Cette semaine, on apprenait des parents du jeune Élias plusieurs détails d’importance quant à l’assassinat de leur fils, qui, rappelons-le, a été assassiné le 25 janvier dernier par deux énergumènes « bien connus des services de police » à la sortie de son entraînement de football dans le 14e arrondissement de Paris.
Et ce que nous apprenons change beaucoup de choses… Ou plutôt confirme ce que tous savent déjà, à savoir, que ce qu’il se passe dans nos rues n’est pas une guerre des pauvres contre les possédants, que ce n’est pas « la faute à l’exclusion », mais une guerre ethnique larvée menée par des allochtones qui nous haïssent, qui haïssent les Français et les Européens en général.
Car Elias n’a pas été poignardé par deux racketteurs exotiques* parce qu’il refusait de leur remettre son portable. (Oui, des fous ont prétendu que le jeune aurait dû donner le téléphone pour éviter les coups de lame, comme si cela pouvait être une considération normale). Face à la menace armée, Elias avait déjà obéi. Mais cela n’a pas empêché « Kevin et Matteo » de le massacrer à la machette. Vous savez, cette arme qui pullule désormais dans les zones de non-droit qui maillent notre territoire.
Par contre, c’est bien, « la faute à la société », celle rêvée par les gauchistes, une société permissive, laxiste, où des petites têtes très peu blondes agissent impunément pendant que les premiers bavent devant ce spectacle qui ne les touche pas (pas encore) mais qui nourrit leur ethnomasochisme, leur haine de soi, et entretient le mirage d’un lutte des classes qu’ils fantasment.
Mais la vérité, c’est que « Kévin et Matteo », pardon, « Lucien et Joe » comme ils ont été baptisés par La Dépêche et Le Parisien, ont tué Elias, comme ça, pour le plaisir. Parce que ça fait trop cool dans la cité, puis de toute façon on ira pas en prison, et si on y va on retrouvera les potes et on jouera à la Play en fumant des joints…
La voilà la vérité. Et chaque assassin – dont on rappellera la racine étymologique arabe signifiant « fumeur de hachich » – chaque assassin de petit Blanc fait des émules. Derrière chaque Kévin, derrière chaque Matteo, d’autres Kévin et Matteo attendent leur tour pour assassiner les prochains Elias, Matisse, Enzo, Thomas, Lola, Philippe, Thimothy, Philippine, Nicolas, etc.
La voilà la vérité.
Communiqué des parents d’Elias
Elias aurait dû avoir 15 ans le 14 février 2025.
Elias n’aura jamais 15 ans…
Né à Paris, le 14 février 2010, Elias a été agressé à Paris, le 24 janvier 2025, alors qu’il sortait, comme chaque vendredi, de son entraînement de football, au stade Jules Noël à Paris XIVe.
Elias a été agressé avec une violence inouïe par deux mineurs décomplexés qui déambulaient en toute liberté ensemble, l’un armée d’une machette, l’autre d’une hachette.
Si le motif de l’escroquerie de ces deux jeunes était de récupérer le téléphone d’Elias, ils ne se sont pas arrêtés là.
Loin de son s’en contenter alors pourtant qu’Elias avait remis spontanément son téléphone portable, terrorisé à la vue des armes de ses agresseurs, il a reçu un profond coup de machette, et non un « simple coup de couteau » il a pu être écrit.
La plaie a été d’une telle profondeur qu’elle reflète le comportement de toute-puissance de ces deux mineurs.
Elias a été intentionnellement frappé, avec une machette qui a entraîné une plaie transfixiante thoracique avec des plaies artérielles et cardiaques , engendrant une dégradation immédiate de son état clinique. Elias n’avait aucune chance de s’en sortir malgré la prise en charge du SAMU., des équipes de chirurgie, d’anesthésie et de réanimation de l’hôpital Necker.
Elias est mort à Paris, le 25 janvier 2025.
Notre fils est mort, notre chagrin est immense, notre vie est détruite.
Nous souhaitons que notre intimité soit préservée. Celle de notre famille., celle des amis d’Élias et de ses coéquipiers.
Il y a les questions auxquelles l’enquête, l’instruction, le procès répondront. Nous respectons le travail d’ores et déjà accompli et à venir. Nos avocats, Maître Johanna Ostrowka épaulée de Maître Nicolas Goutx, nous accompagnent et font le nécessaire.
La quête de vérité nous anime, comme tous, face à cette montée en puissance des violences commises par des mineurs sur des mineurs.
De nombreuses questions jaillissent alors même que certaines réponses nous semblent inaudibles.
Comment deux adolescents armés, interdit de contacts entre eux par la justice, connus défavorablement des services de police et judiciaires pour des faits similaires, ont-ils pu en toute impunité poursuivre leurs exactions ?
