L’Allemagne assiste à un séisme politique : pour la première fois, la droite conservatrice de la CDU a voté, au Bundestag, aux côtés de l’AfD en faveur d’un durcissement de la politique migratoire. Cette alliance de circonstance brise le fameux « cordon sanitaire » que les élites allemandes et européennes s’efforçaient, sous le terrorisme intellectuel et moral gauchiste et communiste, de maintenir pour isoler l’Alternative für Deutschland (AfD). Pourtant, dans un contexte marqué par une criminalité étrangère galopante et une pression migratoire incontrôlée, ce vote marque surtout le réveil d’une partie de la classe politique face à une population de plus en plus excédée.
Un texte symbolique, un message politique fort
Mercredi 29 janvier, la CDU et l’AfD ont voté ensemble deux motions parlementaires non contraignantes visant à renforcer les contrôles aux frontières et à expulser plus rapidement les clandestins. Bien que ces résolutions n’aient pas de force légale, leur adoption envoie un signal clair : une partie de la classe politique allemande commence enfin à prendre acte du ras-le-bol populaire face aux dérives migratoires.
L’émotion suscitée par l’attaque au couteau perpétrée le 22 janvier à Aschaffenburg par un Afghan en situation irrégulière, qui a coûté la vie à un enfant de deux ans, a accéléré cette prise de conscience. L’agresseur, censé être expulsé depuis des mois, est devenu le symbole d’un système migratoire défaillant et d’un laxisme institutionnel qui coûte des vies.
La CDU sous le feu des critiques, mais en phase avec l’opinion publique
Cette prise de position n’a pas manqué de faire réagir le chancelier social-démocrate Olaf Scholz, qui a qualifié cette alliance de « faute impardonnable ». Pour lui, il est inconcevable qu’un parti démocratique puisse collaborer, même indirectement, avec l’AfD. Le chef du gouvernement, soutenu par la presse bien-pensante et les milieux eurocrates, tente de faire de ce vote un scandale moral, évoquant même la mémoire de la Seconde Guerre mondiale pour discréditer ses adversaires.
Mais la réalité est tout autre : la CDU, sous la pression de sa base électorale, se devait de réagir. Les Allemands en ont assez des politiques migratoires laxistes qui transforment leurs villes en zones de non-droit. Les enquêtes d’opinion montrent que la majorité des citoyens souhaitent un durcissement des lois sur l’immigration. Friedrich Merz, président de la CDU, l’a bien compris et s’efforce de se démarquer de la politique pro-migrants de Scholz et des Verts.
Le rejet des frontières ouvertes et des politiques d’asile incontrôlées n’est plus une revendication marginale. L’AfD, qui monte en puissance dans les sondages, est devenue un acteur incontournable du débat public. Face à cette dynamique, la CDU est confrontée à un choix stratégique : rester enfermée dans le politiquement correct et risquer une déroute électorale ou adopter une ligne plus ferme sur l’immigration pour répondre aux attentes du peuple.
Alors que les élections législatives allemandes approchent (23 février), ce vote pourrait bien marquer une rupture décisive. L’opposition entre une élite dirigeante arc-boutée sur des principes idéologiques et une partie de la droite conservatrice qui commence à écouter les inquiétudes populaires est désormais évidente.
Vers une recomposition politique en Allemagne ?
Ce qui s’est passé au Bundestag pourrait être le premier pas vers un réalignement politique en Allemagne. À l’image de ce qui s’observe en Italie ou en Europe centrale, une droite plus assumée pourrait émerger, refusant de se laisser dicter sa conduite par les diktats de la gauche morale et des institutions supranationales.
Si la CDU persiste dans cette voie, elle pourrait redevenir une force politique capable de séduire les électeurs exaspérés par les conséquences de l’immigration massive. À l’inverse, si elle cède aux pressions médiatiques et renie ce rapprochement de facto avec l’AfD, elle risque de se vider de sa substance au profit de la droite nationale.
L’Allemagne, longtemps figée dans une torpeur morale et dans une haine de soi héritée de l’après-guerre, pourrait être en train d’entrer dans une nouvelle ère politique. Une ère où l’intérêt des citoyens allemands passera enfin avant les dogmes idéologiques et les injonctions bruxelloises.
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8 réponses à “Allemagne : la CDU brise le tabou instauré par la terreur gauchiste et s’allie à l’AfD sur l’immigration”
La semaine dernière un militant du cdu a été assassiné sans raison par un infirmier nigérien venu en 2016.
Il fallait voir hier olaf Scholt sur un extrait TV , furax sur cette accord signé.
On aurait cru le petit moustachu vociférant en 1936
Bravo à eux, mais attention La Hyène de Bruxelles a choisi une estonienne » KAJA KALLAS » pire que la Hyène ! et toujours non élue !!! avec un nombre d’habitants de un million 300 000 ! elle veut la disparition de la Russie !! à regarder de très près
la racaille a Bruxelles essaiera de faire annuler une election de l’afd sans surprise maintenant
Les Allemands, deviendraient-ils intelligents ?…
Attention quand même ! La Hyène n’étant pas encore rentrée dans sa niche !…
Kaja Kallas est l’ancienne P.M. de l’Estonie, elle-même fille d’un ancien P.M. Un de ses arrière-grand-père, sa grand-mère et sa mère, quand l’Estonie a été envahie par la Russie, ont été déportés au goulag. Vous voudriez qu’elle aspire à ce que le goulag soit généralié à l’Europe entière par ce farceur de Vlad ?
Ah j’avais cru lire Maria CALLAS…laquelle chantait tout de même mieux. Mais les Français ont des talents
insoupçonnés souvenons-nous du duc d’Enghien enlevé en Pays de Bade, du colonel Argoud enlevé à Munich et de tous ceux ceux qui sont discrètement occis alors…Von Layen et consorts on sait faire.
Il y a longtemps que nous avons en France la droite la plus bête du monde. Cependant, voilà qu’elle va être rejointe – avec le même succès probablement – par M. Scholz. De profundis. Au suivant ! Mme Van der Leyen avec un peu de chance ?
Et pendant ce temps-là nos chèvres nationales continuent à courir après une respectabilité qui les fuit comme un mirage dans le désert et qui ne leur vaudra qu’un coup de poignard dans le dos le moment venu … Elles ne l’auront peut-être pas volé !