Les gauchistes saluent « l’auto-organisation des Sans Papiers », les observateurs avertis y verront un camouflet : selon nos informations, à Rennes, les migrants plus ou moins clandestins qui occupent le gymnase Félix-Masson depuis le 28 novembre dernier ont fait savoir aux associations immigrationnistes, en premier lieu le CSPSP 35, que les réunions internes au squatt pouvaient très bien se tenir sans elles ! Visiblement, les migrants n’ont pas plus de respect pour les gauchistes à cheveux bleus qui se battent pour leur servir de larbins que pour la population bretonne et française en général. Peut-être sont-ils tout simplement fatigués de leur charabia woke auquel ces populations venues de pays aux moeurs totalement différents ne sont pas accoutumées.
De leurs côtés, les clubs sportifs habituées des lieux sont furieuses car elles ne peuvent plus utiliser le complexe sportif du fait de la présence des immigrés.
La municipalité rennaise ne semble cependant pas pressée d’en finir avec ce squat illégal puisque le lundi 3 février, trois migrants ont pris la parole au conseil municipal de Rennes pour « alerter sur leurs conditions de vie dans le gymnase ».
Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
2 réponses à “A Rennes, les migrants ne veulent plus de la présence des associations immigrationistes !”
Il faut réquisitionner les hôtels pour les y placer, et pas les moindres que ne suffisent pas pour un accueil décent de ces pauvres é-choux-hés venus nous offrir les richesses immenses qu’il détiennent. La mairesse ne saisit-elle pas cette, ces chances à saisir en les laissant dans un gymnase puant la sueur, le pet, les relents de chiottes et de la malbouffe. Honte à elle !
J espère que tous ces gens qui prônent l’accueil de l’autre logent au moins un de ces pauvres bougres, voir , plus , si l’habitation le permet ou s’ils ont des résidences secondaires. Ca aurait de la gueule de mettre ses actes en accord avec ses idées.