Frédéric Saens : « Léon Degrelle n’a jamais cessé de croire en lui-même » [Interview]

Rarement une figure de l’histoire belge n’aura suscité autant de fascination que de rejet. Léon Degrelle, fondateur du mouvement rexiste, collaborateur notoire et officier de la Waffen-SS, reste un personnage profondément controversé, à mi-chemin entre l’idéologue exalté et l’aventurier politique. Son parcours, de la politique belge à son engagement militaire sur le front de l’Est, continue d’interroger historiens et observateurs.

C’est à cette trajectoire hors norme que s’est intéressé Frédéric Saenen, auteur d’une biographie inédite sur Degrelle, publiée aux éditions Perrin. Avec un regard documenté et sans concession, il dresse le portrait d’un homme porté par une ambition démesurée, entre mysticisme catholique, dérives populistes et engagement fanatique.

Dans l’entretien qu’il nous a accordé, Frédéric Saenen revient sur les origines du rexisme, les influences intellectuelles de Degrelle, son rapport avec Hitler, son exil en Espagne et l’héritage qu’il laisse aujourd’hui. Une plongée au cœur d’une existence marquée par la fureur de l’Histoire et les ambiguïtés d’un homme qui se rêvait en prophète du XXe siècle.

Breizh-info.com : Pouvez vous vous présenter à nos lecteurs ?

Frédéric Saens : Je suis né en 1973 dans la région liégeoise, où j’ai toujours vécu par la suite. J’ai publié de la poésie, des essais littéraires (sur le genre pamphlétaire ou les écrivains Pierre Drieu la Rochelle et Camille Lemonnier) et des romans (dont L’Enfance unique, réédité dans la collection patrimoniale des lettres belges chez Espace Nord). Je suis en outre rédacteur en chef de la Revue générale, la plus ancienne revue d’idées et de culture en Belgique francophone, fondée en 1865.

Breizh-info.com : Pourquoi vous être intéressé à Léon Degrelle ?

Frédéric Saens : Lorsque, dans les années 1980, j’étais adolescent en secondaire dans un collège catholique, les cours d’histoire, par ailleurs excellents, étaient davantage tournés vers l’histoire de France, européenne ou mondiale. Bien sûr, nous connaissions les noms de nos rois successifs, mais étonnamment, on n’y abordait jamais l’histoire politique de la Belgique, ne fût-ce que pour nous éclairer sur son fonctionnement institutionnel si complexe. Il a fallu attendre que je sois en charge d’un cours de culture et d’histoire de la Belgique auprès d’étudiants et de stagiaires venus du monde entier pour que je me décide à revisiter tout ce passé à la fois richissime et obscur. Il y a près de 10 ans de cela, à la demande d’un étudiant qui m’avait demandé à brûle-pourpoint s’il avait existé des mouvements fascistes en Belgique, je me suis aperçu que j’étais en peine de répondre. Je m’étais alors documenté, puis pris de passion pour cette période et la figure de Degrelle s’est immanquablement dressée devant moi. J’ai lu ce qui avait été publié à son sujet, et il m’est apparu que la plupart des écrits qui lui étaient consacrés étaient axés soit sur la période rexiste des années 1930, soit sur la période de guerre, aucune n’envisageait la plus longue partie de sa vie, en Espagne ni n’articulaient les trois. J’ai alors entrepris de combler cette lacune, dans l’idée d’offrir aux chercheurs plus qualifiés que moi un outil de réflexion pour le futur…

Breizh-info.com : Léon Degrelle est souvent réduit à son rôle de chef rexiste et de collaborateur nazi. En le replaçant dans son parcours intellectuel et politique, avez-vous cherché à montrer un personnage plus complexe ou à déconstruire les mythes qui l’entourent ?

Frédéric Saens : En effet, on pense avoir tout dit de Degrelle quand on a décrit le « Chef de Rex » et sa fulgurante ascension en 1936 puis le prétendant au titre de « Führer des Wallons » adoubé par Hitler. Le personnage est plus complexe et plus profond. Même si on la lui dénie volontiers au vu de ses engagements ultérieurs, il avait un culture historique et littéraire assez impressionnante, ainsi qu’une faconde et des aptitudes rhétoriques dont il usait dans ses discours ou à l’écrit avec une déconcertante aisance. Très vite, comme journaliste, éditeur puis leader d’opinion, il devient un personnage public difficilement négligeable dans la Belgique d’avant-guerre, ce qui a pour corollaire la création d’une image, devenue pour certains de ses fidèles une véritable icône.

