Il y a des silences qui en disent long sur l’état de nos sociétés et de leurs élites médiatiques. Deux affaires, deux tragédies, deux traitements diamétralement opposés. D’un côté, l’affaire George Floyd, qui a vu un délinquant connu des services de police perdre la vie dans des circonstances certes choquantes. De l’autre, le scandale des grooming gangs, où des milliers de jeunes filles ont été violées, prostituées, parfois assassinées, dans l’indifférence quasi générale. Comment expliquer qu’une seule mort ait déclenché une hystérie médiatique mondiale, alors que des années d’horreur organisée n’ont suscité qu’un silence gêné, quand ce n’est pas une complicité par omission ?
Le cas George Floyd : la naissance d’une religion mondiale
En mai 2020, George Floyd mourait sous le genou d’un policier à Minneapolis. Les images de sa mort ont fait le tour du monde, déclenchant une vague de manifestations, d’émeutes et de repentances collectives. Aux États-Unis, des villes entières ont été mises à feu et à sang. Au Royaume-Uni, des joueurs de Premier League se sont mis à genoux, symbole d’une soumission idéologique spectaculaire. Même en France, des responsables politiques et des intellectuels ont rivalisé d’indignation, comme si Floyd était mort dans une banlieue parisienne. Cette affaire est devenue une religion mondiale, avec son martyr, ses rites et ses procès inquisitoriaux.
Pourtant, que savons-nous de George Floyd ? Un homme au casier judiciaire chargé, impliqué dans des affaires de drogue, de violence et de vol. Un symbole fragile, mais suffisant pour que les médias transforment cette affaire en croisade universelle contre le « racisme systémique ».
Les grooming gangs : un scandale oublié
Et les grooming gangs ? Rien, ou plutôt si peu. Entre 2011 et 2025, les journaux britanniques ont mentionné le « racisme » un nombre stupéfiant de 382 069 fois, tandis que le terme « grooming gangs » s’en sort à peine avec 4 659 mentions. Autrement dit, le « racisme » a attiré 82 fois plus d’attention. Apparemment, les médias avaient d’autres priorités. Même le « privilège blanc », a réussi à obtenir 6 146 mentions, surpassant le scandale de ces viols collectifs. « Black Lives Matter » a été cité à 59 338 reprises, et « extrême droite » a grimpé en flèche avec 141 367 mentions.
🚨🇬🇧UK NEWS FOCUS: RACISM VS GROOMING GANGS
From 2011 to 2025, UK newspapers mentioned “racism” a staggering 382,069 times, while “grooming gang” barely scraped by with 4,659 mentions.
To put it another way, “racism” got 82 times the attention. Apparently, the media had other… pic.twitter.com/ndjtWMDff2
— Mario Nawfal (@MarioNawfal) January 6, 2025
Des milliers de jeunes filles britanniques, souvent issues de milieux défavorisés, ont été abusées, prostituées, parfois tuées, par des réseaux criminels organisés. Les faits sont accablants : des décennies de silence de la part des autorités locales, des enquêtes étouffées par peur d’être accusé de racisme, et des médias complaisants qui préfèrent détourner les yeux. Où sont les genoux à terre pour ces victimes ? Où sont les foules indignées défilant dans les rues ? Où sont les éditorialistes français, si prompts à condamner les violences policières à des milliers de kilomètres, lorsqu’il s’agit de crimes de masse à nos portes ?
Le rôle complice des médias
La différence de traitement est criante, et elle révèle une vérité dérangeante : la hiérarchie des causes médiatiques est dictée non par l’ampleur des crimes, mais par l’agenda idéologique des élites. George Floyd servait un récit : celui d’un racisme omniprésent, qui justifie le rejet de nos sociétés et de nos institutions. Les grooming gangs, en revanche, mettent en lumière des réalités dérangeantes sur l’immigration massive, l’échec du multiculturalisme et la lâcheté des autorités. Le sujet est donc évité, relégué aux marges, étouffé.
Ce mépris des vérités qui dérangent explique en grande partie pourquoi les peuples se détournent massivement des médias traditionnels. Aujourd’hui, la presse alternative, portée par des figures comme Elon Musk, devient un refuge pour ceux qui cherchent encore à comprendre le monde sans les filtres idéologiques des grands médias. Lorsque Musk attaque Keir Starmer et dénonce le rôle de l’État britannique dans l’affaire des grooming gangs, il ne fait que dire tout haut ce que des millions pensent tout bas.
L’avenir de l’information libre repose sur cette capacité à briser les tabous, à parler des faits tels qu’ils sont, sans céder aux injonctions des censeurs médiatiques. Les peuples n’attendent pas qu’on leur dicte quoi penser ; ils veulent des faits, une analyse, une véritable justice médiatique.
L’affaire George Floyd et les grooming gangs ne sont pas juste des faits divers. Ils sont le miroir d’une hypocrisie occidentale qui finira par se fracasser contre le mur de la réalité. Les peuples en ont assez. Ils ne veulent plus de récits construits pour les culpabiliser ou les détourner des véritables enjeux. Ils veulent des réponses, de la vérité et une justice égale pour tous.
Cela explique le succès de médias alternatifs, ou de plateformes comme celle d’Elon Musk, seule planche de salut face à cette manipulation massive. L’heure est venue de reprendre le contrôle de nos récits, de nos vérités et de notre souveraineté médiatique.
YV
Illustration : DR
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Une réponse à “Les médias mainstream et les élites contre les peuples. George Floyd vs Grooming Gangs au Royaume-Uni”
Excellent !
Oui ces journalopes ne sont que les collabos du système!