Régis le Sommier ( Qui est le Diable ?) : « Mon message est de montrer que le monde a plusieurs faces » [Interview]

Dans un monde où les notions de bien et de mal sont de plus en plus questionnées, le journaliste et reporter de guerre Régis Le Sommier publie un livre qui promet de remuer les consciences et de revisiter l’une des figures les plus emblématiques du mal : le diable. Intitulé « Qui est le diable ? L’autre ou l’Occident ?« , cet essai, publié aux éditions Max Milo, sorti le 16 janvier 2025 et invite à une réflexion profonde sur la nature de l’ennemi dans le contexte géopolitique contemporain.

Régis Le Sommier, avec une carrière de 27 ans comme grand reporter de guerre pour Paris Match, apporte une perspective unique à ce sujet. Ayant couvert des conflits partout dans le monde, de l’Irak à l’Ukraine, son expérience lui permet de décrypter comment la figure du diable a été utilisée comme un outil de propagande et de manipulation dans les guerres et les relations internationales. Dans son livre, il se propose de dénoncer la « communication de guerre » qui a souvent remplacé le journalisme d’investigation sur le terrain, soulignant ainsi l’importance de la vérité brute face aux narratifs construits par les puissants.

Le diable : un concept revisité

Le Sommier s’interroge sur la façon dont le diable, ou l’ennemi, est désigné et redéfini selon les besoins politiques et sociaux. Il explore comment, à travers l’histoire, des figures comme Saddam Hussein, Mouammar Kadhafi, ou plus récemment Vladimir Poutine et le Hamas, ont été diabolisées ou au contraire, considérées comme des alliés selon les circonstances. Cette dualité est au cœur de son analyse, où il propose que les actions menées « au nom du bien » par l’Occident pourraient bien être remises en question, surtout quand elles mènent à des conséquences désastreuses.

L’auteur ne se contente pas de revisiter le passé; il jette aussi un regard critique sur le présent, notamment sur la manière dont l’Occident a traité ses « diables » contemporains. Le Sommier met en lumière des moments où les politiques occidentales ont pactisé avec des régimes ou des groupes qu’elles ont ensuite dénoncés, soulignant l’hypocrisie et les contradictions de cette approche. Son livre pose la question : « les conséquences délétères d’une géopolitique menée ‘au nom du bien’ ne devraient-elles pas nous amener à douter du bien-fondé des actions que mènent nos gouvernants ? »

Déjà, le livre fait parler de lui, se classant parmi les meilleures ventes en politique française et géopolitique sur des plateformes comme Amazon.

Pour en parler avec Régis le Sommier, quoi de mieux qu’une interview, entre Bretons !

Breizh-info.com : Votre ouvrage explore la figure du diable dans la conscience collective et les relations internationales. Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire sur ce sujet ?

Régis le Sommier : Je suis parti d’un constat. À travers mes voyages, notamment en Afrique (Barkhane, l’armée française…), j’ai douloureusement observé le recul de l’influence française, notamment au niveau diplomatique. Partout dans le monde émerge une force autour des BRICS, du Sud global, qui porte un message hostile à l’Occident. Un message de remplacement. La plupart de ces pays, qui ont des intérêts différents — y compris entre eux d’ailleurs — constatent la fin de cette présence occidentale.

J’ai voulu essayer de comprendre comment ce processus de désaffection de nos sociétés, vis-à-vis de ce qu’elles représentaient après avoir tant essaimé dans le monde (colonisation, influence culturelle, politique, géopolitique), a pu se produire. Comment l’Occident en est-il arrivé là ? Si j’ai pris la figure du diable, c’est parce qu’elle me paraît pertinente au regard de la chute de l’Union soviétique. À partir de 1991, la mort de notre ennemi nous a privés du diable. Nous avions une façon de penser commode, où l’on pouvait plaquer à l’Est tout ce qui incarnait le mal. Et, par opposition, nous étions le camp de la liberté, le camp du bien. Nous étions le camp de la démocratie, eux celui de la dictature, etc.

Cette structuration binaire de notre pensée était confortable.