Les « mythes qui l’entourent » dont vous parlez sont souvent ceux qu’il s’est forgés lui-même ! Alors, oui, il est d’autant plus intéressant de tenter de comprendre comment il les a construits, car l’élaboration de sa légende repose sur des clichés, des vérités tantôt arrangées tantôt sincères, des affabulations ou des mensonges, le tout gonflé par une stupéfiante « hypertrophie du moi ». L’aplomb avec lequel il pouvait raconter plusieurs versions d’un même fait laisse à cet égard pantois, j’en donne des exemples dans l’ouvrage.

Breizh-info.com : Quelle était l’influence réelle du catholicisme dans la formation idéologique du rexisme ? À quel moment Rex bascule-t-il d’un mouvement catholique militant à un parti fasciste ?

Frédéric Saens : Cette influence est considérable et pour tout dire déterminante. Le mouvement Rex tire d’ailleurs son nom même de celui des éditions d’action catholique Christus Rex, dont Degrelle devient directeur général au tournant des années 1930. Mais avant cela, il a été élevé, éduqué, formé intellectuellement (chez les Jésuites puis à l’université de Louvain) et en grande part politiquement (à l’ACJB) dans le giron catholique. En fait, Degrelle aurait voulu que le surgeon qu’était Rex supplantât le tronc d’où il sortait, à savoir le pilier catholique, troisième constituant de la politique belge de l’époque à côté des deux autres piliers idéologiques, le libéral et le socialiste. Mais son jusqu’auboutisme naturel fait que, quand il se met à dénoncer les partis comme peuplés de pourris et de corrompus liés aux « banksters », il intègre dans ses diatribes le parti catholique, qu’il faut d’après lui épurer au même titre que les autres. Son extrémisme, sa virulence, ses insultes et ses accusations seront évidemment condamnés par les autorités épiscopales, toujours soucieuses de montrer qu’elles se tiennent à distance de la politique. Dès lors, Rex se fait tancer, puis bannir, du giron catholique. C’est le coup d’éclat mené en novembre 1935 à Courtrai, où il dénonce la corruption et la sénilité des caciques du parti catholique, qui marque la rupture définitive. De là, Rex ouvre ses rangs à des non-pratiquants, voire des non-chrétiens, et le ton change… En 1936, c’est véritablement un parti aux allures fascistes qui se présente aux élections de mai.

Breizh-info.com : Léon Degrelle était à la fois un brillant propagandiste et un tribun hors pair. Peut-on dire que sa montée fulgurante dans les années 1930 repose davantage sur un génie médiatique que sur un véritable programme politique ?

Frédéric Saens : Génie, je n’irai pas jusque là, mais en matière d’activités journalistiques et éditoriales il a souvent fait montre d’un indéniable talent de flaireur de coups juteux (ce sera le cas avec les apparitions mariales de Beauraing par exemple) conjugué à une énergie débordante. Degrelle avait des audaces et des initiatives qui décoiffaient ses concurrents, mais il ne faisait en somme qu’appliquer des techniques de marketing déjà connues que, lui, rendait plus agressives (la livraison à domicile par moto, la vente pyramidale avec tarifs dégressifs pour les acheteurs en lot)… Quant à la question plus politique, Rex dispose bien sûr d’un programme, établi sous la plume de Jean Denis dans un premier tome de Principes rexistes (dont on ne verra jamais le second), mais il est douteux que ce soit la lecture de cet ouvrage qui ait convaincu un grand nombre de personnes à adhérer au rexisme. Ce qui fait le succès du mouvement et capte l’attention, c’est avant tout la puissance du prédicateur-tribun Degrelle qui brasse et magnétise les foules – ce n’est pas moi qui le dis, mais bien lui qui l’explique, et certains documents d’époque témoignent de la ferveur populaire qu’il suscitait à chacune de ses apparitions. Sa force de persuasion est telle qu’il est quand même le seul homme politique de l’époque, et peut-être du XXe siècle, qui ait fait payer l’entrée à ses meetings !

Breizh-info.com : On qualifie souvent Degrelle de « dernier fasciste européen ». Peut-on dire qu’il incarne une certaine idée du fascisme belge, distinct du nazisme allemand et du fascisme italien ?

Frédéric Saens : D’abord, je crois qu’il faut souligner à quel point il est malaisé de concevoir l’émergence d’un mouvement fasciste unifié dans ce pays profondément divisé. La Belgique a depuis ses débuts du mal à se vivre comme une nation homogène, de là la difficulté, et l’impossibilité, à définir une quelconque ethnicité belge, basée sur la biologie et la pureté raciale comme le prônait le nazisme, ou encore un sentiment d’appartenance qu’il faudrait appeler la « belgité » sur le modèle de l’italianité revendiquée chez Mussolini. Un nationalisme intégral est donc pour ainsi dire impossible en Belgique.

