant explicitement des noms d’étudiants visés par des menaces de mort—illustre clairement l’impunité dont bénéficient ces activistes. Pourquoi les autorités universitaires n’ont-elles pas réagi fermement dès les premiers incidents ? Attendent-ils que des militants de droite mettent la balle au centre de manière radicale pour réagir, et cette fois ci condamner les « violences d’extrême droite » comme c’est souvent le cas ?

Cette complicité passive rappelle étrangement celle observée à l’Université Rennes 2, régulièrement épinglée pour son laxisme envers les débordements de l’extrême gauche.

Pour Foulques Chombart de Lauwe, le temps de l’indignation verbale est révolu. « Nous appelons à une réaction immédiate et à des sanctions fermes envers les individus responsables de ces actes violents », affirme-t-il. La sécurité des étudiants, souligne-t-il, ne peut être assurée que par une politique claire et ferme de répression des violences et d’exclusion des éléments radicaux.

Il devient donc indispensable que l’Université de Nantes sorte de son immobilisme et prenne enfin ses responsabilités. À défaut, les étudiants continueront à être les victimes silencieuses d’une guerre idéologique qui n’a rien à faire dans une institution dédiée au savoir et au dialogue. Va-t-il falloir fermer l’Université de Nantes comme celle de Rennes 2 pour gauchisme aggravé ?

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

Cet article vous a plu, intrigué, ou révolté ?

PARTAGEZ L'ARTICLE POUR SOUTENIR BREIZH INFO

3 réponses à “Nantes : nouvelle violente agression contre des militants de droite sur le campus du Tertre”

  1. Francesco dit :

    Les « défenseurs » de la démocratie en sont simplement les démolisseurs. Il n’ont pas eu encore leur jouet style mai 68. Sans hochet, bébé pleure et trépigne ! A quand une mise au pas financière des universités protégeant ces abrutis et ces doxas décadentes et avilissantes ? Combien de morts faudra-t-il pour que Madame Bornstein et ses séides interviennent ?

  2. Raymond Neveu dit :

    Trop d’étudiants qui n’ont rien à faire là, trop de bourses inutiles, trop de parents qui planent en fait eux-mêmes parfaits produits de l’Inéducation Nationale, trop de filières qui ne mènent nulle part mais donnent du boulot à des copains gôchiasses…courage à ces vrais profs qui cherchent des salles extérieures à leurs frais pour assurer leurs cours!

  3. gaudete dit :

    Qu’est-ce qu’elle attend pour les virer? a la tête de ces facs des incompétents Arrêtons de les appeler antifas ou antifascistes, les fascistes se sont eux appelons-les fascistes et nazis et au bout d’un moment les gens commenceront à comprendre où sont les vrais fascistes et si les sinistres en avaient et les traitent de fascistes ou de nazis, la peur changerait de camp mais pour ça il faut en avoir, or le tas de nouilles gouvernemental ne risque pas de se transformer en troupeau de taureaux sauvages!

ARTICLES EN LIEN OU SIMILAIRES

Education, International, Religion, RENNES

Islamogauchisme. Rima Hassan invitée à l’université Rennes 2 par un syndicat d’extrême gauche pour une conférence sur la Palestine

Découvrir l'article

Environnement

Le Festival National de la Pêche 2025 à Nantes : un rendez-vous inédit pour les passionnés de mer et de rivière

Découvrir l'article

NANTES

Nouvelle affaire à Nantes : une professeure prise à partie après avoir demandé le retrait d’un voile islamique

Découvrir l'article

Education, Sociétal

A l’université de Lyon 2, Fabrice Balanche, un professeur menacé par des gauchistes en plein cours, en toute impunité

Découvrir l'article

Education, Religion

Islamisation. L’université Lyon 2 interdit une soirée de « rupture du jeûne » du ramadan : des étudiants gauchistes bloquent le campus

Découvrir l'article

Sociétal

Délinquance en France : la nouvelle cartographie communale dévoilée

Découvrir l'article

Economie, NANTES

Nantes : le modèle de gestion du stationnement public en question selon la Chambre régionale des comptes

Découvrir l'article

NANTES

Nantes : un étudiant de 18 ans piégé et passé à tabac par une bande cagoulée

Découvrir l'article

Culture & Patrimoine, Histoire, NANTES

Nantes : un après-midi médiéval le 5 avril au Château des Ducs pour plonger dans l’univers des chevaliers

Découvrir l'article

NANTES

Don du sang au Stade de la Beaujoire : le FC Nantes et l’EFS mobilisent les supporters

Découvrir l'article

PARTICIPEZ AU COMBAT POUR LA RÉINFORMATION !

Faites un don et soutenez la diversité journalistique.

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur Breizh Info. Si vous continuez à utiliser le site, nous supposerons que vous êtes d'accord.

Clicky