Censure de gauche : le poison liberticide qui menace l’Europe tandis que le vent de la liberté souffle aux USA [L’Agora]

La gauche tremble. Depuis l’arrivée de Donald Trump, et l’annonce fracassante des géants comme Google, Facebook ou X de laisser enfin libre cours à la liberté d’expression, la panique s’est emparée de ceux qui, hier encore, imposaient leur diktat moral à coups de censure algorithmique et de financements à des « fact-checkers » serviles. Leur prétexte ? Protéger les Européens. Leur objectif réel ? Maintenir l’ordre idéologique qu’ils ont instauré : une tyrannie intellectuelle où la vérité n’a de valeur que si elle sert leurs intérêts.

Le poison de la répression judiciaire

Regardons l’Allemagne : son Premier ministre ose déclarer que la liberté d’expression doit être totale, « sauf pour l’extrême droite ». Voilà résumé tout le projet de la gauche contemporaine : un simulacre de liberté réservé à ceux qui pensent comme eux. La France, hélas, n’est guère différente.

Depuis des décennies, nos tribunaux sont devenus les lieux où se jugent non pas des crimes, mais des idées. Les lois Pleven, Fabius, Gayssot, Taubira ont érigé le délit d’opinion en système. Elles transforment la justice en tribunal idéologique, distribuant des condamnations à la chaîne pour des « incitations à la haine » aussi floues qu’arbitraires.

Ce cadre liberticide empêche tout débat réel, tout affrontement d’idées. Il interdit tout débat sociétal (du fait de la mal nommée  incitation à la haine raciale ») sacralise des récits historiques officiels, rendus intouchables par des lois mémorielles qui n’ont qu’un but : museler ceux qui osent poser des questions dérangeantes. En France, comme en Allemagne, la gauche a fait de la censure institutionnelle une arme de destruction massive contre toute opposition.

Les lâches complices de la tyrannie

Mais il y a pire que les idéologues de gauche : il y a leurs complices, y compris des dissidents qui adoptent la rhétorique liberticide du système sous prétexte d’équité. Ceux qui réclament la dissolution des groupes d’extrême gauche « parce qu’on fait la même chose avec l’extrême droite ». Sans s’en rendre compte, ils jouent exactement le jeu du système : en acceptant le principe même de la dissolution, ils légitiment la machine répressive qui, tôt ou tard, se retournera contre eux.

Plus méprisables encore sont ceux qui, pour discréditer leurs adversaires, se réfugient derrière les condamnations infligées par des lois scélérates. Ces faussaires de la dissidence valident l’idée que la justice – gangrenée par l’idéologie – serait un arbitre impartial, alors qu’elle est devenue l’instrument principal de l’intimidation politique.

Et que dire de ceux qui, dans l’opposition politique, restent silencieux face aux lois mémorielles ? Leur passivité est une trahison. Ces lois doivent être abolies, car elles ne protègent rien d’autre que le monopole d’une gauche qui a érigé son idéologie en dogme d’État.

Le vent de liberté venu des États-Unis

Pendant ce temps, aux États-Unis, un vent de liberté souffle. Avec Trump à la Maison-Blanche et la fin annoncée du financement des censeurs idéologiques par les grandes plateformes, l’Amérique montre la voie : celle d’un monde où chacun peut parler sans craindre de voir son existence détruite par une armée de procureurs de la pensée.

Ce vent de liberté doit franchir l’Atlantique. L’Europe, prisonnière de décennies de terrorisme intellectuel, doit enfin s’affranchir du joug de la gauche morale. L’URSS n’existe plus depuis plus de trente ans. Alors pourquoi continuons-nous à subir, en 2025, l’héritage du poison gauchiste et communiste ?

Cette gauche morale, qui prétend défendre l’égalité mais impose une surveillance orwellienne, doit être balayée. Elle ne mérite que les poubelles de l’histoire. Ceux qui ont imposé la terreur idéologique, ceux qui ont détruit la liberté d’expression au nom d’une prétendue « justice sociale », doivent être dénoncés pour ce qu’ils sont : les héritiers de la pensée totalitaire.

Il ne s’agit pas simplement de résister. Il s’agit de reconquérir. Il faut restaurer le débat libre, permettre à chaque Européen de parler sans craindre d’être traîné devant un tribunal pour ses idées. Les lois scélérates doivent être abrogées, les tribunaux idéologiques démantelés, les censeurs réduits au silence.

C’est un combat existentiel. Si nous ne profitons pas de l’élan venu des États-Unis pour libérer l’Europe, nous sombrerons dans une nuit sans fin  car les ennemis de la liberté espèrent faire de la France, du Royaume-Uni, de la Belgique, de l’Allemagne, leurs bases principales. Les lâches, les collabos du système, les adeptes de la modération tiède, doivent être mis aux oubliettes de la vie publique et politique. L’heure n’est plus à la prudence. L’heure est à la reconquête.

L’Europe mérite mieux que cette prison idéologique où l’a enfermée la gauche. L’Europe mérite la liberté. À nous de la lui rendre.

Julien Dir

Crédit photo : DR
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