L’État et sa justice aux ordres viennent une nouvelle fois de démontrer leur vrai visage : celui d’un régime liberticide, prêt à tout pour museler les médias qui ne chantent pas en chœur avec l’idéologie dominante. Cette fois, c’est le journal Frontières, dirigé par Erik Tegnér, qui est pris pour cible. Son crime ? Avoir enquêté sur les dérives financières de la justice migratoire, et surtout, avoir eu raison trop tôt et trop fort.
On revient avec une grosse enquête sur les coupables de l’invasion migratoire. De l’état profond du système. Et on vous dévoilera… tous les noms.
❌ Les tribunaux les + laxistes, les 50 avocats pro-migrants, les préfectures qui octroient des pouvoirs aux ONG, les dispositifs… pic.twitter.com/bKH11vXIa0
— Erik Tegnér (@tegnererik) January 10, 2025
En face, le rouleau compresseur judiciaire et politique s’est immédiatement mis en branle : procédures à répétition, menaces de procès, pressions bancaires et administratives, interventions du Conseil d’État et même du ministre de la Justice lui-même, Gérald Darmanin. Si Frontières avait sorti la même enquête, mais avec un prisme gauchiste (par exemple, de manière très « originale » sur l’extrême droite en France), il aurait été encensé par les médias de grand chemin et récompensé d’un prix Albert Londres. Mais en France, le journalisme d’investigation n’est toléré que lorsqu’il va dans le bon sens, c’est-à-dire celui des élites, des minorités protégées et du dogme pro-immigration.
« S’en prendre aux avocats est inacceptable en démocratie. J’ai apporté mon soutien auprès de la présidente du Conseil national des barreaux »
👉 Suite à nos révélations, @GDarmanin apporte à nouveau son soutien aux avocats pro-migrants en assimilant toute critique et… pic.twitter.com/GUgjd4kqhJ
— Frontières (@Frontieresmedia) February 12, 2025
Quand la vérité dérange, l’État réprime
Le scandale n’est pas tant dans les révélations de Frontières – qui ne font que confirmer ce que beaucoup savent déjà sur le détournement massif de l’argent public au profit du business migratoire – mais bien dans la réaction des institutions. L’État ne se contente plus d’ignorer ces enquêtes, il attaque frontalement.
En s’en prenant à Frontières, le pouvoir en place montre sa fébrilité, sa panique. Un ministre de la Justice qui s’abaisse à commenter un journal d’opposition, un Conseil d’État qui se mêle de censure médiatique… Voilà des signes qui ne trompent pas : Frontières a visé juste, et ça fait mal.
Le Conseil d’Etat via le Conseil supérieur des tribunaux administratifs vient d’attaquer @Frontieresmedia de façon inédite. Darmanin, en totale contradiction avec son discours, a pris fait et cause pour la frange syndicale de son administration.
On met tout à plat en direct ! https://t.co/XZtpWYAzKv— Erik Tegnér (@tegnererik) February 12, 2025
La cabale médiatique et judiciaire contre un média de droite assumé
Tout le monde le sait : si une rédaction de gauche comme Mediapart sortait une enquête du même calibre, tout le gratin politico-médiatique crierait au courage journalistique, au droit de savoir, à l’indispensable liberté d’informer. Mais quand un journal de droite mène ce travail d’investigation, il devient une cible à abattre.
Les méthodes utilisées contre Frontières rappellent les pires régimes totalitaires :
- Intimidation judiciaire pour épuiser les journalistes et les contraindre à l’autocensure.
- Pression financière pour les asphyxier et les empêcher de continuer leur travail.
- Dénonciation publique orchestrée par le gouvernement et les relais médiatiques complices pour les diaboliser.
Il ne s’agit plus de simples désaccords idéologiques. C’est une guerre ouverte contre les médias qui dérangent.
S’abonner à Frontières, c’est résister !
La seule réponse face à cette offensive contre la liberté de la presse, c’est la solidarité. Nous devons être nombreux à soutenir Frontières, non seulement pour leur permettre de continuer à enquêter, mais aussi pour envoyer un message clair au pouvoir : nous ne nous laisserons pas réduire au silence.
Nous appelons tous les lecteurs de Breizh-Info et tous les amoureux de la liberté à :
✅ Soutenir financièrement Frontières via leurs campagnes de dons.
✅ S’abonner massivement pour renforcer leur indépendance et leur donner les moyens de poursuivre leur travail.
✅ Faire circuler leurs enquêtes, car c’est en diffusant la vérité que nous combattons la propagande d’État.
Ne soyons pas naïfs : l’État ne s’arrêtera pas à Frontières. Demain, ce sera un autre média, une autre enquête, un autre journaliste. Si nous ne réagissons pas maintenant, c’est toute la presse libre qui sera étouffée. L’heure est à la mobilisation.
Face aux tyrans, soutenons les journalistes qui disent la vérité. Pour vous abonner, c’est ici
Yann Vallerie
« En 2021, 1350 associations ont touché des subventions ou des rémunérations via le budget immigration. Pour un total dépassant les 750 MILLIONS d’€ »
👉 @LinoBauer3 présente les 3 associations qui font des affaires sur les migrants avec VOTRE argent : https://t.co/VStzxlG6Xk pic.twitter.com/sjrp113qSf
— Frontières (@Frontieresmedia) February 12, 2025
Crédit photo : DR
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3 réponses à “Soutenir le journal Frontières, c’est défendre la liberté de la presse face à la tyrannie judiciaire”
Darmanin ce sinistre dit de droiche qui ne s’attaque qu’à ceux qui ne détruisent pas, ne cassent pas. Quel singe, honte à lui. Un jour j’espère que tous ces fieffés salops de ces gouvernements se retrouveront devant les tribunaux et à la case prison, ils ne méritent que ça darmalin en tête
Darma – nain est un cheval de Troie mis en place chez les républicain par la gauche , c’est un traitre a la France ; il ni y a qu’a voir sont action quand il était place Beauvau , elle était dirigé en permanence contre les mouvements d’extrême droite et rien contre l’extreme gauche qui en a profiter pour proliférer contre des cancrelats.
La liberté d’opinion est lentement en train de disparaitre en France sous les coups de boutoir de plus en plus fort de la gauche et extrême gauche qui rêve de mettre place un système politique de type Chine , Corée du nord.
Il fait bon d’être directeur d’une association, ça paye. « À moi le fric ! Ce sont les couillons de payants qui payent avec leurs impôts ! »