La projection du film Silenced de Tommy Robinson en Occitanie n’a pas seulement suscité des débats, elle a révélé une mécanique bien rodée de censure et d’intimidation. Ce documentaire explosif, qui dénonce les dérives du système judiciaire et médiatique britannique face aux gangs d’abuseurs d’enfants, a vu sa diffusion entravée à Castelnau-le-Lez. Une décision municipale qui n’a fait que renforcer l’intérêt pour le film et souligner, une fois encore, l’hypocrisie des élites locales.
Interdiction municipale : un prétexte politique
Initialement prévue dans une salle privée, la projection du documentaire a été visée par une interdiction municipale, orchestrée par le maire PS de Castelnau-le-Lez. Cet arrêté de sept pages, truffé d’arguments discutables et juridiquement fragiles, invoque un hypothétique trouble à l’ordre public. En réalité, l’unique menace potentielle provenait des antifas, ces milices violentes tolérées par les autorités quand elles s’attaquent aux événements qui dérangent la bien-pensance.
Relayé par la presse locale, notamment Midi Libre, et soutenu par des figures du Grand Orient de France, ce coup de force visait à empêcher toute diffusion du film. Un échec cuisant pour ses détracteurs : alors que le maire de Castelnau-le-Lez se félicitait d’avoir censuré l’événement, Silenced était projeté dans le centre-ville de Montpellier sous son nez. Un bel exemple d’arroseur arrosé.
Une persécution qui rappelle le calvaire de Tommy Robinson
Si les autorités françaises s’alignent sur cette logique répressive, c’est qu’elles s’inspirent d’un modèle déjà éprouvé outre-Manche. Tommy Robinson en est la figure de proue : persécuté pour avoir révélé le scandale des gangs de violeurs pakistanais qui ont sévi en Grande-Bretagne pendant des décennies, il a été emprisonné à plusieurs reprises, ruiné, menacé de mort et traqué par le système judiciaire britannique. Sa faute ? Avoir dénoncé l’inaction des pouvoirs publics et la complicité tacite des médias avec ces réseaux criminels.
Son film, censuré au Royaume-Uni, montre une réalité que les élites ne veulent pas voir. Contrairement à la propagande médiatique, Robinson ne s’attaque pas aux individus pour ce qu’ils sont, mais pour ce qu’ils font. Son enquête, basée sur des faits irréfutables, expose la mécanique du déni institutionnel et le prix que paient ceux qui osent défier l’ordre établi.
Malgré l’intimidation, la résistance s’organise
Loin d’être un échec, cette tentative de censure a amplifié la portée du film. Grâce à la Ligue du Midi et à d’autres mouvements patriotes, la projection a bien eu lieu dans un autre lieu sécurisé, rassemblant une salle comble. Des militants du collectif Némésis étaient présents, tout comme des figures engagées dans la défense des libertés publiques et la lutte contre l’ensauvagement de nos sociétés.
Mieux encore, face à l’acharnement des pouvoirs publics, d’autres projections sont déjà programmées en Occitanie. Un effet Streisand en plein essor : à force de vouloir étouffer la vérité, le système ne fait que renforcer son impact. Car la réalité que dévoile Silenced est brutale, implacable, et impossible à cacher indéfiniment.
Ce qui s’est passé à Castelnau-le-Lez est un exemple supplémentaire du double standard en vigueur : quand des groupuscules d’extrême gauche sèment le chaos, brûlent des voitures et agressent des opposants, l’État regarde ailleurs. Mais lorsqu’un film dérange la doxa officielle, les interdictions pleuvent.
Les patriotes, eux, ne se laissent pas intimider. La bataille pour la liberté d’expression continue, et elle se gagnera non pas en se soumettant aux diktats d’une caste déconnectée, mais en diffusant massivement la vérité, coûte que coûte.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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7 réponses à “Censure et acharnement : la projection du film de Tommy Robinson a eu lieu à Montpellier malgré les gesticulations des autorités et associations gauchistes locales”
J’espère de tout cœur que cela va servir à rendre la liberté à ce monsieur ! la vérité arrive ! trop lentement!
Bravo !
Et autant je suis heureux pour l’échec de cette perpétuelle censure nauséabonde et gauchisteante, que l’éclosion d’un esprit teinté de renouveau au sein de la population de Montpellier, qui pendant trop longtemps a été sous la coupe de Frêche, un très bon Maire, mais de forte orientation gauchiste.
Une fois de plus, l’on voit la lacheté de nos gouvernants et des personnes qui ont votés pour eux.
Je comprends mal comment un maire pourrait interdire la projection dans un lieu privé d’un film qui n’est pas interdit.
la France décadente me fait penser à l’Allemagne d’Hitler qui interdisait tous les livres qui rendaient l’intelligence interdite afin de mieux faire une dictature. C’est exactement ce qui se passe en France et fera notre effondrement. D’un substitut de guerre par un virus de laboratoire pour asseoir une dictature on passe par l’annulation d’élections et on interdit le Rassemblement National partout. Seul un américain DJ Vance vice président des USA a su mettre face à leurs responsabilités les dirigeants européens français et autres pour qui l’effondrement économique est leurs joies profondes afin d’imposer leurs idées. Hitler est un exemple de cela car l’extrême gauche comme l’extrême Maron c’est comme une dictature cachée en mensonges de liberté confisquée pour incendier voler spolier la société des populations travailleuses créant les richesses d’un pays.
Le film en question n’est pas raciste. Le réalisateur dénonce plus de 300 viols commis par un gang pakistanais sur de jeunes enfants pendant des années. Le gouvernement britannique pour ne pas stigmatiser les musulmans a caché l’affaire et n’ a rien fait pour arrêter ces salopards.
Il y a eu des manifs en Angleterre réprimées par la force. Des papy, des mamies, des papas et des mamans de ces enfants ont été arrêtés.
Quelle Honte d’interdire un film qui ne dit que les faits et qui veut rendre justice aux victimes. Sommes nous mangés par la bien-pensance gauchiste et le Wokisme ?
Honte à ce maire qui veut interdire la Liberté d’ expression surtout quand il s’agit de dénoncer des Crimes horribles.
@ Gaï de Ropraz : Frêche, « un très bon Maire » ?
Avez-vous vécu à Montpellier ? L’avez-vous fréquenté ?
J’en doute.
Frêche n’était qu’un arriviste, davantage soucieux de son siège que de ses administrés. Un peu mytho également…
Larbin et carpette totale face à la population maghrébine (j’ai d’ailleurs en mémoire deux anecdotes mordantes liées à une réunion de travail que j’ai eue avec lui il y a une bonne trentaine d’années de cela).
Quant au reste de ses administrés, il ne les fréquentait qu’à l’approche des élections, allant il est vrai, jusqu’à prendre l’apéro dans des petits appartements où les quelques invités du quartier s’entassaient pour discuter avec lui « à bâtons rompus ». Mais là encore, il promettait monts et merveilles, s’appuyant sur cette phrase, majoritairement attribuée à Chirac, qui indique que « les promesses n’engagent que ceux qui les reçoivent »…
Une fois réélu, chaque habitant ayant voulu y croire se transformait en Soeur Anne « qui ne voyait toujours rien venir »… Perdant progressivement l’adhésion des autochtones de certains quartiers, il s’est opportunément tourné vers la « nouvelle génération » devenue française par le droit du sol.
On voit ce qu’est devenue Montpellier aujourd’hui…