En 2024, la palme du film français le moins rentable dans la catégorie migrants est revenu à « Monsieur Aznavour ». Cette bio axée sur le racisme subi par le chanteur d’origine arménienne, présenté en ancêtre des rappeurs, a atteint 20 millions de pertes potentielles, malgré 2 millions d’entrées. Une performance explicable par le colossal budget de départ de 26 millions d’euros.
En seconde position, « Quatre Zéros » , une comédie sur un jeune prodige du football d’origine comorienne : elle n’a attiré que 361 000 spectateurs, malgré un budget de 10,9 millions d’euros et la présence en guest-stars de vraies vedettes du football. Jusqu’à 9,8 millions d’engloutis !
Mais le vrai coup de coeur va au 3ème, « Black Tea », avec un rapport pertes / capital de départ encore plus spectaculaire : cette romance sur un couple sino-africain à la tête d’un magasin de thé en Asie n’a été diffusée ni en Chine ni en Afrique et n’a attiré en France que 71 927 spectateurs.
Selon l’Internet Movie Database, elle n’a rapporté que 479 467 dollars de recettes brutes mondiales. Cela pourrait représenter une perte de 6,17 millions d’euros pour les financeurs, sur un budget de 6,36 millions : – 97 % de rentabilité !
Derrière ce record, l’incontestable empreinte du réalisateur et scénariste Abderrahmane Sissako. Selon le site cinefinances, ce dernier a plombé les comptes en s’arrogeant pas moins de 472 000 euros de rémunération ! Chapeau l’artiste et merci au CNC sans qui rien n’aurait été possible !
Ces trois films sont sortis du lot malgré une rude concurrence : sur 200 productions françaises en 2024 répertoriées par Wikipedia, pas moins de 29 explorent la thématique « migrants », dans toutes les situations imaginables. Un film ose même l’angle sécuritaire et religieux : rassurons-nous, c’est le seul à ne pas avoir reçu de subventions publiques (« Que notre joie demeure », de Cheyenne-Marie Carron).
Selon les données disponibles, aucun des films de cette catégorie n’a attiré suffisamment de public pour être rentable avec les seules entrées de cinéma. Ces 29 productions ont représenté un investissement total de 118 millions d’euros, pour des recettes mondiales brutes de 58 millions de dollars. Cela pourrait correspondre à environ 24 millions d’euros de recettes nettes (une fois déduits les taxes et les frais de distribution).
Exclu de la compétition, le trop franco-français « Comte de Monte-Cristo » , un contre-exemple absolu : répondant mieux aux attentes du marché ici et à l’export, ce succès 2024 est en passe d’atteindre les 100 millions de dollars de recettes, dépassant à lui seul le montant des pertes des 29 « films de migrants ».
Enora
Méthodologie : les données sur les recettes brutes mondiales sont issues du site Internet Movie Database (IMDb). Pour obtenir les recettes nettes en euros, nous les avons multipliées par 0,96 (taux de change euro-dollar actuel) puis par 0,42 (pourcentage de 42 % revenant aux producteurs sur les entrées en France, selon les données disponibles).
Quand les données IMDb manquent, nous partons des entrées France que nous multiplions par 7 (prix d’entrée moyen compte tenu des remises et des accès à taux privilégié) et par 0,42.
Cinéma français pro immigration : Liste des 29 nominés
All we imagine as light
Résumé : dans l’Inde conservatrice de Modi, le quotidien et les rêves de femmes tamoules exilées à Bombay
101 409 entrées France
Financeurs : Arte, CNC, Fondation Gan (Assurances), Eurimages (Conseil de l’Europe), Région Centre Val de Loire, Hubert Bals Fund (Pays-Bas sur fonds européens), Film Fund Luxemburg Cineworld (Etat luxembourgeois) + divers producteurs privés
1 100 000 € de budget
1 845 000 $ de recettes brutes mondiales
-356 096 € de bilan estimé
Anaïs, 2 chapitres
Une jeune agricultrice bretonne se bat pour la régularisation de son conjoint sénégalais
France 3 Bretagne, France Télévisions, TV Rennes, Tébéo, TébéSud, Région Bretagne, CNC
828 entrées France
Budget (?)
Recettes (?)
