La France connaît une chute historique de sa natalité. En 2024, seulement 663 000 naissances ont été enregistrées, soit une baisse de 2,2 % par rapport à l’année précédente. Ce chiffre, révélé par l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE), marque le niveau le plus bas depuis 1946, et la fécondité tombe à 1,62 enfant par femme, bien loin du seuil de renouvellement des générations fixé à 2,1.
Les causes d’un déclin inquiétant
Plusieurs facteurs expliquent cette chute. Bien que les Français en âge de procréer souhaitent en moyenne 2,27 enfants, des obstacles économiques, sociaux et logistiques freinent ces aspirations. Les difficultés à concilier vie professionnelle et vie familiale, le manque de places en crèche et une organisation quotidienne complexe dissuadent de nombreux couples d’élargir leur foyer.
Beaucoup de français indiquent, dans des sondages, qu’une meilleure accessibilité aux solutions de garde les inciterait à avoir plus d’enfants. De plus, la « crise climatique », ou plutôt les conséquences du matraquage médiatique intense et anxiogène sur la question, serait un frein psychologique pour beaucoup,
Un poids migratoire de plus en plus visible
Dans le même temps, l’évolution démographique de la France repose largement sur l’immigration. Sur les 169 000 habitants supplémentaires enregistrés en 2024, 152 000 sont attribuables à la migration nette. Alors que la France reste officiellement « aveugle à la couleur de peau », un nouveau recensement en 2025 demandera pour la première fois l’origine des parents. Cette démarche, bien que facultative, est déjà dénoncée par des associations comme la Ligue des droits de l’Homme, qui y voient une menace pour l’égalité de traitement.
Dans d’autres pays européens, l’écart entre les taux de natalité des populations natives et des migrants se creuse. En Angleterre et au Pays de Galles, par exemple, 31,8 % des naissances en 2023 étaient attribuées à des femmes étrangères, bien que ces dernières ne représentent qu’environ 16 % de la population totale.
Une inquiétude identitaire croissante
Cette dynamique démographique nourrit un malaise profond. Une enquête Ifop révèle que 50 % des Français valident la question du « Grand Remplacement », une idée selon laquelle les élites politiques et économiques ont laissé se mettre en place un remplacement progressif de la population native par l’immigration de masse.
Par ailleurs, 70 % des sondés souhaitent que la France reste un pays à dominante chrétienne, tandis que 68 % considèrent l’islam comme une menace pour l’identité française. Ce sentiment est renforcé par des problèmes de sécurité liés à une augmentation de la délinquance chez les mineurs migrants. Selon le sénateur Henri Leroy, dans certaines villes comme Bordeaux, ces jeunes représentent jusqu’à 40 % des actes délictueux.
Malgré les efforts du gouvernement, comme le « réarmement démographique » lancé par Emmanuel Macron, les résultats tardent à se concrétiser. Ce plan, visant à stimuler les naissances par des incitations économiques et sociales, semble impuissant face à des obstacles structurels plus profonds.
Le débat sur la démographie ne peut être limité aux seules considérations économiques ou environnementales. Il s’agit d’une question existentielle pour la France et son identité et plus globalement, pour l’Europe. Les politiques publiques doivent non seulement encourager la natalité, mais aussi affronter les défis posés par une immigration massive et ses conséquences sur la cohésion nationale. La baisse continue de la natalité pourrait devenir une véritable crise si elle n’est pas adressée de manière ambitieuse. La survie culturelle, identitaire et sociale de notre civilisation en dépend.
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10 réponses à “Effondrement de la natalité en France : un signal d’alarme pour l’avenir démographique et identitaire”
Natalité Française ! oui ! mais sur 10 enfants qui naissent, 7 sont bronzés par le soleil ! ( selon une étude faite sur les hôpitaux )
Dans tous ces cas de figure concernant l’Europe, il est indéniable que l’épée de Damocles au-dessus de nos têtes en rapport au declin de natalité, est l’invasion humaine. Oui, je sais, on me repliquera qu’elle est généralement non-voulue, mais il faut en convenir qu’elle est bien là et de ce fait, on est obligé d’en tenir compte.
Bref, comme d’aucuns le savent, un couple d’emigrés, légaux ou pas légaux, on s’en fout car ils sont bien là sur nos terres, pondent deux fois plus AU MOINS (!) qu’un couple européen. Et comme la connerie humaine a tout fait pour reguler ces naissances au pays en accordant AUTOMATIQUEMENT la nationalité et tous les Droits inhérents aux parents et leurs progénitures, le constat est très simple : ON EST FOUTUS !!!
Vous êtes surpris ???
Moi, pas.
Un société totalitaire aux ordres de l’état profond US, une destruction organisée de notre système de santé, fermeture des maternités et faire des kilomètres à 80 pour aller à 100 km ou accoucher au bord de la route ….
Quel est l’avenir pour nos enfants et petits enfants dans cette société délirante sans avenir ???
Et de ce coté natalité la France tient encore un peu la route par rapport à la Pologne, Italie, Allemagne …. pour combien de temps ?
Arrêtez d’être des hypocrites , en 2035 , la courbe va remonter et il y aura plus de naissances extra européennes ; c’est cela que vous voulez et que vous aurez , de quoi vous plaignez vous ? cela fait plus de trente ans que vous oeuvrez pour ça !!!
@gautier – Du fait du remboursement a 100% de l’IVG qui a l’origine était destiner aux femme dont le foetus est atteint de malformations ou de maladie qui aurait rendu sont existence aléatoire , est maintenant devenue de complaisance ; résultat certaines femmes avortent si le futur enfants est blanc , préférant mettre au monde un enfants de couleur après des relations avec un ou plusieurs colorés tout est vivant avec un homme blanc.
Les idées ultra gauche et le Wokisme ont envahi les cerveaux de nos jeunes générations qui n’osent plus avoir d’enfants suite à une idéologie désastreuse et une angoisse sur l’avenir qui freine le concept familial historique. Ajoutez y les ravages de la drogue qui rend les jeunes vulnérables et l’arrivée des nouvelles populations qui font des enfants sans aucun souci de responsabilité ( l’Etat est là pour payer ! ) et vous aurez un état des lieux de la catastrophe humanitaire de la race européenne ancestrale.
Le droit du sol, les allocs à ne rien faire, la récompense pour les pondeuses…l’avortement de confort pour les bourgeoises et les autres, on est fichus….et les arrivants qui vont se comporter sans réfléchir comme des animaux, on est fichus (déjà dit)
Oh la la que d’opinions divergentes; toubib 53 vous n’avez que trop raison, sinon je doute fort que les bourgeoises de bonne extraction aient recours à l’avortement de confort…!!! il suffit de voir les voitures familiales près de N.D. de Toulvern. Encore une fois je constate la présence d’un agent infiltré sur le site « Et alors », ce qui ne fait que confirmer ce qui m’avait été confié à l’oreille! Sinon depuis que je suis gamin j’entends parler des problèmes de logement, de crèches…et il n’y eu même pas un conclave pour se préoccuper de ces problèmes. Chalandon et Dechartres préféraient construire sur la côte vendéenne avec la participation de Férinel et à l’Ile de Ré!
@Gaï de Roparz : j’ai failli mettre +1, jusqu’à la lecture de votre dernière ligne. Affirmer que nous sommes foutus est l’assurance de ne rien faire et de perdre.
Non, renouons avec la natalité et soyons absolument intransigeant culturellement. Battons-nous !
Il y a une solution efficace , éthique et de prix modique: la Naprotechnologie. Mais je vais être censuré.