Selon une modélisation réalisée à partir des données de l’INSEE, la France pourrait connaître d’ici 2050 une évolution démographique majeure : la majorité des naissances en métropole pourrait être d’ascendance extra-européenne. Cette projection met en lumière un changement progressif mais significatif de la composition de la population française, soulevant des interrogations sur les conséquences sociales, culturelles et économiques à long terme.
Une progression constante de la natalité d’origine extra-européenne
En 2021, 68 % des naissances en métropole provenaient encore des populations dites autochtones. Ce chiffre, pourtant majoritaire, cache une réalité bien différente : cette proportion diminue année après année. Si cette tendance se poursuit, seulement 30 % des naissances pourraient concerner des populations sans ascendance immigrée récente en 2050.
La part des naissances issues de l’immigration extra-européenne, qui représentait environ 20 % en 2020, pourrait grimper à 52 % dans moins de trois décennies. Une transformation d’une telle ampleur ne peut être ignorée, car elle s’inscrit dans un processus de remplacement progressif du peuple français.
Facteurs explicatifs : immigration et fécondité
Plusieurs facteurs expliquent cette transformation démographique :
- Solde migratoire net : Environ 247 000 individus d’origine extra-européenne s’ajoutent chaque année à la population française, contre seulement 143 000 d’origine européenne. Ce déséquilibre contribue directement à l’augmentation du poids des populations extra-européennes dans les naissances.
- Taux de fécondité différenciés :
- Les femmes issues de l’immigration extra-européenne affichent un taux de fécondité de 2,54 enfants par femme, contre 1,69 pour celles d’origine européenne.
- Même parmi les descendants d’immigrés, la fécondité des femmes d’origine extra-européenne reste légèrement plus élevée, avec un taux de 1,74.
- Âge médian plus jeune : L’âge médian des immigrés extra-européens est de 29 ans, ce qui favorise une contribution plus importante aux naissances par rapport aux populations autochtones, dont l’âge médian est plus élevé.
Les données montrent également que les descendants d’immigrés jouent un rôle croissant dans la démographie nationale. Par exemple, les petits-enfants d’immigrés extra-européens présentent un taux de fécondité comparable à celui des descendants directs, consolidant ainsi leur poids démographique dans les générations futures.
En revanche, les populations dites « autochtones » continuent de voir leur taux de fécondité stagner autour de 1,70, un niveau insuffisant pour assurer leur renouvellement générationnel.
Ce basculement démographique pose une question cruciale : quels seront les effets sur l’identité bretonne, française et européenne ? Car il ne s’agit pas uniquement de statistiques, mais bien de la survie d’un peuple, de ses valeurs, de sa culture et de son héritage.
La dilution progressive des populations autochtones dans une France où les descendants d’immigrés extra-européens deviennent majoritaires pourrait provoquer des tensions sociales, une fragmentation culturelle et un effondrement du sentiment d’appartenance nationale.
Les institutions, souvent guidées par des idéologies multiculturalistes, semblent nier ou minimiser ces enjeux. Pourtant, les Français commencent à exprimer leur inquiétude. Une question demeure : la France peut-elle encore éviter un tel bouleversement, ou sommes-nous déjà au-delà du point de non-retour ?
Illustration : DR
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2 réponses à “Le Grand remplacement de population en France : une évolution irréversible dès 2050 ?”
Faut pas (encore) se voiler la face. « Par leur nombre croissant, les musulmans deviendront majoritaires d’abord en France, puis en Europe, avant la fin du XXIème siècle….par la suite presque partout dans le monde » Lu dans le récit sentimental « les corps indécents ». (sur Amazon.fr) Selon les statistiques actuelles, 35 % des naissances en France sont d’origine extra-européenne. Avec en plus une immigration massive imposée par Bruxelles + une importante immigration clandestine, + le droit du sol (Bonjour Mayotte) + le rapprochement familial, il est certain que les autochtones de souche chrétienne deviendront bien vite minoritaires sur les terres de leurs ancêtres. C’est de l’arithmétique toute simple comme 2 et 2 font 4. Extinction finale des populations autochtones programmée à court terme selon ce récit délicatement romantique « les corps indécents ». D’où la nécessité de « changer nos bonnes vieilles habitudes pour être acceptés par les nouveaux venus et leur très nombreuse progéniture » comme nous y invite par ailleurs ce récit. Car Il faut d’ores et déjà, se préparer, s’habituer, s’adapter… C’est pas pour rien qu’un Ministre Tunisien suggère l’ enseignement de la langue arabe dans les écoles françaises pour mieux intégrer les petits français ! Il n’a pas tors.
chut il ne faut pas désespérer les mondialistes écolos gauchos, islamophiles