Universités prises en otage par la gauche : chaos et impunité à Rennes et Nantes

Les blocages et les dégradations continuent de paralyser les universités de Rennes et de Nantes, où une minorité d’étudiants impose sa loi par la force. Les campus se transforment en zones de non-droit, laissant des milliers d’étudiants privés de cours, tandis que les présidences universitaires restent spectaculairement silencieuses face à cette anarchie organisée.

Rennes 2 : un campus dévasté et fermé jusqu’à nouvel ordre

L’Université Rennes 2 a officiellement suspendu ses activités sur site jusqu’au vendredi 7 février inclus en raison des dégâts considérables causés par les bloqueurs. Selon la direction, « la remise en état des bâtiments va nécessiter plusieurs semaines de travaux », une situation qui pénalise les étudiants et engendrera des coûts colossaux pour les contribuables.

Tags politiques, mobilier saccagé, matériel volé, l’ampleur des destructions est édifiante. Selon plusieurs témoignages, des projecteurs et du matériel informatique ont disparu, tandis que les amphithéâtres ont été couverts de slogans appelant à la révolution ou à la lutte contre la police. Certains comparent l’état actuel de l’université à celui d’un squat, une impression confirmée par Yvenn Le Coz, délégué de l’UNI : « La présidence de Rennes 2 n’a jamais sanctionné aucun des étudiants bloqueurs ni ceux qui ont détruit l’université. Résultat, ils se sentent tout-puissants et peuvent continuer à le faire en toute impunité. »

Ce n’est pas la première fois, c’est même une habitude, que Rennes 2, bastion traditionnel de l’extrême gauche universitaire, se retrouve paralysée par une minorité bruyante au mépris des milliers d’étudiants qui souhaitent simplement poursuivre leurs études. Aujourd’hui encore, ils sont les principales victimes de ce chaos organisé.

Nantes : une contagion inquiétante du désordre

Le blocage s’est également propagé à l’Université de Nantes, où le campus Tertre a été paralysé par des manifestants issus de l’AG antifasciste de Nantes, de l’Union Pirate et de Solidaires Étudiants. Selon un communiqué de l’UNI Nantes, ces groupuscules cherchent à étendre le mouvement lancé à Rennes 2, multipliant blocages et dégradations qui coûteront une fortune aux contribuables et pénaliseront encore davantage les étudiants. « Une minorité veut imposer sa vision sectaire par la force et la menace. Ceux qui souhaitent simplement suivre leurs cours sont pris en otage, tandis que l’université laisse prospérer un climat de peur et de chaos », dénonce l’UNI Nantes.

Là encore, la direction de l’université – marquée il est vrai politiquement – est accusée de passivité. Aucune sanction ferme n’a été annoncée contre les auteurs de ces blocages, laissant ainsi la porte ouverte à une réédition de ces actions coercitives dans les semaines à venir.

À Rennes comme à Nantes, la stratégie est toujours la même : sous prétexte de lutter contre la précarité et les coupes budgétaires, une minorité militante impose sa loi par la force. Pourtant, si l’objectif était réellement d’améliorer les conditions d’études, comment expliquer les destructions massives, le vol de matériel, et la privation de cours pour des milliers d’étudiants ?

Le coût de ces exactions sera une fois de plus supporté par les contribuables, tandis que les manifestants, eux, ne subiront aucune conséquence. L’impunité totale accordée par les présidences universitaires alimente ce climat de radicalisation et de violence, où la contestation se transforme en saccage gratuit.

De son côté, l’UNI Nantes exige des mesures fermes pour mettre fin à ces blocages et rétablir l’ordre. Le syndicat réclame la fin de la complaisance des présidences universitaires afin de ne pas trahir la mission première de l’université : garantir à chaque étudiant le droit d’étudier librement .

Crédit photo : DR

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6 réponses à “Universités prises en otage par la gauche : chaos et impunité à Rennes et Nantes”

  1. anonyme dit :

    François Bayrou, un Français vous parle.
    Vous, le Gascon devenu premier ministre, qui avez réussi à doter l’ Etat d’un budget une tâche difficile vous attend.
    L’ Etat français vous a permis d’avoir l’honneur de devenir professeur agrégé de lettres classiques et à vos enfants de faire de brillantes études supérieures.
    Offrirez-vous aux générations de vos petits-enfants et arrière-petits enfants les mêmes conditions que celles qui ont été les vôtres lors de vos études ?
    Tolérerez-vous que, à l’Université de Rennes 2 et ailleurs, la dictature imposée par quelques médiocres violents qui n’ont d’étudiants que la carte perdure ?
    L’adversité est révélatrice, agissez et devenez un homme d’ Etat dont les Français pourront se montrer fiers.

    Pour vous détendre : Jean Yanne et Lawrence Riesner « Le permis de conduire ».1967
    Europe 1 Geoffrey Branger 7h55 le 6 février 2025.

  2. loic ruello dit :

    bayrou ? réagir ? ce gros con a pleuré uniquement pour avoir son poste le reste il n’en a rien a foutre , il demandera éventuellement a son ministre de l’éducation et encore ce n’est meme pas sur 😆

  3. Prétet Yvette dit :

    Les Gauchistes invectivent ceux qui ne pensent pas comme eux et les traitent de  »fascistes » en agitant des drapeaux de la Palestine!…Aux prochaines élections il faudra faire  »un Front Républicain » non contre le RN. mais contre LFI!…Les musulmans que les Gauchistes soutiennent sont responsables de 120 attaques au couteau par jour (selon Le Figaro)….Selon le service statistique du Ministère de l’Intérieur: le nombre des agressions a été multiplié par 7 en 30 ans: il y avait 40.000 agressions en 1988,il y a eu 291760 agressions en 2024!…Quand le nombre de musulmans augmente en France celui des agressions augmente aussi!..

  4. Raymond Neveu dit :

    La première estimation du montant des dégâts donnait 300.000 €, puisqu’ils nous rappellent la Commune eh bien il nous faut un nouveau général Galliffet pour résoudre le problème de cette nouvelle Commune.

  5. Brun dit :

    « Il y a quelque chose de pourri au Royaume de France ». Cet ancien constat a retrouvé toute son actualité dans au moins deux domaines : la justice et l’université. Mais que peut faire le citoyen ordinaire pour y remédier ?

  6. kaélig dit :

    Je suis certain que des mecs décidés, même à un contre 3 mettraient une raclée à ses branleurs habitués à chasser en meute comme les racailles;
    Finalement, j’ai bien fait de claquer la G… avec mon gauche ultra rapide jusqu’en 1992 à des élèves, même majeurs, récalcitrants…Bon, je sais, c’était interdit, mais que voulez-vous, j’ai été dressé comme celà, même à l’école des curés.

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