Animale
Nejma, jeune femme racisée, cherche à s’intégrer dans le monde très masculin des gardians de Camargue. Elle subit également l’hostilité mystérieuse des taureaux…
14 782 entrées France
France 3, CNC, région Paca, région Occitanie
4 000 000 €
71 924 $
– 3 971 000 €
Barbès little Algérie
Malek renoue avec ses racines algériennes en découvrant le quartier arabe de Paris
76 399 entrées France
France 3 / Netflix / région Île-de-France (325 000) / CNC (450 000 € d’avance sur recettes + aide pour la musique de film) / sofica
2,7 millions € du budget prévisionnel
426 265 $ de recettes brutes mondiales
-2 528 130 €
Black Tea
Ivoirienne exilée en Asie, Aya brave les stéréotypes et trouve l’amour auprès de Cai, un commerçant de thé chinois
71 927 entrées France
Gaumont, Arte, House of Fire (Taïwan), Dune Vision (Mauritanie), CNC , Eurimages, Canal+, Ciné+
6 360 000 € (estimé), dont 472 000 euros pour le réalisateur / scénariste Abderrahmane Sissako
479 467 $
-6 166 679 €
Bye bye Tibériade
Le pèlerinage d’une comédienne franco-palestinienne dans son village natal occupé par Israël
47 599 entrées France
Arte, CNC, IMS, Doha Film Institute (Qatar), Arab Fund for Art and Culture, Procirep-Angoa
410 000 €
151 408 $
– 348 952 €
Cent mille milliards
La rencontre à Monaco entre 3 personnages riches de leurs différences : une ado chinoise milliardaire, une baby-sitter serbe et un travailleur du sexe maghrébin
4 898 entrées France
CNC (430 000 € ), région Normandie
690 000 €
15 086 € de recettes estimées
– 674 914 €
Cocorico
Des boomers se voient offrir des tests ADN : ils s’aperçoivent qu’ils ne sont pas plus français que leur femme de ménage et que leur plombier, des Portugais
(avec Clavier en « boomer originel »)
1 956 846 entrées France
Canal+ / Ciné+ / M6 (2 passages) / W9
10 368 000 € (dont 1,2 pour les rôles principaux)
18 259 571 $ de recettes mondiales brutes (dont recettes France : 13 884 248€)
– 3 005 741 €
Dahomey
La restitution au Bénin des œuvres d‘art pillées en 1892 par les Français est l’occasion pour un jeune Sénégalais de s’exprimer sur les luttes anticoloniales actuelles
68 878 entrées France
CNC (80 000 € d’avances sur recettes) / Arte / région Ile-de-France
Budget prévisionnel de 788 000 € (dont 48 300 € pour la réalisatrice / autrice pour 12 jours de tournage)
560 533 $ de recettes mondiales brutes
– 561 993 €
Ici et là-bas
Traîne-savate expatrié au Sénégal, Adrien est renvoyé à Paris faute de papiers en règle. Il est pris en charge par Sékou, un dynamique commercial franco-sénégalais dont la passion est la promotion des produits du terroir
333 519 entrées France
TF1 / TMC /Canal + / Ciné + / CNC / Procirep Angoa / soficas Cineaxe et Cinémage 14 Développement
8 600 000 € de budget
2 326 338 € de recettes France et 2 516 647 $ de recettes brutes mondiales
– 7 585 288 €
La Belle de Gaza
Un transgenre palestinien trouve sa voie comme travailleuse du sexe dans les rues de Tel Aviv
31 419 entrées France
Arte, CNC, région Ile-de-France, Ciné +, Sofinova 19 (sofica permettant de déduire de ses impôts 48 % de son investissement) / par l’équipe des producteurs de « Tirailleurs »
Budget (?)
