Un drame s’est déroulé mardi 21 janvier 2025, aux alentours de 18 h, cours d’Helsinki à Rennes, près de la station de métro Henri-Fréville. Un homme de 47 ans a été tué à l’arme blanche, recevant plusieurs coups de couteau à l’abdomen. Malgré l’intervention rapide des secours, il est décédé peu après son admission au centre hospitalier universitaire (CHU) Pontchaillou.
Une agression en pleine rue
Le drame a eu lieu sur une placette entourée d’immeubles, entre l’avenue Henri-Fréville et l’école Jacques-Prévert. Un passant, témoin de la scène, a décrit avoir vu « un homme tituber et tomber plusieurs fois, avec du sang partout ». Ce dernier a immédiatement alerté les secours. Une dizaine de pompiers, accompagnés d’un équipage du SAMU, se sont rendus sur place. Pendant ce temps, les forces de l’ordre ont bouclé la zone pour permettre à la police scientifique et à la Division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS) de démarrer les investigations.
La victime était en arrêt cardiorespiratoire à l’arrivée des secours. Pendant trente minutes, les équipes médicales ont tenté de le réanimer avant de le transporter, sous escorte policière, vers le CHU de Pontchaillou. Malheureusement, l’homme est décédé peu après son admission.
Selon les premiers éléments de l’enquête, il aurait reçu de nombreux coups de couteau à l’abdomen. Les forces de l’ordre ont confirmé que la victime était connue de leurs services.
Une série de meurtres par arme blanche à Rennes
Ce drame est le troisième meurtre par arme blanche à Rennes depuis le début de l’année. Le 2 janvier, un homme de 22 ans a été poignardé au square de Slovaquie, dans le quartier du Blosne. Neuf jours plus tard, un quadragénaire était retrouvé mort dans sa maison, située près du cimetière de l’Est. L’autopsie avait révélé de multiples plaies par arme blanche au torse et à la gorge.
Ces événements dramatiques soulèvent des questions sur la sécurité à Rennes. La police, en collaboration avec la DCOS, continue de mener des investigations approfondies pour élucider les circonstances et les motivations de ces actes violents.
Avec trois meurtres en trois semaines, la tension monte parmi les habitants de Rennes. Ces faits divers rappellent la nécessité d’actions concrètes pour éradiquer la délinquance. Une éradication tout simplement impossible à mettre en oeuvre tant que le logiciel gauchiste continuera d’infuser dans les cerveaux des autorités qui dirigent, et qui ne veulent ni vague, ni actions radicales pour s’occuper sérieusement et définitivement de ceux qui terrorisent la population.
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