Le rexisme s’est largement inspiré du seul mouvement d’inspiration réellement fasciste qui soit apparu dans la zone francophone, la Légion nationale. Puis le processus de fascisation s’est rapidement mis en place pour Rex. Tout l’y prédisposait, du culte du chef qui y était entretenu par son fondateur jusqu’à la mise au pas disciplinaire et la « brutalisation » de ses militants, en passant par le rejet de la politique parlementaire, l’adhésion à une vision corporatiste de l’économie, etc. ; mais l’histoire du mouvement montre bien qu’il n’a jamais su s’imposer au Nord du pays, déjà doté de ses propres formations indépendantistes et nationalistes, flamandes celles-là. Une fois la Belgique vaincue en mai 1940, Rex devient un auxiliaire du pouvoir d’occupation, surtout au niveau local, avant de sombrer dans le banditisme et la barbarie répressive. Degrelle se désintéressera de Rex à partir du déclenchement de l’opération Barbarossa en juin 1941 pour lui préférer la croisade antibolchevique et l’engagement dans la légion Wallonie pour le front de l’Est. Lui qui dans les années 1930 était sceptique, parfois même critique, vis-à-vis du IIIe Reich, se mue en fanatique de Hitler. Son admiration devient inconditionnelle et est même potentialisée par la mort du Führer. Il la modulera dans ses livres et ses discours jusqu’au dernier jour… Plutôt donc que « dernier fasciste », je dirais « dernier hitlériste ».

Breizh-info.com : Léon Degrelle a-t-il un moment sincèrement cru qu’il pouvait prendre le pouvoir en Belgique, ou était-ce du bluff permanent, à la manière d’un aventurier politique ?

Frédéric Saens : Léon Degrelle n’a jamais cessé de croire en lui-même, il était doté d’un quant-à-soi assez désarçonnant et se voulait le Chef, sans conteste, de Rex, plus tard de la légion Wallonie. Donc l’idée d’arriver au pouvoir est bien de ces ambitions qui ont souvent dû guider son action. En Belgique ? Peut-être, mais pas dans n’importe laquelle : l’échec politique de Rex en Flandre l’a certainement convaincu qu’il ne deviendrait jamais le « Roi non couronné » du pays tel qu’il avait été dessiné au mitan du XIXe siècle. Alors, devenir « Führer des Wallons » ? C’est bien beau, mais que c’est étriqué pour « Modeste Ier ». Sa réelle utopie directrice demeure la restauration de la Grande Bourgogne, incluant les anciens Pays-Bas méridionaux. Il défendra cette idée, cartes à l’appui, jusqu’auprès d’Otto Abetz ! Le seul moment où il a pu entrevoir la possibilité de prendre les rênes du pays se situe à son bref retour en Belgique avec une petite cohorte de fidèles, durant la bataille des Ardennes fin décembre 1944, début janvier 1945. Mais ce sera un fiasco. Après son installation en Espagne, s’il demande à revenir en Belgique, ce n’est plus guère dans l’idée d’y jouer un quelconque rôle politique, ni de la reconquérir, mais avec l’exigence d’y être rejugé selon ses desiderata. Son idéal bourguignon, s’il en maintient la symbolique, est supplanté par sa fièvre hitlériste et cède désormais la place à l’appel à la restauration d’un Reich pour mille ans, à dimension européenne continentale…

Breizh-info.com : Léon Degrelle est souvent présenté comme un héros de la légion Wallonie et un combattant exemplaire sur le front de l’Est.  Il a été décoré personnellement par Hitler et prétendait être son « fils spirituel ». Jusqu’à sa mort, il a entretenu une vision héroïque de son passé, se présentant comme un martyr du national-socialisme. Peut-on parler d’une « légende dorée » qu’il a fabriquée en partie lui-même et quelle est sa part de vérité ?