Comment justifier l’appréciation clémente de la justice qui les a laissés placés sous un contrôle judiciaire inapplicable et inappliqué?
Comment justifier une justice éducative face à des jeunes de plus de 16 ans qui refusent de respecter leurs obligations découlant de leur placement sous contrôle judiciaire et qui se vantent de commettre des infractions pénales de manière réitérée et habituelle.
Comment un procès prévu en novembre 2024 peut-il être reporté en juin 2025 , en ayant connaissance du caractère dangereux de ces individus et de la réitération d’infractions de types vol, escroquerie avec violences, port d’armes, laissés en liberté?
Élias est décédé. Elias n’est pas un simple fait divers, un de plus.
Elias est mort en raison d’une impunité dans laquelle se sont sentis deux mineurs malgré une prise en charge éducative et pénale. Certes, d’autres avant lui ont été tués dans des circonstances similaires.
La mort d’Elias démontre que l’État n’a pas su protéger ses citoyens.
Face à un tel déchaînement de violence ayant entraîné intentionnellement la mort, la justice devra se montrer ferme et garante de la sécurité à laquelle nous devons tous prétendre.
Un jeune doit pouvoir rentrer chez lui en toute sécurité, que ce soit après l’école ou après une activité extrascolaire, une sortie…
Ne laissons pas des mineurs réitérer librement leurs actions et mettre en danger notre société, nos valeurs.
Il est temps que les pouvoirs publics, de concert avec tous les protagonistes en charge de la protection de l’enfant, prennent les mesures nécessaires et adéquates, garantissant également la protection de tous avant qu’ils puissent être dénommés « victimes », et cessons de protéger par des mesures uniquement éducatives les mineurs, auteurs d’infractions, particulièrement dans les cas les plus graves.
Si la justice doit être éducative, elle doit demeurer également répressive et protectrice des droits de chacun.
Toute modification législative qui poursuivrait cet effort est à saluer.
Nous ne demandons pas aux représentant des partis politiques, aux magistrats, de ressusciter les disparus. Nous leur demandons de protéger les vivants.
Les avocats des parents d’Elias évaluent actuellement la possibilité de porter plainte contre l’État.
Audrey D’Aguanno
*La loi interdit de donner les identités de mineurs mis en cause.
Crédit photo : DR
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6 réponses à “Nouveaux éléments dans le meurtre d’Élias : il a été tué pour le plaisir”
Ca suffit ce genre d’horreur. On en peut plus. Qui sont capables de tuer pour le plaisir ? » Peine de mort sans complaisance pour les assassins tortionnaires d’enfants comme pour les terroristes. Pas de quartier ». (récit romantique à souhaits « les corps indécents ») » Comment peut-on avoir de la compassion pour des monstres ? Comment peut-on a demi les absoudre en leur offrant une vie paisible, assurés du gite et du couvert «
Un antillais et un africain
ces deux décérébrés auront quoi ? un carton jaune ? la vie d’un français ne pèse pas lourd dans ce pays ; on dit merci qui :
Florence Mathieu a raison : On n’en peut plus !
Mais il se fait, Dear Florence, que Notre pays est peuplé d’assassins qui sont, malhureusement et souvent, de notre sang ! Et comme vous le citez, « la complaisance envers les assassins tortionnaires d’enfant » n’est que le resultat de cette France pleutre, qui n’est ni la vôtre, ni la mienne.
Je l’ai dit depuis le début. Je connais trop bien ce profil de jeunes, ayant été jadis éducateur. Ils voulaient se payer un petit blanc, par jalousie, envie, désoeuvrement, le portable n’étant qu’un prétexte à porter des coups. La gauche morale et la justice sont dans l’aveuglement, persuadés que ces jeunes ne sont que des victimes de la société, alors que ce sont des monstres dégénérés et dangereux. Rien ne les fera changer, ils resteront dangereux pour autrui. Pour que ça change, il faut sans doute que ça tombe sur eux-mêmes ou sur leurs proches. Ça viendra car ces délinquants muent en cartels. Ils s’attaqueront bientôt aux juges, aux journalistes et aux élus qui les ont si longtemps protégés. C’est écrit. Il suffit de voir ce qui se passe au Mexique.
La fameuse théorie de » l’excuse » l’assassin devenant une victime sociale défendue par ces journaleux gauchisants ( pléonasme ? ) bien au chaud sur les plateaux télé. Tuer pour devenir un caïd des cités, montrer qu’on a peur de rien en tuant à coups de machette un jeune sportif désarmé ? Ya pas à être fier de ça mais notre société, médias et justice de gauche sont responsable de cette dérive lamentable grâce à l’absence de sanctions proportionnelles à la gravité des délits….percuter volontairement un policier et le trainer sur le sol et vous serez condamné à un travail d’intérêt général ! Attendons le procès de ces sauvages et on en reparlera….