Puis, en 1991, les États-Unis deviennent la seule superpuissance. La domination américaine, occidentale (les alliés ne faisant que suivre un mouvement impulsé par Washington), se met en place dans les années 1990-2000. Nous endossons le rôle de police du monde, désignant des diables, qui parfois furent nos alliés (comme Saddam Hussein, Kadhafi, ou El-Assad…). Ces derniers tombent soudainement du « mauvais côté », et là s’installe une narration particulière à chaque conflit. Il devient impossible de contester la pensée dominante. On considère que l’ennemi devient le diable. Même dans le journalisme, il faut s’interdire de déroger à l’action et à la pensée dominantes.

C’est toujours le même processus. Une narration se met en place, avec des propagateurs (politiques, journalistes) qui empêchent toute analyse réelle de la situation..

Breizh-info.com : Est-ce que ce n’est pas un peu paradolal, cette figure du Diable, dans des sociétés occidentales laïcisées, déchristianisées ?Pourquoi pensez-vous que le concept de « diable » est si central dans la géopolitique occidentale ? Pensez-vous que cette idée de « diabolisation » est utilisée pour justifier des guerres ou des interventions géopolitiques moralement discutables ?

Régis le Sommier : Je le dis dès l’introduction. Dieu est mort, comme le disait Nietzsche, chez nous, mais le diable n’a pas perdu sa pertinence. La société nihiliste, laïcisée, désacralisée, continue d’être considérée comme le camp du bien, et le diable reste la figure de tout ce qui s’oppose à cette société. Autant Dieu a disparu, autant le diable est resté utile et très utilisé pour obtenir la narration souhaitée.

Breizh-info.com : Vous abordez des alliances controversées dans l’histoire, des « pactes avec le Diable » comme celles avec Staline ou les Talibans. Etaient-ils inévitables, ou bien uniquement de compromission ?

Régis le Sommier :  Je parle de Staline pour montrer que le diable ne reste pas le diable éternellement. J’évoque aussi l’IRA et son combat. Des groupes terroristes, utilisant parfois les moyens les plus abominables pour faire valoir leurs revendications, peuvent, parce que la situation évolue, sortir du statut de diable et devenir acceptables. Le cas récent le plus significatif, c’est la relation entre les États-Unis et les Talibans. En 2001, on intervient en Afghanistan pour détruire ce régime, car il avait servi de base arrière à Ben Laden et Al-Qaïda. Vingt ans plus tard, face à des circonstances différentes, on rend les clés aux mêmes personnes que l’on était venus combattre.

Il y a une réflexion à mener sur l’usage de la notion de diable. Dès qu’un individu ou un groupe devient le diable, il faut l’éliminer, le pourchasser, l’accabler par tous les moyens, y compris intellectuels. C’est ce qui rend cette figure si dommageable. Ce que je reproche à beaucoup de mes confrères, notamment dans le cadre de la guerre en Ukraine, c’est d’oublier toutes les notions qui s’écartent des notions de Bien et du Mal. C’est pourtant dans les moments de diabolisation que les voix journalistiques devraient se faire entendre. Sur chaque question désormais, il n’est pas possible d’avoir une position intermédiaire, alors que précisément, c’est la mission du journaliste que d’offrir une autre lecture du monde. Mais aujourd’hui, celle ci est jugée suspecte. On ne peut plus rien faire.

Breizh-info.com : Mais n’est-ce pas ça justement qui est diabolique ? Avoir réussi à faire apparaitre qu’il n y avait que le Bien d’un côté, le Mal de l’autre, avec tous les dangers que comporte cette posture morale ? Cela ne rend-il pas impossible tout dialogue, toute réconciliation ?

Régis le Sommier : C’est une pensée définitive en effet. Maintenant, il est quand même intéressant de voir qu’à chaque fois qu’un conflit se déroule dans lequel le Diable a été désigné, il va se passer un temps où on va vite se rendre compte que la lecture proposée et l’évolution vers le bien ne se fait pas. A partir du moment où l’Irak est détruite, idem la Libye, la Syrie reste une dictature pendant 8 ans avant que les djihadistes prennent le pouvoir…on a une réalité qui vient rattraper la fiction qu’on a voulu imprimer. Du coup on peut commencer à dire des choses, à contester la lecture initiale.

