La Bretagne, souvent perçue comme un havre de tranquillité, est de plus en plus confrontée à des actes de délinquance qui ne se limitent plus aux grandes métropoles. Dernier exemple en date : la ville de Lannion, dans les Côtes-d’Armor, où douze véhicules ont été incendiés dans la nuit du réveillon, marquant une inquiétante tendance.
Lannion…et ses voitures brûlées
Dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier, deux incendies volontaires ont touché les quartiers de Ker-Uhel et des Fontaines à Lannion. Les sapeurs-pompiers ont dû intervenir rapidement pour éteindre les flammes qui ont détruit ou endommagé douze véhicules. Ces actes, survenus à quelques minutes d’intervalle, témoignent d’une organisation inquiétante, probablement l’œuvre des mêmes individus selon les autorités.
Malgré la présence des forces de l’ordre, dont une brigade anticriminalité venue en renfort de Saint-Brieuc, aucune interpellation n’a été réalisée. Une enquête est en cours, mais les habitants, exaspérés, réclament des réponses et des mesures concrètes.
Les quartiers abandonnés à leur sort
Ker-Uhel et Les Fontaines sont classés comme « quartiers prioritaires » dans le cadre de la politique de la ville, et accueillent des populations très « diverses ». Les habitants dénoncent un sentiment d’abandon de la part des élus locaux.
L’exemple de Lannion montre que la délinquance, autrefois cantonnée aux grandes agglomérations, s’étend désormais aux petites villes bretonnes. Les causes sont multiples :
- Les mêmes politiques de la ville : Un modèle idéologique national (inspiré par un gauchisme mental qui a colonisé l’imaginaire de gauche comme de droite) qui favorise des actions souvent inefficaces dans des zones dites prioritaires.
- Le même laxisme judiciaire : Un manque de fermeté face aux actes de délinquance mine l’autorité et encourage l’impunité.
- Une absence de solutions structurelles : Caméras, éclairage public ou présence policière renforcée, souvent absents ou tardifs.
Ces politiques, marquées par une idéologie déconnectée des réalités locales, produisent partout les mêmes effets : insécurité, méfiance envers les institutions et exaspération des habitants.
Un avenir inquiétant pour les villes bretonnes
Les événements de Lannion, loin d’être isolés, illustrent une tendance de fond qui pourrait bien s’aggraver si des mesures efficaces ne sont pas prises rapidement. L’insécurité, alimentée par des actes violents et des réponses insuffisantes, risque de s’installer durablement dans des territoires jusque-là préservés.
On voit néanmoins mal comment ceux qui ont enfanté cette situation, élus et décideurs locaux pourraient entendre le cri d’alarme des habitants et s’atteler à restaurer la sécurité dans ces quartiers. Il ne s’agit plus d’une question de moyens, mais de volonté politique : protéger les citoyens, peu importe la taille de leur ville, doit redevenir une priorité.
Illustration : DR
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7 réponses à “La délinquance s’étend dans les petites villes bretonnes : des voitures en flammes à Lannion pour la Saint-Sylvestre”
j’espère que ce sont les véhicules des personnes islamo gauchistes qui ont votés pour recevoir les migrants !! avec la complicité de nos dirigeants politiques ! mais eux se font payer des parkings sécurisés payés par les pauvres cons qui travaillent !!
La chienlit s’isnstalle progressivement partout en France. Merci Monsieur Attal pour votre front républicain, c’est vous le responsable et tant d’autres. Préparez-vous à être dégagé et en souplesse !!
la délinquance n’est pas un mal urbain… les campagnes sont touchées notamment par la généralisation de la consommation de stupéfiants dans toutes les classes sociales et pour tous les âges, renforcé par une déconnexion totale du droit commun chez certains individus.
à cela se surajoute un laxisme judiciaire où le délinquant a plus de droits que sa victime ….
attention ! un jour celui qui subit ou ne dit rien va se rebiffer et là ca va faire très mal !
à part cela nous vivons dans un pays libre, économiquement et socialement solide, c’est quand vous voyagez à l’étranger que vous vous apervevez de nos chances en France etsurtout en Bretagne, pays de résistance aux éléments et aux CONS !
Il y a comme ça des priorités, faire barrage au RN ou à la racaille : that is the question.
la france coupe gorge mais aussi stand de tir et encore braséro pour réchauffer les djeunes des qurtchiers, macron lui parade encore à la télé
A quand l’indépendance de la Bretagne pour mettre un terme à cette soumission aux stratégies de destruction de notre colonisateur français! retour de tous au pays!
les bretons doivent se lever et dire non ! c’est ça le courage ! il faut protéger nos familles, les dirigeants et politiques se protègent eux même contre nous en payant grassement l’armée et la police avec nos impôts….