Bienvenue dans la nouvelle dystopie verte, où chaque déchet sera compté, pesé, facturé. En 2025, les poubelles à puces deviendront obligatoires pour 25 millions de Français. La promesse ? Une meilleure gestion des déchets. La réalité ? Une nouvelle taxe, une surveillance accrue et un pas de plus vers la soumission totale à la religion climatique.
Le citoyen, autrefois maître chez lui, se retrouve désormais sous contrôle permanent. À chaque levée de poubelle, une puce RFID enregistre la fréquence, la quantité, l’identité. La sanction est immédiate : trop de déchets, et l’addition grimpe. Un quota de 18 collectes par an est imposé, chaque levée supplémentaire taxée. Dépassez 27 passages et l’amende explose. On taxe tout, on surveille tout, on punira toujours plus.
Les pseudo-écologistes avancent masqués, prétendant réduire la pollution. En réalité, ils transforment notre quotidien en un enfer bureaucratique. Ils rêvent de Taxe carbone, d’interdiction de rouler, d’interdiction de chauffer, d’interdiction de manger de la viande… Et maintenant, l’interdiction de jeter librement ses ordures. Chaque Français est sommé de plier devant les dogmes absurdes d’une secte verte, aussi fanatique que totalitaire.
La réaction ne s’est pas fait attendre. Les dépôts sauvages se multiplient. Excédés, dans des endroits où se processus a été testé, des citoyens refusent de payer cette énième dîme et balancent leurs ordures dans la nature, sur les routes, dans les champs. Et finalement, la pollution est pire. Et rapidement, le pays pourrait devenir une décharge à ciel ouvert, paradoxe ultime de cette écologie punitive. Ce n’est qu’un début. Les villes connaîtront bientôt des grèves sauvages des ordures ménagères, une anarchie à la hauteur de l’absurdité du système. Car les citoyens auront raison de ne pas accepter de se plier à ces tyrans, ces mangeurs de quinoa, ces prêtres de la religion écologique obligatoire.
Il n’y a que deux types de citoyens face à cette tyrannie verte : ceux qui obéissent, et ceux qui refusent. Les premiers, dociles, ont déjà accepté de porter des masques en pleine campagne, de masquer leurs enfznts, de se piquer sans réfléchir, de ne jamais répondre en cas d’agression. Ce sont les esclaves modernes du gauchisme, dressés à courber l’échine devant chaque nouvelle contrainte. Les autres, encore libres, voient clair dans cette entreprise de domestication.
Nous ne sommes pas des chiens que l’on dresse à coups de taxes et de menaces. Nous ne sommes pas des robots programmés pour obéir à une caste déconnectée de la réalité. Face à l’écologie punitive, face à ce dressage collectiviste, il est temps de se lever. Ce système ne tient que par la soumission volontaire. Qu’adviendra-t-il lorsque les Français cesseront de payer, de respecter, d’accepter ? Lorsque les poubelles ne seront plus vidées, que les rues deviendront des dépotoirs, que la ville sentira la révolte ?
La grève des ordures arrivera c’est certain. Et elle ne s’arrêtera pas tant que nous n’aurons pas renvoyé cette secte écologiste dans les poubelles de l’Histoire.
Julien Dir
Crédit photo : Image générée par l’IA
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6 réponses à “Poubelles à puces. Vers une grève des ordures ménagères ? [L’Agora]”
Un bon article de Julien Dir qui nous démontre de quoi est fait demain si on se laisse faire. Et comme d’hab, la menace nous vient de cette Gauche qui n’est autre que cette « Secte Verte de l’écologie obligatoire »
De quelles poubelles s’agit-il?
S’il s’agit du non recyclable il y a encore beaucoup trop d’usagers qui mélangent et jettent cartons, plastiques dans le non recyclable. Alors Oui ceux là il faut les pénaliser pour qu’ils trient eux aussi car ils font monter les coûts de tous!
Mais en revanche, pour ceux qui trient correctement il faut alléger leurs charges en mesurant aussi leur taux de tri et en calculant des allègements proportionnels.
Ami,bravo !
C’est un pas de plus vers l’esclavage, une taxe de plus acceptée par la majorité des imbéciles autruches qui préfèrent, par confort, laisser faire plutôt que de réagir.
Pour pucer nos poubelles ils nous ont dit :
– « on les puces maintenant mais ce n’est pas pour maintenant, c’est pour l’année prochaine que cela entrera en vigueur »
– « Ah bien d’accord, si c’est pour plus tard, ce n’est pas grave ! »
Et la majorité a accepter sans regarder plus loin que le bout de sont nez : bande d’idiots !
Nous sommes peu à avoir résisté et désormais, les déchèteries sauvages commencent à ré-apparaitre.
Grâce à ce soit-disant progrès nous sommes retourné aux années cinquante… et ce n’est pas fini !
Bien vu, bien dit. Bémol : la révolte des Français ne constitue pas aujourd’hui la réaction la plus certaine, les tests de soumission des années récentes se sont révélés positifs pour le Gauchintern.
Ce » modernisme vert » taxant toujours et encore au prétexte du bien entraine déjà des dépôts sauvages, même en plein centre ville, et avec les grèves, le pays va continuer sa tiers mondialisation et ressemblera à certaines contrées africaines pauvres….L’élégance, le beau, la politesse, le respect du bien public sont devenus des symboles d’extrême droite et l’égalité devant le désastre français nous attend !