74 847 $ de recettes brutes mondiales
La Couleur dans les mains
Pour obtenir une location à Paris, Yasmine, une artiste algérienne, se fait appeler Janine. Cette tricherie sur son identité ravive les traumatismes de la guerre civile des années 90
CNC
Aucune donnée financière disponible
La Damnée
Venue étudier en France et isolée dans son studio parisien, une jeune Marocaine est victime de phénomènes paranormaux inquiétants
Entrées France : 11961
La Lettre errante
Documentaire sur le son R, vecteur d’exclusion pour les Caribéens et les Asiatiques, car il est dur à prononcer
2 654 entrées France
France Télévisions, France 3 Grand Est, CNC (Fonds Images de la diversité), Agence nationale de la cohésion des territoires, Eurimages, Europe Creative Medias (fonds de l’Union européenne)
Pas de données financières disponibles
La Prisonnière de Bordeaux
Au parloir d’une prison, la sororité naissante de Mina et Alma. La première est une travailleuse racisée reléguée en banlieue, la seconde une bourgeoise de centre-ville, prisonnière de son couple patriarcal
124 700 entrées France
Arte France / Canal + / Ciné + / CNC (100 000 d’avances sur recettes) / région Nouvelle Aquitaine / départements de Gironde et des Landes / Sacem
4,740 millions € (environ 158 000 € à la réalisatrice co-scénariste pour 32 jours de tournage, selon le site cinefrance)
914 810 $
– 4 371 149 €
Le Dernier des juifs
Dans une banlieue multiculturelle, le vivre-ensemble n’est plus ce qu’il était. C’est du moins le sentiment d’ une grand-mère juive tunisienne qui perd la tête…
186 540 entrées France
Canal+ / Ciné+ / CNC (600 000 € d’avance sur recettes) / région Ile-de-France / Fondation pour la mémoire de la Shoah / Indéfilms 10 & 11 (sofica)
Budget de 2,5 millions €
1 271 541 $ de recettes brutes mondiales
– 1 987 315 €
L’Histoire de Souleymane
48 h dans la vie d’un livreur guinéen clandestin, juste avant son rendez-vous de validation à l’OFPRA
(avec un vrai acteur sans-papier)
514 750 entrées France
Canal + / Ciné +/ CNC (dont 530 000 € d’avances sur recettes) / région Ile-de-France / + 2 soficas / par l’équipe des producteurs de « Tirailleurs »
2 600 000 € de budget prévisionnel (dont environ 126 000 € pour le réalisateur / co-scénariste, pour 40 jours de tournage, selon le site cinefinances)
3 853 414 $ de recettes brutes mondiales
– 1 046 303 €
Les Barbares
Un médecin syrien réfugié et sa famille sont victimes du rejet d’un village breton, qui s’attendait à des Ukrainiens
266 179 entrées France
Canal + / Disney + / La Banque postale / Procirep
6 000 000 € (dont 211 000 pour la réalisatrice / scénariste)
2 059 304 $ de recettes brutes mondiales
– 5 169 689 $
Les Fantômes
Un réfugié syrien à Strasbourg traque les criminels du camp Assad, également réfugiés en Europe
162 000 entrées France
Canal +, Ciné +, Arte France, Fondation Gan, Eurimages, région Grand Est, Strasbourg Eurométropole, région Bretagne, CNC, Procirep, Angoa, FFA (office public du film allemand), Bureau des médias de Berlin-Brandebourg, banque ING, Gouvernement belge + 4 soficas
Budget : 3,9 millions €
1 243 083 $
– 3 398 789 €
Ma part de gaulois
Début des années 80 : Mourad, d’abord orienté en CAP mécanique, est aiguillé vers un lycée général de centre-ville peuplé de Gaulois
9359 entrées France
Canal +, Ciné +, Région Occitanie, Toulouse Métropole, CNC (Images de la diversité : 50 000 euros)
2 120 000 €
Recettes estimées : 27 516 €
Bilan estimé : -2 092 484 €
Même si tu vas sur la lune
Invités par leur professeur d’université dans sa maison de campagne, 4 étudiants réfugiés syriens refont le monde
182 entrées France
France Télévisions / CNC / Délégation interministérielle à l’accueil et à l’intégration des réfugiés / Réseau Migrants dans l’enseignement supérieur / Fondation de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne / Procirep Angoa (société des producteurs de cinéma et de télévision)
Aucune donnée financière disponible
Monsieur Aznavour
Originaire d’Arménie, le jeune Aznavourian est victime du racisme ambiant de la société française. Pas rancunier, il enrichit le répertoire national de quelques-unes de ses plus belles chansons. A la fin, pour échapper aux griffes du fisc, il est contraint de s’exiler en Suisse…
Entrées France : 2 016 213
Pathé / TF1
26 000 000 € (estimé), dont 1 million pour les deux réalisateurs / scénaristes
15 185 669 $ de recettes mondiales brutes
-19 877 138 €
Ni Chaînes ni maîtres
Esclaves noirs et bourreaux blancs, dans les parages de Mayotte : l’histoire se passe en 1759, mais n’aurait-elle pas toujours une actualité ?
