Le Premier ministre britannique, Sir Keir Starmer, a ce lundi 6 janvier 2025 critiqué ceux qu’il accuse de s’inscrire dans la « rhétorique de l’extrême droite » pour exiger une enquête nationale sur les réseaux de prédation sexuelle (grooming gangs). Ces réseaux, composés principalement d’hommes d’origine pakistanaise et de confession musulmane, ont exploité et abusé des milliers de jeunes filles blanches dans plusieurs villes britanniques.
Une opposition constante à une enquête nationale
Malgré les demandes croissantes pour une enquête publique nationale, Starmer a réitéré son refus, affirmant que les rapports locaux déjà publiés suffisent et que l’attention devrait désormais se porter sur la mise en œuvre des recommandations qu’ils contiennent. Cette position suscite une vive indignation, notamment de la part des survivantes et de leurs familles, ainsi que d’acteurs politiques et médiatiques exigeant des réponses claires.
Keir Starmer just claimed people who want a full inquiry into Britain’s rape gangs are “jumping on a bandwagon of the Far Right”
Wanting justice for 1000s of British girls raped by Pakistani gangs is “Far Right?”
Is this Starmer’s biggest mistake yet?
— Martin Daubney 🇬🇧 (@MartinDaubney) January 6, 2025
Starmer lui-même n’est pas exempt de critiques. Entre 2008 et 2013, alors qu’il occupait le poste de directeur des poursuites publiques, certains estiment qu’il a failli à son devoir en ne poursuivant pas activement ces réseaux. Il rejette ces accusations en affirmant : « Mon bilan est public. Chaque affaire que j’ai poursuivie a été examinée par un tribunal et un juge. »
Une attaque contre Elon Musk et ses détracteurs
Depuis que le propriétaire de la plateforme X (anciennement Twitter), Elon Musk, a mis en lumière le scandale des grooming gangs, Starmer a multiplié les critiques à son égard. Il accuse Musk et d’autres figures publiques de propager des « mensonges et désinformations » pour leur propre intérêt. Starmer a déclaré : « Ceux qui répandent ces mensonges ne s’intéressent pas aux victimes, mais uniquement à eux-mêmes. »
Cette critique s’étend également aux politiciens britanniques, bien que non nommés, qui soutiennent une enquête nationale. Starmer les accuse de « faire le jeu de l’extrême droite » et met en garde contre une dérive politique qu’il juge dangereuse.
Les appels à une enquête publique nationale ne cessent pourtant de croître. Nigel Farage, leader du Reform UK, et Kemi Badenoch, récemment élue à la tête des Tories, font partie des figures politiques exigeant justice pour les victimes. Selon eux, les enquêtes locales ont été insuffisantes et ont souvent minimisé l’ampleur du problème par crainte d’être perçues comme racistes.
Rupert Lowe, député de Reform UK, a réagi aux propos de Starmer : « Il n’y a rien d’extrémiste à vouloir obtenir justice pour des milliers de jeunes filles britanniques abusées et violées par des réseaux principalement pakistanais. » Il appelle à dépasser les insultes et à concentrer les efforts sur les victimes et les coupables.
Elon Musk n’a pas mâché ses mots en accusant directement Keir Starmer d’être « profondément complice » des abus en échange de bénéfices électoraux. Bien que ses déclarations soient controversées, elles ont contribué à relancer le débat public sur le scandale et la manière dont il a été géré.
Ce scandale met en lumière une crise profonde de confiance dans les institutions britanniques, accusées de sacrifier la sécurité des jeunes filles sur l’autel du politiquement correct et du multiculturalisme. Pendant des années, des responsables locaux et nationaux ont ignoré les accusations, craignant d’être accusés de racisme ou d’islamophobie. Cette inaction a permis à ces réseaux de continuer leurs activités en toute impunité.
Pour rappel enfin, Starmer est aussi le Premier ministre qui a fait vider des prisons, cet été, de délinquants de droit commun, pour y enfermer des dissidents politiques et/ou des manifestants qui se révoltaient après le meurtre d’enfants, à Southport.
Illustration : DR
[cc] Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
10 réponses à “Grooming Gangs, prostitution et viols au Royaume-Uni : Le Premier ministre Starmer dénonce les appels à une enquête nationale comme émanant de « l’extrême droite »”
Bien bien.La mayonnaise commence à monter au Royaume Uni…ou une caste de privilégiés se goinfre pendant ue la population est ramenée à l’âge de pierre. Petit à petit, des décennies de mensonges remontent à la surface. Quand ils oseront s’attaquer à la famille royale et ses « affaires » ils seront enfin un peuple libre. Merci MUSK.. même si je trouve le personnage très louche. Il est efficace dans ce domaine. Une implosion de la Grande Bretagne serait un grand pas pour l’humanité.
.Starmer a oublie de mentionner qu’il etait en charge de l’enquete en 2012…. voila pourquoi il ne veut pas d’enquetes actuelles. Il serait mis en cause personnellement.
« Sir » Keir Starmer ?
Non !
Rotten keir starmer…
Que cela nous serve de leçon: Voila ce qui advient d’un pays à se choisir un gouvernement de Gauche
c’est normal, il fait parti de tous ces détraqués qui soutiennent les pédophiles notoires qui détruisent la jeunesse ! pourquoi Epstein était souvent reçu au plus haut niveau en Angleterre !!
sur la photo, les « figurantes » derrière le guignol, est-ce qu’elles – aussi – ont eu droit au « grooming » ????????
Pourquoi un individu veut-il cacher ces monstruosités ? Qu’elles en sont les raisons profondes? Cela mérite une enquête approfondie car il y a trop de pervers en liberté!
Quand une idéologie multi ethnique et culturelle sacrifie des mineurs et des jeunes filles en fermant les yeux sur ce scandale qui atteint la dignité humaine, on atteint le niveau de crime contre l’humanité !
Dans son mépris de la femme par ces islamistes, qui plus est blanche, et le viol de mineurs ils attaquent notre civilisation et notre culture avec la complicité sournoise et silencieuse de types comme ce Starmer vendu à la cause extra européenne islamiste. Les médias par leur silence coupable ne valent pas mieux et la gauche représente à ces niveaux un cancer idéologique redoutable .
Les justifications de Keir Starmer pour ne pas avoir traité le problème au niveau national s’appuient sur le droit britannique (vu dans d’autres articles sur Breizh-info).
Argument officiel: ces viols doivent être traités par les juridictions locales.
Cela a l’avantage de limiter la connaissance de ces abus indignes par toute la population.
On peut appliquer l’adage latin « summum jus, summa injuria »: une application pointilleuse de la loi revient à une grande injustice.
Comment va réagir l’opinion anglaise ? And the King ?
Résumé de la note qui m’a été communiquée: Oui les classes aisées sont vraiment des privilégiés. Que voulez-vous que fasse the King il a fort peu de pouvoir et préfère faire du bio!!! Ben oui c’est un bio- maniaque! Oui Starmer partira avec son titre c’est l’usage!Et conclusion- on est très bien en France dans un quartier, un immeuble protégé…avec un véhicule neuf et j’en passe!