Mercredi 12 février au soir, une explosion a secoué le quartier du Village Olympique à Grenoble, un secteur gangréné par l’insécurité depuis plusieurs années. Selon les premiers éléments de l’enquête, une grenade a été jetée dans un bar associatif, blessant douze personnes, dont six grièvement. Un acte d’une rare violence, qui marque une nouvelle escalade dans la criminalité qui gangrène certains quartiers de France.
Un attentat criminel dans une zone dite « sensible »
Aux alentours de 20h15, un individu muni d’une kalachnikov a pénétré dans le bar Aksehir, situé place Claude-Kogan, avant d’y jeter une grenade. La déflagration a soufflé les vitres de l’établissement et causé d’importants dégâts matériels. Les enquêteurs explorent plusieurs hypothèses, notamment celle d’un règlement de comptes lié au trafic de drogue, un phénomène tristement récurrent dans la région grenobloise.
Attaque à la GRENADE en pleine ville de Grenoble.
Notre pays devient un pays sous développé, rempli de fous qui souvent ne devraient même pas être en liberté et/ou en France.
Soutien aux blessés, on espère qu’il n’y a pas de morts 🙏 pic.twitter.com/EgHQ44NidC
— Alice Cordier (@CordierAlice2) February 12, 2025
Le Village Olympique est loin d’être un quartier paisible. Il est régulièrement le théâtre d’affrontements entre bandes rivales. Le bar Aksehir, touché par l’attaque, est un établissement fréquenté principalement par une communauté turque et caucasienne. Des sources locales évoquent un possible lien avec des tensions entre groupes criminels opérant dans le secteur.
Ce drame n’est pas un cas isolé. Ces dernières années, Grenoble s’est illustrée par une explosion des violences liées au narcotrafic et aux luttes de territoire. Fusillades en pleine rue, attaques à l’arme automatique, règlements de comptes… Autant d’événements qui témoignent d’une impunité croissante des criminels. Vincent Lapierre avait d’ailleurs réalisé, pour Le Média pour tous, un reportage assez effrayant sur l’état de la ville dirigée par le maire gauchiste, Eric Piolle.
La réaction du maire de Grenoble, Éric Piolle, n’a pas tardé. Sur le réseau X (ex-Twitter), il a déclaré : « Je condamne avec la plus grande fermeté l’acte criminel d’une violence inouïe qui s’est produit dans un commerce du quartier du Village. » Il s’est ensuite rendu sur place, tard dans la soirée, pour constater les dégâts.
Attaque à la grenade d’un bar associatif de Grenoble : douze blessés dont six en urgence absolue. L’assaillant était muni d’un fusil de type Kalachnikov. Le maire Éric Piolle « condamne avec la plus grande fermeté ». pic.twitter.com/pZVryT3Z6D
— Laurent Obertone (@LaurentObertone) February 13, 2025
Mais les paroles suffisent-elles ? La situation de Grenoble n’est pas nouvelle, et pourtant, aucune mesure concrète ne semble endiguer la montée de la violence. Laxisme judiciaire, sous-effectifs policiers, quartiers devenus des zones de non-droit : autant de réalités qui permettent aux criminels de se sentir en terrain conquis.
Interrogé par Libé sur les critiques qui visent l’insécurité à Grenoble, désormais classée dans les villes les plus dangereuses de France, @EricPiolle répond : « Je m’en fous un peu. (…) Il faut résister au tourbillon médiatique. Des fusillades, il y en a partout. » Il faut donc… pic.twitter.com/4oNThqr9Uj
— Fx Bellamy (@fxbellamy) February 12, 2025
Grenoble est devenue un symbole du laisser-faire en matière de sécurité. C’est en général ce qui arrive lorsque le gauchisme est appliquée à une ville entière. Ville dirigée par une municipalité écologiste, où les priorités semblent davantage orientées vers des politiques sociétales que vers la lutte contre la criminalité, elle incarne ce qu’il advient lorsqu’on ferme les yeux sur la montée des violences.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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9 réponses à “Vivre ensemble à Grenoble : attaque à la grenade dans un bar”
Un simple prélude préfaçant la France de demain ! Donc Piolle nous montre le chemin, puis repu, il s’en ira en laissant le suivant se démerder dans les décombres. Il a de la chance, car ailleurs il se ferait pendre à une pale d’éolienne. Partisan de la « déconstruction », il a parfaitement fait son job. Finalement, seuls ses électeurs sont à blâmer. Nous voyons ainsi où peut nous mener certains choix démocratiques et les maux de la loi du nombre…et de l’abstention !
A laisser les portes du pays béantes comme le réclame Olivier Faure, immanquablment on attire toute la pègre du monde. Et l’attentat de Grenoble n’est qu’un debut.
Une certitude : Avec des politiciens de la trempe d’Olivier Faure, le declin de la France multiraciale est en route. Vivement un Trump Français au pouvoir !!!
« Je condamne avec la plus grande fermeté » C’est tout ce qu’ils savent dire et faire ces élus gauchos.
Ah la belle ville du sieur Piolle que voilà ! Ses grenades , ses AK 47 , ses meurtres en pleine rues, ses dealers si appréciés du maitre des lieux , ses piscines réservées aux burkinis tellement dans l’air du temps féministes, ses rues sans caméras qui sont évidemment des havres de paix !! Mais pour la racailles de tous les horizons . Bref Grenoble quoi, mais aussi la France de demain ou même plutôt d’aujourd’hui .
En réponse à Francesco : 👍 !!
Sans doute une grenade provenant des surplus américain d’Ukraine !?
Je dis celà en référence à la quantité d’armes de toutes origines trouvées après la guerre de 39/45 dans ma presqu’île de Crozon.
Il se trouve que mon père en dehors de fréquenter assiduement les nombreux bistrots du bourg (j’en ai compté 23 à l’époque: boulanger/bistrot, libraire/bistrot, épicier/bisrot, station essence/bistrot..) exerçait le métier de garagiste/ferrailleur, sur un terrain ex-cimetière allemand entouré de cyprès jouxtant celui français.
Il récupérait, obus de 155, mitraillette, fusils Mauser avec leurs chargeurs…Nous les gamins nous baladions dans les rues avec des casques boches, baïonnettes.
Un jour en classe de CM2, un élève turbulent a fait péter une grenade d’exercice en classe…Gros nuage de plâtre. A proximité immédiate de cette l’école primaire, un « collectionneur » accumulait des armements dans un transformateur edf désaffecté.
Avec les plaquettes de poudre, nous inventions des fusées qui le plus souvent faisaient piouf.
Un moment je me suis retrouvé avec deux pistolets à barillet quasi neufs, un 6,35 et un 7,65…Apeuré, je les ai donnés à un ami.
A noter que contrairement à maintenant, personne n’a utilisé sciemment cet arsenal.
Toout celà pour souligner le gisement disponible de matos mortifère pour nos truands et dealers variés.
a qui la faute si cet incapable est à la tête de Grenoble? D’autre part c’est quand qu’on dissous ce parti de bons à rien sinon nous infliger des normes plus délirantes les unes que les autres. A dégager tous ces gauchiasses de salon avec socialistes lfi et consorts
A en juger par les dégâts ce serait une quadrillée ce que les salauds de fellouzes lançaient de même au milieu de la foule en Algérie entre 1954 et 1961. Grâce aux paras les attentats furent moins nombreux. Il faut appliquer à Piolle la méthode Macronos à savoir une grenade quadrillée dégoupillée dans le slip!
enfin on sait que ce bar « associatif » était turc (aksehir étant une ville de turquie)