(avec maniant le fouet, Camille Cottin, la nouvelle égérie Nespresso)
422 009 entrées France (dont un certain nombre d’écoliers)
France Télévisions / Canal + / Ciné + / CNC / Sacem / Fondation pour la mémoire de l’esclavage / Sofica Cinémage 18
7 970 000 € (estimé)
3 108 511 $ de recettes mondiales brutes
– 6 716 648 €
Numéro 10
Binational, Ousmane doit choisir entre la sélection de l’équipe du Sénégal ou celle de France.
(avec Djibril Cissé, Patrice Evra , etc)
Amazon Prime Video
Opération Portugal 2 : la vie de château
Promoteur véreux franco-français, le comte Henri de Neuville exploite dans son château des travailleurs franco-portugais. Heureusement, un policier franco-marocain vient à leur secours.
(Le comte est incarné par le pharmacien friqué de « Scènes de ménage »)
261 905 entrées France
Production Amazon ?
5 600 000 € (estimé)
2 570 092 $
-4 563 739 €
Petites Mains
Inspirée par la vie de Rachel Kéké, la députée France Insoumise d’origine ivoirienne, l’histoire met en scène des femmes de ménage de palaces parisiens
(dans la réalité, Kéké n’était pas une « petite main », mais avait un statut de cadre)
118 831 entrées France
France Télévisions (800 000€) / Arte France / RTBF (télé publique belge) / Communauté française de Belgique / Gouvernement belge / régions Nouvelle Aquitaine et Bourgogne / départements du Lot-et-Garonne et des Landes / Comité de Soutien aux industries de Programme (COSIP) / CNC
3 980 000 €
866 638 $ de recettes brutes mondiales
-3 630 572 €
Pourquoi tu souris ?
Faux sans-papier, Wisi vit aux crochets d’une militante associative naïve. Il prend sous son aile un jeune blanc-bec, Jérôme, aussi raciste que faignant.
103 520 entrées France
Canal + / Ciné + / région Grand Est / Mulhouse / département du Lot-et-Garonne (50 000) / CNC
3,1 millions € (dont près de 140 000 pour le réalisateur / co-scénariste pour 29 jours de tournage)
Recettes estimées : 304 349 €
– 2 795 651 €
Quatre zéros
Jeune espoir du football comorien exilé en banlieue parisienne, Kidane est au centre d’une lutte entre agents de joueurs
(avec Karim Benzema, Shy’m, etc)
361 492 entrées France
TF1 / région Ile de France / Canal+
10,9 millions € (budget prévisionnel)
2 679 684 $
-9 819 551 €
Que notre joie demeure
Binational mal dans sa peau, empêché de rejoindre la Syrie, le jeune Adel Kermiche en vient à égorger le père Hamel dans son église
(par la réalisatrice non-homologuée Cheyenne-Marie Caron)
928 entrées France
Canal + (au travers du « fonds Bolloré » soutenant les films chrétiens) / dossier refusé par le CNC / financement participatif Ulule
Quelques jours pas plus
Victime de violences policières, un journaliste de gauche accueille chez lui un réfugié afghan
(avec l’inévitable Camille Cottin, cette fois-ci en militante associative)
48 075 entrées France
Canal + / Ciné + / région Hauts-de-France
3 749 000 € (budget estimé)
331 773 $
-3 615 229 €
A quand la fin des subventions publiques, c’est à dire de l’argent des contribuables, pour le cinéma français militant ?
[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
12 réponses à “Cinéma français. Le palmarès 2024 des films les moins rentables malgré leur financement de force par les contribuables”
En voilà une belle économie à faire: arrêter de financer des navets, surtout militants! Qu’ils se financent comme dans d’autres pays avec des emprunts, ils y réfléchiront à deux fois!
