Les délires des militants LGBT, on en devient avare. On les accumule, on les thésaurise et les amasse pour en rire et démontrer l’absurdité crasse de l’idéologie qui les porte. Les plus instruits d’entre eux diront que l’on s’attache aux pires conneries professées par les plus bêtes d’entre eux pour ridiculiser toute la mouvance et faire le buzz…. Ce qui pourrait être vrai si ces mêmes conneries ne provenaient pas des universités ou des hémicycles. Oui, les plus hautes institutions des pays occidentaux sont des fabriques à délires woke et la compétition victimaire y acquiert un voile de légitimité. Cette fois, c’est du musée des Sciences de Londres que nous arrive la dernière idiotie. Jugez un peu : les Lego, de par leur forme, seraient anti-LGBT…
S’emboîtant les uns avec les autres selon un schéma binaire mâle/femelle, les Lego renforceraient l’idée selon laquelle « l’hétérosexualité est la norme« . Cette thèse, rapportée par The Telegraph, provient d’un parcours autoguidé qui décrit certains des objets exposés au musée des Sciences en lien avec le mouvement queer. Le parcours a été conçu par le Gender and Sexuality Network, un groupe de bénévoles travaillant à inclure la communauté LGBT dans les musées. Le point 7 du parcours récite (ou plutôt récitait, puisqu’il a depuis était remplacé) :
Stop 7: Lego ‘basic’ bucket of bricks
Location: Making the Modern World, Level 0
Just below Billy, you will see a bucket of Lego bricks.
Like other connectors and fasteners, Lego bricks are often described in a gendered way. The top of the brick with sticking out pins is male, the bottom of the brick with holes to receive the pins is female, and the process of the two sides being put together is called mating.
This is an example of applying heteronormative language to topics unrelated to gender, sex and reproduction. It illustrates how heteronormativity (the idea that heterosexuality and the male/female gender binary are the norm and everything that falls outside is unusual) shapes the way we speak about science, technology, and the world in general.
[Les briques de Lego sont souvent décrites d’une manière genrée. Le dessus de la brique avec des tenons en saillie est mâle, le bas de la brique avec des trous pour recevoir les tenons est femelle, et le processus des deux côtés étant mis ensemble est appelé accouplement.
C’est un exemple d’application du langage hétéronormatif à des sujets non liés au genre, au sexe et à la reproduction. Il illustre comment l’hétéronormativité (l’idée que l’hétérosexualité et la binarité sexuelle masculin/féminin sont la norme et que tout ce qui en sort est inhabituel) façonne notre façon de parler des sciences, de la technologie et du monde en général.]
Des voix se sont élevées pour crier à la fake news… mais inutilement. En effet, si The Telegraph a modifié son titre (qui devenait Science Museum in ‘bonkers’ LGBT Lego warning) et que plusieurs médias ont souligné le fait que le musée des Sciences n’a jamais explicitement affirmé que les Lego sont anti-LGBT, tout est dans l’implicite. Car prétendre que le langage scientifique ou technique reflète une vision hétéronormative de certains objets, c’est déjà le déplorer. Ce ne serait pas le célèbre jouet qui serait sexiste, homophobe, binaire, mais le langage technique que nous utilisons. Une nuance qui n’enlève en rien le fait que le point 7 du guide énonce clairement qu’un « tenon (pin) entre dans un trou« . Tout cerveau normalement constitué arrive donc à la même conclusion : les Lego sont binaires. Et le binaire, maintenant, c’est mal. On nous le rabâche à longueur de journée, partout où il est possible de le faire, même quand il s’agit du plus innocent des jouets !
Pour Annarita Briganti, journaliste à La Repubblica, quotidien italien d’envergure nationale :
« si le message véhiculé par les Lego offense la sensibilité de quelqu’un, il faut intervenir. Il faut tout repenser, à la lumière de la société d’aujourd’hui. »
C’est dit. Aucune fake news donc : ces fous chassent, traquent, recherchent sans relâche toute manifestation de sexisme, qui serait partout, tout comme les discriminations.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, nous serons d’accord avec eux sur un point : oui, presque tout, de la nature à la technique, est sexué. Presque tout obéit à un schéma binaire, d’oppositions qui s’attirent, se complètent et entrent en contact pour créer, faire naître, produire.
La vie naît de l’accouplement d’individus de types sexuels différents, l’univers de la rencontre entre la matière et de l’anti-matière, le pôle Nord et le pôle Sud sont opposés mais s’attirent etc.. . La complémentarité sexuée est le socle de l’humanité, et l’humanité crée le langage… qui devient sexué tant cette différence lui est innée et spontanée.
Et si cela vexe quelqu’un tant pis pour lui. Il n’a qu’à se faire soigner. Ce n’est pas en niant la réalité qu’on la rend moins dure pour soi. Mais en travaillant à sa petite sensiblerie.
— Elon Musk (@elonmusk) February 6, 2025
Audrey D’Aguanno
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6 réponses à “Délires LGBT : pour le musée des Sciences de Londres, les Lego sont sexistes (et ce n’est pas un fake news)”
D un autre coté ,,popu ne voit pas les intox insidieuses ,,passages de pietons d acces au groupe scolaire aux couleurs ,, »crayons aux « couleurs « de deux metres sur murs d ecoles ,Popu devant des aberations ne dit mot ,,Mon petit fils sommé de s excuser car n appelant pas jenifer « sacha « !!porno bisexualisé aux enfants ,,Marrant ,les lgbt filtrent le moustik ,,popu avalle le chameau « .Les chretiens comprendront .
Eh Oui !!!
La menuiserie et la charpente et l’ébénisterie sont elles aussi « sexistes », reposant sur le principe antique du tenon et de la mortaise !
Nos tristes sires et folledingues wokistes découvrent la lune et nous montrent l’étendue abyssale de leur Connerie.
Quel délire ! Les LEGO sont hermaphrodites — ou, faut-il probablement dire pour contenter ces obsessions malsaines, bisexuels (« à la voile et à la vapeur », disait-on autrefois, mais cela tomberait peut-être sous le coupe de la loi aujourd’hui). Un même bloc comporte des tenons d’un côté et des trous de l’autre.
Des malades, des anormaux, des monstres dans le langage medical, il y en a . Et il y en aura toujours.
De ce fait, personnellement, concernant les Delires LGBT, sincèrement je ne comprends même pas l’intérêt d’en parler.
Quant à traîner des gosses dans ce délire insidieux, c’est un crime.
Les boulons? Vis et écrous ?
Les prise mâles et prises femelles.
Etc.
Ces gens sont en plein délire .
Bravo Audrey !!! Bien envoyé !!! Comme d’habitude…