On sait que les dirigeants de l’UDB ont un faible pour les immigrés. S’ils en avaient la possibilité, ils procèderaient au “grand remplacement“: ils expulseraient les Bretons et mettraient à la place des migrants, des réfugiés, des étrangers… Pour Gael Briand, rédacteur en chef du Peuple breton, « une bonne intégration évite des problèmes connexes (santé, misère, délinquance potentielle » (PB, janvier 2025). Avec des Afghans parlant breton, obtiendrions-nous une « bonne intégration » ?
En compilant les données de l’Insee (1er janvier 2021), Gael Briand calcule que « le nombre d’immigrés (personnes nées étrangères à l’étranger) en Bretagne avoisinait en 2021 les 220 000 personnes pour 4,8 millions d’habitants (soit 4,5 % de la population). D’où vient alors ce sentiment de débordement, voire d’invasion, ressenti par une part de la population ? » La diaspora algérienne, sur trois générations, est estimée « à plus de 2,5 millions de personnes, dont 900 000 immigrés algériens présents, selon l’Insee, sur le sol français. » (Le Point, 16 janvier 2025) Notons que vingt consulats d’Algérie opèrent en France…
Bref, pour Briand « la question que nous devons nous poser, c’est comment accueillir l’étranger » (Le Peuple breton, janvier 2025). Et puisque son objectif est d’ « intégrer », nous lui proposons de procéder à des opérations sur le terrain. Ainsi à Rennes, dans le quartier de Villejean (dernière fusillade le dimanche 5 janvier). Ou bien à Nantes, dans le quartier du Chêne-des-Anglais (dernière fusillade le dimanche 5 janvier). Il est probable que ses tentatives d’« intégration » connaîtraient l’échec car, dans ces cités, les dealers pratiquent une « intégration » dynamique : avec des kalachnikov ! On verrait Briand partir en courant…
Dans un prochain numéro du Peuple breton, il serait bon de procéder à une interview de Didier Leschi, directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration. Pour lui, « 11% d’immigrés résident en France, un chiffre qui n’a jamais été aussi élevé (…) 400 000 personnes sont inscrites à l’AME (aide médicale d’Etat) et, selon certains rapports, au moins 10 % affirment que leur venue était motivée par la recherche de soins » (Challenges, 28 novembre 2024)
En matière d’hébergement, certaines municipalités, comme Rennes ou Nantes, sont dépassées par la gestion des migrants sur leur territoire. Réponse de Didier Leschi : « Certaines villes sont prises au piège de leur choix. Dès lors qu’elles mettent en place des dispositifs attractifs en organisant, par exemple, le versement de prestations, ou des prises en charge même si des personnes sont en situation irrégulière, elles finissent par devenir des zones attractives. La pression qui s’exerce sur certaines villes de l’ouest de la France ne vient pas simplement du fait que des gens auraient décidé comme ça spontanément, en partant de l’est de l’Europe, d’Afrique ou d’Asie, d’arriver spécifiquement à Nantes ou à Rennes. C’est parce qu’il y a une information qui est passée. Les immigrants sont des personnes qui pensent, qui s’informent. » (Le Télégramme, vendredi 10 janvier 2025).
B. Morvan
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3 réponses à “UDB : on attend 220 000 nouveaux adhérents”
Ces gens ne s’intègront jamais
Beaucoup trop nombreux et nous n’avons plus la force pour intégrer qui que ce soit , je suis de l’avis de Vert….
A bout de souffle cette pauvre gauche… Pitoyable ces fossoyeurs de la Bretagne et de son peuple !