Frédéric Saens : Cette très bonne question se pose presque à chaque page de mon livre. Degrelle s’est battu, peut-être pas autant qu’il l’a laissé croire, mais indéniablement. Il a été blessé à quelques reprises, accidentellement ou à cause d’une déflagration de bombe, et non pas par balle. On imagine mal que les rapports dithyrambiques attestant de sa bravoure et signés d’officiers allemands de haut rang eussent été des faux, obtenus par complaisance ou l’on ne sait par quelle manœuvre. Il est vrai qu’une fois intégré à l’État-major à la faveur de ses prises de grade, il n’a plus été si souvent au côté de ses hommes. Mais il a participé à la Vormarsch (la marche vers les contreforts ukrainiens), il a pataugé dans la raspoutitza (la boue de la « saison sans chemin ») et il a aussi pris personnellement la tête de sa division à diverses reprises, notamment en Estonie, à la fin du conflit. Les témoignages d’anciens du front de l’Est se montrent parfois ironiques face à ses cabotinages ; mais, à ma connaissance du moins, il n’y a pas de récit de vétéran de LW qui serait complétement à charge de Degrelle et le dépeindrait en couard authentique. Et il n’est que de revoir les images où, près de 40 ans après, ses « Bourguignons » se réunissent en son honneur et l’embrassent, des larmes pleins les yeux, pour se convaincre qu’ils étaient restés profondément liés au « Chef », et le respectaient. D’un autre côté, au fil de ses entretiens et mémoires, Degrelle a affabulé, exagéré, déformé, et souvent il a allègrement prétendu posséder des preuves explosives contre le gouvernement belge en exil à Londres, contre Spaak et les « Limogeards », qu’il n’a jamais produites. Quand il soutenait qu’il voulait revenir en Belgique pour y être exécuté dans son uniforme et ainsi mourir en martyr, là c’est de l’esbrouffe totale. Cet homme a tout fait pour rester en vie, car le vitaliste et le chantre de la jeunesse qu’il a toujours été ne croyait qu’en elle, ainsi qu’en sa fameuse « chance éternelle » qui semblait le protéger de tout, alors qu’autour c’était l’hécatombe…

Breizh-info.com : Son exil en Espagne sous Franco s’est fait dans un certain confort, contrairement à d’autres collaborateurs traqués et exécutés. Comment expliquez-vous cette mansuétude du régime franquiste ?

Frédéric Saens : Certes, Degrelle a trouvé en Espagne maints soutiens parmi les hiérarques du régime franquiste et au sein de la Phalange. Ces contacts remontent d’abord au temps de la guerre d’Espagne, quand dans sa presse il soutenait avec ferveur le camp nationaliste et Franco ; puis aussi à l’époque du front de l’Est, où les Wallons ont parfois combattu côte à côte avec la Legion Azul. Contrairement à Pierre Laval, arrivé lui aussi en Espagne au début de mai 1945, et qui sera livré quelques mois plus tard aux Alliés, Degrelle, lui, se cache, pendant des années, vit d’expédients et sous protection, grâce à un réseau de relations, jusqu’à enfin « bluffer » tout le monde en usant d’un stratagème parfaitement légal, qui le rend inaccessible à la justice belge : à 47 ans, il se fait naturaliser espagnol par voie d’adoption ! Cette nouvelle identité, en plus de rendre Léon Degrelle inexistant, faisait de Léon Ramirez Reina un illégal sur le sol belge, qu’il aurait fallu refouler s’il s’y présentait. Et à partir de ce moment-là, il devient un citoyen comme un autre dans l’Espagne franquiste. Il sera cependant encore inquiété de décennie en décennie, soit par des menaces de rapt, soit aux moments de prolongation du délai de prescription en Belgique pour les inciviques … Mais il parviendra toujours à en réchapper.

Breizh-info.com : Quels documents inédits ou méconnus avez-vous pu consulter pour enrichir cette biographie ? Avez-vous eu accès à des archives qui contredisent certains récits admis ?

Frédéric Saens : Mon travail se base essentiellement sur la masse considérable d’écrits mais aussi d’entretiens filmés et enregistrés, qu’il a laissés. Scruter sa production écrite et verbale des années 1960-1970 permet par exemple de resituer son importance dans l’histoire du négationnisme dans le domaine français, alors que cet aspect a jusqu’ici été négligé. J’ai aussi tenté de le « tracer » au fil de sa présence dans la presse de son temps, celle où il a écrit (par exemple Le Vingtième Siècle, où il côtoie Hergé) et celle que lui-même a lancée (Soirées, Rex, Le Pays réel). J’ai consulté des archives, mais je n’allais pas recommencer le travail d’historiens chevronnés. Mais j’ai par exemple eu accès à des documents très peu cités comme, dans les archives du Bundestag, le dossier concernant la mort mystérieuse du Sonderführer Pessl, amant de Madame Degrelle retrouvé tué par balle à deux pas de la villa cossue de Degrelle, et j’y ai relevé des informations étonnantes… J’ai aussi fait des trouvailles dans la presse en langue étrangère (espagnole, flamande…) qui éclairent le personnage. Il y a aussi ces interviews, à la radio ou en presse écrite, de Hergé qui sont moins évoquées, ou alors de façon partielle, et que je cite plus amplement afin d’éclairer au mieux les rapports exacts entre les deux hommes…

Breizh-info.com : Quels sont vos projets à venir désormais ?

Frédéric Saens : Est-ce superstition ou prudence élémentaire, je ne parle jamais de ce sur quoi je travaille si je ne suis pas au plus près de la concrétisation. Mais je sais que le ou les projets futurs auront encore partie liée avec l’histoire, la culture et la littérature de mon pays, qui me fascine de plus en plus et que j’ai envie de faire mieux connaître au public français.

Propos recueillis par YV

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