Mais au moment où le conflit est décidé, se met en place en Occident immédiatement un processus ultra agressif qui disqualifie tous ceux qui ont une voix dissonante, notamment parmi les journalistes. On le voit pour la guerre en Ukraine. Même chose avec la guerre en Irak. A Paris Match, j’étais estomaqué de voir que la plupart de la rédaction était favorable à l’intervention américaine en Irak. On était favorable à la lecture, à la narration imprimée par les USA. C’est là où cette figure du Diable est à double tranchant : elle désigne l’adversaire extérieure, mais à l’intérieur elle étouffe toute voix dissidente, critique qui normalement devrait être entendue et étudiée. On devrait pouvoir comprendre l’autre camp. En disant « Poutine est le mal » sur la guerre en Ukraine, ça devient facile. On parle de survivance des soviétiques, du système communiste autrefois convaincu. On ne peut même pas expliquer que les accords de Minsk n’ont jamais été appliqués, on ne peut pas parler de la révolte des séparatistes dans le Donbass, que le conflit a plutôt démarré en 20214 qu’en 2022. Au début du conflit on ne pouvait pas évoquer cela. Maintenant que l’Ukraine n’a pas gagné et que la Russie n’a pas été terrassée, on le peut.

Breizh-info.com : Vous êtes vous-même journaliste de guerre et avez rencontré des figures dites « infréquentables ». Comment la proximité avec ces personnalités vous a-t-elle permis de déconstruire la notion de « diable » ? Est-ce que sur le terrain vous avez trouvé cette même autocensure chez les journalistes, reporters de guerre ? Ou bien est-ce exclusif aux salons parisiens ?

Régis le Sommier : Des grands reporters de presse britanniques avec l’esprit critique, la charte de Munich chevillée au corps, ont toujours tenté de voir si ce qu’on leur donnait à digérer était vraiment la réalité. Il y a eu ce genre de journalistes. Aujourd’hui malheureusement, le système profite de la précarisation de notre métier. Pour continuer à pouvoir couvrir un conflit, ou simplement être envoyés sur le terrain, certains sont prêts à manger leur chapeau. Sinon ils ne sont plus envoyés.

La diminution de la force du journalisme aujourd’hui fait que les gens s’alignent, car il faut manger. On est dans un étau. On ne veut plus contrer les vérités officielles. Cette ère des grands journalistes qui allaient contre la pensée globale est révolue. Même si le monde des médias alternatifs a été fondé face au mainstream, lié à des intérêts politiques et économiques précis.

Breizh-info.com : Comment expliquez-vous la capacité à recycler, à fabriquer en permanence des nouveaux « Diables » ? On est passé en quelques années de l’Etat Islamique à Poutine, puis au Hamas. Il n y a plus le moindre discernement y compris sur les plateaux TV journalistiques sur certains sujets…Comme si il fallait nourrir quelque chose

Régis le Sommier : Il faut nourrir une narration. Il faut donc des « porte-paroles » de cette narration. Aujourd’hui, le journalisme d’opinion, de plateau, est plus important que le journalisme de terrain. Certains médias mainstream n’acceptent l’évolution du monde qu’à travers un champ permis.

Exemple : en Syrie, ce qui vient de se passer avec la chute de Bachar el Assad est révélateur. Vous avez 1500 journalistes qui déferlent sur le pays, qui ouvrent les vannes pour montrer légitimement les horreurs de Bachar. Mais ce moment important est là pour montrer qu’on a fait tomber un pion de Poutine, un valet de l’Iran. Mais ensuite, ce qui est en train de se passer, c’est à dire l’épuration des alaouites, les persécutions sur les chrétiens, plus personne n’en parle.

Ce qui se passe après la chute du dictateur dans le pays n’a plus aucun intérêt dans la narration occidentale. On est en train de commémorer les vagues d’attentats islamistes sur le sol français. Charlie Hebdo c’était Al Quaïda, mais le Bataclan, c’est bien l’Etat Islamique. On va commémorer en France en novembre les attentats alors que le type qui a remplacé Bachar el Assad est un des fondateurs de cette organisation.

