Aide publique au développement : un scandale d’État qui dilapide l’argent des Français ?

L’Agence française de développement (AFD) est au cœur d’une controverse grandissante. Officiellement chargée d’aider les pays en difficulté, elle est devenue une machine bureaucratique incontrôlée, financée indirectement par le contribuable français, et redistribuant des milliards d’euros sans réelle transparence ni retombées positives pour la France. Pire encore, cette manne financière profite parfois à des régimes hostiles à notre pays. À l’heure où les Français subissent une pression fiscale toujours plus forte, ce scandale mérite d’être dénoncé.

Une agence aux missions floues, un gouffre financier

Avec un budget de 15,96 milliards d’euros en 2023, l’AFD coûte plus cher que le ministère de la Justice ou celui de l’Agriculture. Pourtant, sa gestion ressemble davantage à celle d’une ONG mondialiste qu’à un organe de puissance stratégique française. Cette somme colossale se répartit entre prêts non remboursés, dons dissimulés et financements idéologiques aux quatre coins du globe.

Officiellement, 85 % de son budget provient d’emprunts sur les marchés financiers et non directement des impôts des Français. Mais il faut être naïf pour croire que cette dette n’aura pas de conséquences sur les finances publiques. À ce jour, l’AFD affiche une dette de 60 milliards d’euros, soit une augmentation de 10 milliards en seulement deux ansQui paiera lorsque les États bénéficiaires feront défaut ? Le contribuable français.

Des subventions absurdes et idéologiques

Le scandale ne s’arrête pas là. Derrière des slogans creux sur le « développement durable » ou « l’inclusion », des millions d’euros sont gaspillés dans des projets absurdes :

  • 151 millions d’euros pour promouvoir l’égalité de genre en Jordanie.
  • 51 millions d’euros pour améliorer l’accès des femmes albanaises au marché du travail.
  • 27 869 euros pour un cirque en Afrique du Sud comme « vecteur d’avenir pour la jeunesse ».
  • Un milliard d’euros pour la « transition énergétique » en Afrique du Sud, alors que la France rouvre ses centrales à charbon.
  • Des dizaines de millions d’euros pour des ONG militant pour l’avortement et les droits LGBTQ+ dans des pays conservateurs.

Derrière ces financements, on retrouve les lubies idéologiques des grandes institutions internationales, dictées par l’ONU et la Commission européenne. La France finance ainsi des programmes qui ne servent ni son influence ni son économie, mais qui visent avant tout à satisfaire les dogmes progressistes du moment. Et cela bien qu’elle s’en défende, et que certains journalistes tendent de sauver l’AFD (pas en Allemagne…)

L’AFD finance-t-elle nos ennemis ?

Si ces dépenses semblent déjà aberrantes, certaines sont carrément scandaleuses. Pourquoi la France continue-t-elle à verser des millions à des pays qui nous méprisent et refusent toute coopération ?

  • 44 millions d’euros pour la « sécurisation hydrique et alimentaire » à Gaza, alors que rien ne garantit que ces fonds ne tombent pas entre les mains du Hamas.
  • 130 millions d’euros annuels pour la Chine, seconde puissance économique mondiale, qui finance pourtant ses propres projets sans difficulté.
  • Des subventions continues à l’Algérie, alors même que ce pays refuse de reprendre ses ressortissants sous OQTF et humilie la France à chaque occasion.

L’argument avancé par l’AFD pour justifier ces financements est toujours le même : il s’agirait d’investissements stratégiques qui profiteraient indirectement à la France. Mensonge éhonté. La majorité de ces financements passent par des organismes internationaux, effaçant totalement l’origine française des fonds. Pire, sur le terrain, ce sont souvent des entreprises chinoises qui empochent les contrats, se moquant allègrement de notre naïveté.

Pendant que des millions de Français peinent à boucler leurs fins de mois, les cadres de l’AFD vivent dans l’opulence. Rémy Rioux, directeur général de l’agence, touche 17 500 euros par mois, sans compter les primes. L’AFD emploie 2 800 personnes pour un coût de 403 millions d’euros par an, avec une multiplication de postes inutiles et d’adjoints en pagaille.

Le siège de l’agence, quant à lui, est un véritable palais.

Un audit d’urgence et un moratoire immédiat

Face à cette gabegie, certaines personnalités réclament un moratoire immédiat sur les financements de l’AFD, le temps de réaliser un audit indépendant et transparent. Il ne s’agit pas de supprimer toute aide publique au développement, mais de cesser immédiatement tout financement idéologique et tout versement à des pays hostiles à la France.

L’aide humanitaire essentielle (urgence sanitaire et alimentaire) doit être maintenue, mais les milliards d’euros gaspillés doivent être réorientés vers les priorités nationales : sécurité, éducation, santé, réindustrialisation. Pourquoi la France finance la transition énergétique d’autres pays pendant qu’elle plonge dans la précarité énergétique ?

Ce scandale est révélateur d’une politique plus large : celle d’une France devenue un guichet automatique mondial, sacrifiant les intérêts de son peuple au nom de dogmes mondialistes. Macron et son gouvernement préfèrent financer des ONG en Afrique plutôt que d’aider les agriculteurs français ou de soutenir la natalité.

En levant le lièvre de l’USAID, Donald Trump a sans doute rendu service aux contribuables en Europe, qui vont peut être enfin commencer à s’apercevoir que les organismes d’aides internationaux, tout comme beaucoup d’associations, de comités, de groupes de travail, sont en réalité de gigantesques pompes à fric pendant que les contribuables eux, sont saignés à blanc. L’heure des comptes a sonné.

Illustration : DR
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Une réponse à “Aide publique au développement : un scandale d’État qui dilapide l’argent des Français ?”

  1. Vert dit :

    Une officine a fermer .
    De plus l’ue fait strictement la meme chose ..
    150 milliards d’euros de subventions a l’Afrique.
    Le contribuable paye 2 fois

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