En ce qui concerne Aznavour, je ne me souviens pas avoir jamais entendu une insulte raciste : on l’a éreinté à propos de sa voix (« Aznovoice » entre autres) et de son physique, à ma connaissance, jamais à propos de ses origines…
La démonstration que la culture d’extrême-gauche ne fonctionne pas mais coûte un bras avec le fric des français par des entreprises merdiatiques de sévices publics français ou de communautés publiques d’ici, voire étrangères. Des bides monumentaux, des flops majestueux avec pour conséquence une nuée d’intermittents du spectacles profitant de la scandaleuse distribution du chômage pour cette catégorie « professionnelle » ( même Catherine Deneuve s’en servait entre deux tournages, prouvant que pour les grands, il n’y a pas de petits profits…) Cela suffit ! Halte aux gaspillages anti-nationaux.
Rien que les résumés prêtent à rire…et poussent à fuir. Encore un beau gisement d’économies à faire en cessant de subventionner ces oeuvres de propagande.
Hello, le cinéma j’y vais une ou deux fois par an et ce thème n’est pas ma tasse de thé et ainsi j’évite ces films partisans ; je vais voir des films qui relatent des célébrités et qui racontent des vies passées comme celui de Sarah Bernhardt qui a obtenu seulement 3,2 sur cinq sur Allo Ciné. Je pense que c’est par des dons défiscalisés plutôt que des subventions publiques que le cinéma français survivra et perdurera car ce sera un choix citoyen (comme pour la presse mainstream). Pour finir la chanson du jour : Silver Pozzoli – Around My Dream : https://odysee.com/@CANAL5RADIO:a/silver-pozzoli-around-my-dream:c ; incroyable ce chanteur des années 80 danse sans bouger les pieds du sol. Kenavo
Et si on commençait par demander à tous ces emprunteurs une caution comme cela se fait dans les transactions financières, avec obligation de remboursement .Peut être réfléchiraient ils avant de « pondre » leur navet.
Merci pour ce palmarès original. Il est quand même stupéfiant de voir que le cinéma français, ayant touché le fond, continue à creuser aux frais des contribuables.
Hé oui, les thèmes gauchistes ne font pas recette. Les gens (normaux) en ont marre de se voir asséné des leçons de morale, qui plus est avec leur pognon. Certains de ces films vont encore plus loin dans l’ignominie en insultant carrément les autochtones. C’est pas un peu raciste ça ?
La réalité de l’art cinématographique démontre qu’il ne suffit pas d’avoir un réalisateur, un scénario, des acteurs d’origine extra européenne pour sortir un chef d’oeuvre ! Le financement de ces daubes est par contre bien de chez nous et seuls les contribuables d’extrême gauche sont contents de voir l’argent de nos impôts financer des catastrophes cinématographiques et payer grassement les réalisateurs minables. Les téléfilms de et les acteurs multicartes des chaînes publiques ne valent pas mieux et sont comme des fonctionnaires du 7 ème art !
et on ne parle pas des chefs d’oeuvre de BHL, que nous payons aussi !!!!!
Etonnant de mettre dans le paquet Cheyenne-Marie Caron, qui n’obtiendra jamais la moindre subvention d’Arte ou la moindre avance sur recette du CNC. Mais qu’on se rassure : tous ces subventionneurs pro-migrants défiscalisent leurs pertes…
Ouf ! ces croutes payées par nos impôts ont le seul mérite de ne pas tacher l’écran sur lequel elles sont projetées, elles passent, comme d’un mauvais rêve sur l’écran de nos nuits, sans laisser leurs empreintes, seront vite oubliées, pour retomber, réalisateurs, acteurs, et pellicule, dans les poubelles de l’histoire du cinéma, faisant place dans les salles aux bons vieux films qui agrémentaient nos vies et étaient un trait d’union pour nous évader de nos soucis quotidiens en nous distrayant, admirant le talent des grands réalisateurs et acteurs d’antan. A ce sujet, comment peut-on comprendre que ce Monsieur Sy soit classé second, par le JDD, dans les personnalités les mieux aimées des français, comment sont réalisés ces sondages? Mystère ! Et piètre représentant du cinéma français ! Pour moi, un repoussoir !