Mais il ne faudrait pas avoir cette réflexion car elle serait en contradiction avec l’image que l’Occident veut impulser, imprimer dans la marche du Monde ? On utilise la notion de Diable contre Bachar el Assad, l’Iran, Poutine, tout en mettant au pouvoir des gens qui sont réellement diaboliques…

Breizh-info.com : Quid du côté des diabolisés ? Hormis l’Islamisme, qui a toujours voulu en découdre avec l’Occident, est-ce que l’Occident est vu comme le Diable par les Hussein, les Poutine, les Kadafi ? Est-ce que les mêmes méthodes sont appliquées par ces régimes, par leurs journalistes ? Ou bien y a t-il un autre rapport à l’Occident  ?

Régis le Sommier : Ce qui est intéressant dans ces personnages, c’est qu’ils n’ont pas toujours été le Diable pour nous et vice-versa. A partir du moment où on les démonise, ils font de même. Saddam Hussein reprend l’étendard du djihad en 2003 pour combattre l’Occident, à partir de l’intervention américaine. Ce sont des postures qu’il n avait pas avant car c’était un dictateur laïc. Kemaliste, dans la tradition nasserienne.

Car avant de devenir le Diable, l’Occident a passé sous silence pendant des années tous ses crimes (contre les Kurdes après la première intervention des USA) hormis quelques pressions et sanctions. Il a été conforté, au contraire, dans le fait qu’il servait de bouclier de protection de l’Occident contre l’Iran.

Kadhafi c’était la même chose (bien qu’il ait financé des mouvements terroristes). La stabilité qu’il apportait à ce nord de l’Afrique faisait que pour nous, occidentaux, c’était presque un rempart. La frontière sud de l’Europe du point de vue migratoire. On a vu ce qu’il est advenu depuis sa chute. Lampedusa, les vagues migratoires incessantes depuis l’Afrique…Quand on a plus gardiens, on en paie les conséquences.

Ils ont été nos alliés sans nous voir comme le mal. Tout à coup, Hussein devient le nouvel Hitler. Et les USA ont provoqué la chute du dictateur sans penser à ce qu’ils allaient mettre à la place. La conséquence fût Daech. On désigne des Diables, on finance leurs ennemis, mais finalement, on provoque d’autres phénomènes, une contamination du djihadisme partout dans le monde surtout dans ces pays là.

Finalement, désigner le Diable et le combattre n’est-il pas pire finalement que le Diable lui même et que la situation d’avant ? Dans toutes les situations, nous avons été incapables de répondre à nos préceptes de départ : amener la démocratie, la liberté, à ses peuples là. Toutes ces interventions ont été vendues avec la promesse d’un monde meilleur. Au final, ça ne s’est pas matérialisé, et la situation dans ces pays est pire qu’elle ne l’était au départ.

Breizh-info.com : Enfin, en tant que directeur d’Omerta, comment envisagez-vous votre rôle dans le paysage médiatique face à ces enjeux de diabolisation et de manipulation des récits ?

Régis le Sommier : Mon message est de montrer que le monde a plusieurs faces. Oui, il y a l’Occident, notre façon de voir les choses. Mais que les autres pays ont aussi des conceptions différentes. D’autres réalités aussi, que j’ai tenté de montrer en allant côté syrien, côte russe. Surtout dans la mesure où 90% du temps, on montre uniquement ce qu’il se passe du côté « du camp du bien » (cf la guerre en Ukraine). Ma mission est de montrer l’autre côté du monde.

Mais mon message n’est pas de dire que c’est mieux chez les Russes, que Poutine a raison, etc. Je n’encourage absolument pas le lecteur ou le grand public d’Omerta, à penser de cette façon. J’essaie de leur ouvrir les yeux. Sur le fait qu’aujoud’hui l’Occident est contesté dans le monde entier, et que les raisons de cette contestation,  c’est peut être qu’on est pas capable de comprendre ce que veulent les autres, d’imaginer qu’ils vivent dans un autre monde qui n’est ni meilleur, ni pire que le nôtre. Que ce n’est pas parce qu’ils ne sont pas en Occident qu’ils n’ont pas toutes les libertés. Certes, certains vivent sous dictature, sous régimes oppressifs, mais il faut surtout essayer de comprendre pourquoi l’Occident est arrive à un degré de détestation pareil.

