Les sinistres climatiques à répétition et l’augmentation des risques (et notamment les émeutes urbaines) ont poussé certaines compagnies d’assurance à revoir leur politique vis-à-vis des collectivités locales. En France, plus de 1 500 communes (+ 50 % par rapport à l’année dernière) se retrouvent aujourd’hui dans l’incapacité de souscrire à une assurance pour protéger leurs biens et leurs infrastructures. Une situation inédite et préoccupante.
Des hausses tarifaires exponentielles
Depuis quelques années, les communes françaises font face à une augmentation spectaculaire des primes d’assurance. Selon les données de l’Association des Maires de France (AMF), les primes d’assurance des collectivités ont augmenté de 90 % entre 2018 et 2024. Cette hausse atteint même 147 % pour l’assurance des dommages aux biens, un poste crucial pour les collectivités.
Pour de nombreuses communes, ces augmentations sont devenues insoutenables. Certaines ont vu leur facture annuelle multipliée par deux ou trois, créant des tensions budgétaires inédites. Les petites municipalités, déjà confrontées à des ressources limitées, peinent particulièrement à faire face à ces nouvelles charges, ce qui les pousse parfois à renoncer à certaines garanties essentielles.
L’impact des émeutes urbaines de 2023
Les émeutes urbaines de l’été 2023 ont joué un rôle non négligeable dans cette crise. Les dégâts causés lors de ces événements, qu’il s’agisse de bâtiments publics incendiés ou de mobiliers urbains détruits, ont engendré des coûts colossaux pour les communes. Selon plusieurs maires, ces sinistres ont été un déclencheur majeur pour la flambée des tarifs d’assurance.
Les assureurs, justifiant ces hausses par la recrudescence des risques, n’hésitent pas à appliquer des tarifs exorbitants ou à se désengager totalement de certaines collectivités. Pour un certain nombre de municipalités touchées par les émeutes, le coût de reconstruction ou de réparation des infrastructures est souvent resté à leur charge, en l’absence de couverture adéquate.
Des conséquences sur les budgets locaux
Cette crise de l’assurance impacte directement les finances locales. Les communes doivent arbitrer entre couvrir leurs risques ou investir dans des projets structurants. Nombreuses sont celles qui choisissent de réduire leur niveau de couverture, prenant ainsi le risque de ne pas pouvoir faire face à d’éventuels sinistres majeurs.
Les élus locaux, désemparés, dénoncent une situation qui les place dans une impasse. L’AMF appelle à une action urgente, notamment la création d’un fonds de solidarité national ou d’une régulation des pratiques des compagnies d’assurance, afin de garantir un accès équitable à l’assurance pour toutes les collectivités.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
6 réponses à “1 500 communes françaises désormais sans assurance : les émeutes responsables de la hausse des tarifs ? [Vidéo]”
Si nos politiques avaient réussi à ce que les casseurs soient les payeurs, on n’en serait pas là !
Si nos »gouvernants » étaient plus sévères envers les »Jeunes » qui font des émeutes…les Français non-musulmans ne verraient pas le montant de leur assurance grimper!.. Ce sont toujours les Français non-musulmans qui doivent payer pour les musulmans qui viennent chez nous pour TOUT CASSER, vendre de la drogue à nos enfants, se faire soigner gratuitement, encombrer nos hôpitaux et profiter de toutes les »aides » distribuées généreusement par nos politicards…Je rappelle qu’Hollande a rendu visite(dans un hôpital) à Théo qui avait été »blessé par un policier » et que des émeutes avaient eu lieu pour protester contre ce soi-disant »acte de racisme » au lieu de rendre visite à nos policiers qui avaient également été blessés!…moi, j’en AI MARRE de ces »présidents de la République française » qui baissent leur froc devant les émeutiers musulmans.
..ces musulmans qui ont chassé TOUS les non-musulmans de leur pays natal et qui insultent »la France » dans leur hymne national!.. Les Français non-musulmans ne sont plus en sécurité dans leur pays!..
Les »Jeunes » non-musulmans ne »font pas DES EMEUTES » à chaque fois qu’un musulman poignarde un non-musulman »innocent » ou égorge un prêtre non-musulman ou fait un attentat afin de tuer des non-musulmans »innocents »,etc..ce qui prouve bien que les musulmans sont moins »civilisés » que les non-musulmans et qu’ils sont encore DES BARBARES!..
Les assureurs ce n’est que la Confrérie des Escrocs, mutuelles incluses on est loin de ces sociétés fraternelles mutualistes composées d’autres armateurs, propriétaires ou notables qui se cotisaient le long de nos côtes de l’Ouest y compris Granville pour assurer un navire armé soit pour le commerce ou pour la Course avec Lettre Patente de Sa Majesté! Ils assuraient volontairement les pertes sans avoir les doigts crochus.
Les compagnies d’assurance mutualisent les risques : les sinistres de chacun des assurés sont indemnisés par les primes de l’ensemble des assurés. Ceux qui courent plus de risques doivent payer plus de cotisations : ceux qui pratiquent un sport dangereux paient plus que ceux qui pratiquent le badminton, etc. Le problème n’est pas d’assurer plus mais de réduire les casseurs, et le premier moyen pour cela devrait être : « qui casse paie ». Ce qui suppose bien sûr d’arrêter et de condamner les casseurs, en faisant appel à la responsabilité légale des parents s’il s’agit de mineurs.
De plus, les casseurs devraient être SOLIDAIRES, collectivement responsables des dégâts dus à un même événement. On en n’attrape qu’un ? Il est responsable de l’ensemble des dommages (sauf à désigner d’autres auteurs, bien sûr, afin de diviser l’addition par deux, trois, etc.). Le récit de casseurs endettés pour leur vie entière circulerait vite et ferait réfléchir.
Les émeutes urbaines ne sont qu’un prélude à des troubles sociaux beaucoup plus graves. « la cohésion social vole en éclats. L’immigration massive imposée n’adhère plus au pays d’accueil » d’après récit « les corps indécents » qui nous éclaire sur notre devenir. L’exil forcé devient une solution envisageable.