Le fil de ce livre, c’est d’arriver à comprendre pourquoi on est dans un monde dans lequel on a passé notre temps. Un monde nouveau est en train de se créer. Gramsci disait : « Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres ». Des gens comme Trump, comme Poutine, sont-ils l’expression d’un nouveau monde, ou bien les mondes qui jaillissent dans ce clair obscur ? Que sera l’avenir ? Nous sommes dans une époque de transition. Si on veut que l’avenir se fasse avec l’occident, avec notre façon de penser, avec notre civilisation, il va falloir qu’on se repense par rapport aux autres, et arrêter de les regarder positivement ou négativement. Que l’on arrête avec la moraline, qui est quasiment une maladie. Les intellectuels et observateurs dans ce pays doivent recevoir une claque, pour arrêter de voir le monde uniquement sous le prisme occidental.

Breizh-info.com : Une petite partie, quelques pages de votre livre, sont consacrées à Gerry Adams. Que vient-il faire parmi les « diables » entre Kadhafi, Staline, et autres ?

Régis le Sommier : L’IRA a connu ses périodes noires, a mené des campagnes d’attentats abjectes en Irlande du Nord, au Royaume-Uni. Je voulais montrer que du Diable, on pouvait devenir respectable, puisque le Sinn Féin a aujourd’hui conquis la direction de l’Irlande du Nord. C’est incroyable quand on repense à la période des années 70. On peut être le Diable à un moment, ne plus l’être à un autre. En fonction des époques et des intérêts, tout peut changer.

Pour Staline ce fût pareil, au départ c’était le diable bolchevique, puis arrive Hitler, et Staline va devenir notre allié. Avant de redevenir le Diable une fois la guerre froide débutée.

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

Cet article vous a plu, intrigué, ou révolté ?

PARTAGEZ L'ARTICLE POUR SOUTENIR BREIZH INFO

3 réponses à “Régis le Sommier ( Qui est le Diable ?) : « Mon message est de montrer que le monde a plusieurs faces » [Interview]”

  1. Jotglars66 dit :

    En France, c’est très simple, tous les gauchos à la vue basse ont inventé un diable c’est l’extrême droite remplie de fascisme ! Pas les terroristes, pas les criminels étrangers en OQTF, pas les envahisseurs illégaux, juste les fascistes et racistes français qui ne votent pas extrême gauche !

  2. aliennor dit :

    je ne crois ni en dieu ni en daible, mais oui, il y a hélàs le bien et le mal, et je dois reconnapitre que dans l’espèce humains, le mal est dominant

  3. patphil dit :

    faqueniouze puisque tout le monde sait que c’est poutine le super diable

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

ARTICLES EN LIEN OU SIMILAIRES

A La Une, International, Religion

Samer Sleaby : « Les chrétiens de Syrie ont besoin de protecteurs internationaux » [Interview]

Découvrir l'article

International

L’arrêt du transit du gaz russe par l’Ukraine : une facture énergétique explosive pour l’Europe

Découvrir l'article

Sociétal

Mayotte : Omerta sur le chaos migratoire – Le Nouvel I-Média

Découvrir l'article

A La Une, International

Eiad Herera : « Des pressions diplomatiques devraient être exercées sur toutes les parties en Syrie pour qu’elles protègent les chrétiens » [Interview]

Découvrir l'article

A La Une, International

« Les chrétiens de Syrie ont besoin d’une aide urgente »

Découvrir l'article

International

Syrie. Les djihadistes au pouvoir ?

Découvrir l'article

Tribune libre

Jean-Eudes Gannat : « Regardez bien la Syrie, jeunes Français et tenez-vous prêts : son présent est votre avenir »

Découvrir l'article

International

Les Syriens d’Europe qui se réjouissent de la chute de Bachar El-Assad vont-ils (enfin) rentrer chez eux ?

Découvrir l'article

International

Donald Trump : un programme sans compromis pour un second mandat

Découvrir l'article

Sociétal

Une troisième guerre mondiale est-elle envisageable ? Micro-trottoir de Vincent Lapierre (Le Média pour tous)

Découvrir l'article

PARTICIPEZ AU COMBAT POUR LA RÉINFORMATION !

Faites un don et soutenez la diversité journalistique.

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur Breizh Info. Si vous continuez à utiliser le site, nous supposerons que vous êtes d'accord.

Clicky